Compagnon

(chant VI). Ulysse est donc doté de qualité physiques avantageuses pour son voyage : il est agile, beau et fort. A ces qualités physiques s’ajoute le courage. Même si « la verte peur » l’étreint parfois, il ose blesser le cyclope, aller délivrer ses compagnons prisonniers de Circé ou encore s’avancer entre Charybde et Scylla. Et ce courage n’est pas sans inconscience, Ulysse fait au contraire preuve de ce que les Grecs nomment « métis » et que l’on pourrait traduire par « prudence avisée ». Il suit toujours

et que je contemple. J’ai lu que « la contemplation est l’apogée de l’émotion esthétique » ; c’est sans doute l’expérience de la beauté que je faisais à cet instant : être capable d’aimer sans posséder ! Cela me rappelle mon premier voyage de compagnon, où, devant le frère Hospitalier, j’ai lu, sur le cartouche, les cinq sens, outils nécessaires et indispensables à la prise de contact de l’extérieur. La beauté est dans la réussite. Jai regardé (à la télévision) récemment la finale de

souvient d’Ulysse parmi les gens d’Ithaque sur lesquels il régna comme un père plein de douceur ! Le voilà qui endure de cruelles | |5 |souffrances dans l’île où la nymphe Calypso le retient. Il ne peut retourner dans sa patrie car il n’a ni compagnons, ni navires à rames pour le conduire | | |sur le vaste dos de la mer. | | |Zeus, l’assembleur des nuées, lui

plusieurs reprises, Ulysse glisse des commentaires sur ses réactions ou sur celles de ses compagnons. Lesquelles ? À qui s’adressent-elles ? Que pense Ulysse de son propre comportement ? Quelles en ont été les conséquences ? Deuxième phase : le Cyclope La deuxième écoute sera précédée de questions de repérages 1) Relevez les mots qui caractérisent le Cyclope. 2) Comment le Cyclope accueille-t-il Ulysse et ses compagnons ? Comparez cet accueil avec celui que lui réserve Nausicaa. Déduisez-en les règles

leur condition. L’Odyssée est une course contre la mort, elle attend le héros à chaque étape de son périple. En effet, ce qui caractérise l’homme, c’est sa condition de mortel. Homère fait d’Ulysse un témoin du spectacle de la mort : lui et ses compagnons, vulnérables, assistent souvent à l’horreur. Circé est une médiatrice qui conseille Ulysse pour qu’il réussisse son initiation. Elle l’avertit que pour connaître son destin, il doit aller consulter le devin Tirésias. Le pouvoir et la cécité de Tirésias

d’une progression lente, et finalement saisir l’ancien compagnon que nous avons abandonné, d’un acte aussi brutal que subversif. Quelle interprétation donner à cette cérémonie de passage au 3 eme degré symbolique qui renverse l’ordre instauré en loge ??? Plusieurs explications me viennent à l’esprit : 1. Tout d’abord, la qualité et le comportement du maître Hiram  peut avoir par la force des choses poussé à l’acte ses propres compagnons d’armes. Dans le livre des rois, la bible présente

Ce que l’on attend, sans exhaustivité : La mort scande dramatiquement le voyage d’Ulysse : - presque toutes les étapes, depuis la première, le raid chez les Cicones, jusqu’à l’île du Soleil, sont marquées par la mort de compagnons. - lui-même est sans cesse confronté à la mort (par noyade, dévoration…). La mort peut être vue comme une mise à l’épreuve et comme constitutive d’un voyage initiatique. Les confrontations avec la mort permettent à Ulysse de faire la démonstration de ses

qui revient à Ithaque. De ce fait, il va devoir affronter de nombreuses péripéties et de grands dangers, relatés dans les chants V à XIII, à tel point que son équipage et lui seront plusieurs fois confrontés à la mort. Par ailleurs, Ulysse et ses compagnons sont mortels, ils sont donc en sursis tout au long de leurs aventures. Le point culminant de leur confrontation avec la mort se trouve au chant XI, à l’occasion de l’invocation des morts par le héros. Qu’est-ce alors que la mort, pour le héros Ulysse

à la construction d’un petit échafaudage . A cette occasion , on m’apprit à utiliser une corde avec des nœuds comme instruments de mesure et d’équerrage . Sans le savoir , j’utilisais un des principaux outils dead&s Egyptiens et des anciens compagnons bâtisseurs . Outils de maçons opératifs qui allaient devenir pour moi , dans l’avenir , un symbole fort d’apprenti maçon accepté . Par la suite , avec quelques camarades , nous nous amusions à organiser durant les vacances une sorte de petit

l’Ancien, un vieux cochon proche de mourir. Devant son auditoire silencieux, le personnage critique abondamment la domination des hommes qui, pour survivre, exploitent leurs bêtes et le labeur épuisant qu’elles fournissent. Sage l’Ancien expose à ses compagnons le rêve qu’il fait d’un monde nouveau dans lequel les animaux se seraient affranchis du pouvoir pesant de leurs maîtres et conduiraient eux même leur propre existence. La réflexion de l’ingénieux cochon va plus loin encore puisque celui-ci explique