Comparaison Classique Keynes

une opération d’achat. En plus, la monnaie offre à l’agent économique la possibilité de choisir le moment d’acquérir le bien qu’il désire. B- La monnaie – Etalon de valeurs : Les prix des biens sont exprimés en monnaie, cela facilite la comparaison de la valeur des biens les uns par rapport aux autres (La monnaie est donc une unité de comptes) . Prix unitaires Prix relatifs 1A = 20Dhs 1A = 1B + 2C 1B = 10Dhs 1A = 4C 1C = 5Dhs

aléatoire Produire est un risque car l’entrepreneur parie sur une demande. Il parie alors qu’il y a un pouvoir d’achat donc une demande effective. Il reste cependant un risque d'erreur. Le profit est alors résiduel et aléatoire. II- les théories classiques de l’entrepreneur et du profit On va étudier deux courants d’analyses Le profit est le taux de profit multiplié par le capital. la théorie anglaise 1) Smith (1776) C’est le premier économiste a avoir étudier l'entrepreneur et le profit

rationalisations viennent ex-post et parfois les explications disparaissent alors que la corrélation dure toujours. Expliquer ne suffit pas, il faut avoir la bonne explication. Nous vivons dans un monde des anticipations rationnelles (néo-néo-classiques) : les explications données aujourd’hui sont meilleures, or elles ne sont pas fondées empiriquement. Ex : l’équivalence Ricardienne, et les marchés financiers. Le postulat des prédictions : les agents ne font pas d’erreurs en moyenne. Il

réserve comme dans le modèle précèdent). B) Le modèle : Dans ce modèle, les demandeurs d’emplois sont à la recherche d’information. On a eu une analyse en termes de couts et d’avantages. L’idée est que le demandeur d’emploi va procéder a une comparaison entre le cout marginal (croissant) de l’information et le gain espéré (décroissant). Pour obtenir des informations il doit supporter des couts. Il y a 3 catégories de couts : * Le cout des démarches proprement dites : ex transport, communication

siècle, l’idéologie dominante en matière d’économie était le libéralisme classique. Le néolibéralisme et ce dernier ont beaucoup plus de points en commun que de différences. Pour plusieurs, le néolibéralisme consiste simplement à un retour au libéralisme classique, excepté que celui-ci ne pouvait critiquer le keynésianisme et le régime de l’État-providence qui l’accompagnait. Pendant la période où triomphait le libéralisme classique, les crises économiques se succédaient les unes aux autres, en étant

consommation) et de consommation finale. L'objectif est de satisfaire les besoins humains : on qualifie ces besoins comme des besoins économiques. Un besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l'acquisition ou la consommation des biens. Keynes distingue, en 1930, deux catégories de besoins : → ceux qui ont un caractère absolu et que l'on ressent quel que soit la situation des autres individus, ils sont limités (ex :besoins physiologiques) → ceux qui ont un caractère relatif et que l'on

Maynard Keynes. - Avant doctrine : ne pas intervenir sur les marchés (laissez-faire) ou sur certains marchés particuliers par l’intermédiaire de subventions, droits de douanes… (interventionnistes) - Pas d’analyse des comportements globaux au niveau national (ça c’est micro) - Des cycles économiques avaient été identifiés par certains économiste (ex :juglar) mais sur des bases peu convaincantes. - En 1936 : la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (Keynes) ; ouvrage

boulanger transforme à son tour en pain. En d’autres termes, seule la classe productive est capable de dégager un surplus entre les dépenses de Y et la vente de la Y." .b) Lors de la révolution industrielle Au cours du XVIIIe apparaissent les classiques (Adam Smith : Recherche sur la cause et la nature des richesses des nations) il exclu de la richesse tout ce qui concerne les services. Livre 2 chap 3 : "Certaines des plus graves et des plus importantes en même temps que certaines des plus frivoles

créé le dividende national (la richesse nationale). 6 KARL MARX •Aliénation marchande et exploitation capitaliste Marx reconnaît la valeur travail de Ricardo (dépend du travail direct et indirect) et montre que cette valeur - qui permet la comparaison et donc l’échange de biens - est basée sur une idée abstraite du travail. En effet, aucun producteur ne retrouvera dans le prix qui s’imposera sur le marché le reflet de son propre travail. Il en conclut que, dans ces conditions, chaque producteur

collectivité (cf, LCL...). Chapitre 2 : Monnaie et activité réelle. Dichotomie entre approche classique et néo-classique. Les approches classiques et néo-classiques sont toutes deux dotées de théorie de la valeur, chez les classique, c'est le travail qui confère la valeur, chez es néo-classique, c'est l'utilité. Chez Keynes, il n'y a pas de théorie de la valeur. Chez les classiques et néo-classiques, la valeur des biens et services est déterminée avant la monnaie, par exemple on dit qu'une table