Comparaison Classique Keynes

mêmes conséquences économiques et sociales désastreuses que la crise de 1929 ? Nos gouvernements seront-ils aptes à résoudre la crise ? Nombreuses sont les questions qui demeurent sans réponses mais que nous allons tenter d’expliquer à travers la comparaison des deux crises. -1- I- Causes et conséquences des crises de 1929 et de 2008 A. Les causes 1/ les causes de la crise de 1929 Comme toutes les crises économiques, celle de 1929 est due à l’éclatement de la bulle spéculative boursière*

considéré comme le père fondateur de la microéconomie : elle concerne aujourd’hui le comportement des agents économiques. La macroéconomie concerne les résultats globaux de l’économie. Elle n’est apparue sous sa « forme moderne » qu’après 1936, lorsque Keynes publie son principal ouvrage intitulé Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. L’économie met en scène un système complexe d’acteurs économique dont chacun peut remplir des fonctions multiples (producteur, consommateur, emprunteur

une augmentation de 1,1% en 2009 (Cf. annexe 7). Le deuxième impact touche l’investissement, dans la mesure où la hausse des coûts de production entraine de manière symétrique la baisse de la profitabilité des investissements. NB : A titre de comparaison, nous avons également reporté sur ce tableau de bord les valeurs annuelles données par le PLF et l’OFCE. Il en ressort, en dépit du caractère relatif et incertain des données prévisionnelles, que les valeurs « officielles » annoncées par l’Etat

économiques sont les classiques qui ont essayer de montrer quelles sont les conditions du système capitaliste et quelles étaient les meilleurs conditions pour faire la croissance dans le système capitaliste, leur priorité était d’expliquer la croissance sur un modèle d’offre, la façon dont on produit, c’est la raison pour laquelle ceux qui font la suite sont les néo-classiques, mais progressivement dénature la théorie des classiques en modifiant la préoccupation principale. Les néo classiques veulent aller

macro-éco : Récente. La théorie générale de Keynes => base de cette distinct°. Il fonde l’analyse macro-éco, mais n’invente pas le terme. Frisch a inventé le terme. Pour la 1ère fois, on résonne sur des agrégats => Keynes se demande ce qui détermine la production ou le niveau d’emploi => agrégats. A la suite des travaux de la théorie générale => comptabilité macroéconomique qui permettra de concrétiser des relat° évoquées par Keynes dans la TG. Comptabilité macro => fondement théorique

économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant l'école classique. 1)Antiquité et Moyen-Age. Aristote est un philosophe du IV ème siècle avant J.C, il est à l'origine du savoir économique car il distinguait 3 sciences de l'homme: éthique, économique et politique

. On retiendra ici que la demande induit un investissement.b) le rôle du profitil faudra retenir ici que la liaison est complexe. En effet, elle peut comprise dans les 2 sens. Il s'agit sur le plan théorique d'une opposition forte entre les néo-classiques d'une part et les keynésiens d'autre part. il s'agit d'une opposition quant à la nature de la relation entre l'épargne et l'investissement.Ainsi on peut considérer que le fait qu'une entreprise fasse du bénéfice l'incite à investir. Ici donc c'est

pays et de situer son éco dans la hiérarchie mondiale. PIB = somme des VA des ≠ SI résidents + taxe sur VA + droits de douane. 1976 en France : Système Elargi de Comptabilité Nationale (SECN) => P non-marchande intégrée dans PIB. La majorité des classiques pensaient que les S n’étaient pas capables de créer de la VA (Smith, Ricardo mais aussi Marx). Fin XXe : les S surtout non-marchands reconnus comme source de valeur et intégrés dans la mesure de la P. PIB (critère de la territorialité) ≠ PNB (critère

théories monétaires Les Théories monétaires sont nombreuses et recouvrent différentes interprétations du même phénomene. Le role et l’influence de la monnaie sur la réalité économique est donc percu différemment selon les théories. Les classiques Selon les classiques : “La monnaie n’est qu’un voile qui recouvre un troc”. D’après la loi sur les débouchés de Jean Baptiste Say (économiste français, 1767-1832), les produits s’échangent contre les produits , donc l’Offre crée sa propre Demande .Tout produit

immédiat et un actif sans risque. Donc la monnaie n’est pas un bien comme les autres et les différences résident non dans la qualité de la monnaie mais dans sa nature. C’est ce qu’a fait Keynes dans "Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie" (1936). Les propriétés de la monnaie selon Keynes sont trois : - L’élasticité d’offre de la monnaie est nulle. Il n’existe pas de mécanisme automatique qui en réallouant des facteurs au secteur monétaire permettrait de produire plus de monnaie