Comparaison Classique Keynes

1956 1960 1964 1968 1972 1976 1980 1984 1988 1992 1996 2000 Fig. 1: Le taux de chômage en France. Source OCDE 6 20 15 10 5 0 s 1964 1968 1972 1976 1980 1984 1988 1992 1996 2000 France Etats-Uni Spain Japon Pays Bas 1956 1960 Fig. 2: Comparaison internationale des taux de chômage. Source OCDE Dans une perspective internationale : — Le taux de chômage Américain n’a pas connu ce phénomène de “dérive à la hausse” qu’a connu le taux de chômage français entre 1973 et 1997. Au contraire, il

Les deux premiers facteurs font partie intégrante des courants de pensée dans lesquels l’épargne fait l’objet de placements à but lucratif. La théorie économique fait apparaître deux visions opposées de l’acte d’épargne. L’approche néoclassique et classique affirme que le partage du revenu disponible entre la consommation et l’épargne est déterminé par le taux d’intérêt. En effet, dans l’approche néoclassique, l’agent économique cherche à maximiser son utilité, c’est-à-dire à optimiser ses revenus.

Science Economique ? 3 SECTION DEUX : La formation économique, un survol 4 1.La pensée antique et médiévale 5 2.La période moderne 5 3.L'école classique 6 4.L'importance de la diffusion de la pensée classique au 19e siècle. 8 5.L'économie comme science logique : les écoles marginalistes 8 6.Les réactions doctrinales contre les écoles classiques et néoclassiques 11 7.Les progrès de l'analyse économique au XXe siècle 12 SECTION TROIS : la méthode de la science économique 13 1.La science économique

devrait laisser jouer librement le marché, les prétentions salariales des chômeurs baisseraient, rendant leur embauche rentable. Ainsi le chômage sanctionne les exigences excessives des travailleurs. -La théorie Keynésienne : au contraire des libéraux, Keynes met l'accent sur la « demande globale », c'est-à-dire aussi bien la consommation, que l'investissement ou les exportations. Alors que les libéraux insistent sur l'offre, les keynésiens s'intéressent à la demande. Pour eux, le capitalisme, livré à

économique ............................66 Section 1. Les théories classiques ......................................................................66 Section 2. La théorie marxiste .............................................................................73 Section 3. La théorie néoclassique......................................................................74 201151TDPA0111 5 Économie • Série 1 Chapitre 3. La théorie de Keynes .........................................................

offerts sur le marché intérieur ? Comment sont-ils employés ? 3 emplois possibles : - consommation par les agents économiques - investir - exporter. - Les ressources = offre globale - Emploi = demande globale (approche keynésienne : demande effective) KEYNES : PIB + importation = consommation + investissement + exportation. PIB = consommation + investissement + exportation – importation. PIB = demande intérieure + demande étrangère. Déficit = flux de revenus baisse pour le reste du monde. B – Le circuit

commerce extérieur. On n’a pas confiance dans le commerce (un gagnant/un perdant et on essaye d’être le gagnant). Adam SMITH* (cf). Puissance des états/enrichissement des marchands/Commerce international. Il n’accorde aucune valeur au mercantilisme =/= KEYNES*. 1. L’époque mercantiliste Cette période se caractérise par des progrès décisifs et des transformations sociales importantes. En 1450, marqué par des pb comme recule démographie, famine, épidémies, guerres (des 100 ans)

mercantilistes, les physiocrates et les précurseurs de l’économie politique classique, en parallèle avec l’évolution des faits économiques ayant précédé la Révolution industrielle. • Un chapitre consacré à la Révolution industrielle, en prélude à l’étude de l’économie politique classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. • La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. •

possibles : - consommation par les agents économiques - investir - exporter. - Les ressources = offre globale - Emploi = demande globale (approche keynésienne : demande effective) KEYNES : PIB + importation = consommation + investissement + exportation. PIB = consommation + investissement + exportation – importation. PIB = demande intérieure + demande étrangère. Déficit = flux de revenus baisse pour le reste du monde. B

objectif d’assurer le financement des services publics. Le volume des dépenses de l’État n’était alors pas considéré comme une variable susceptible d’influencer le niveau d’activité de l’économie. L’analyse de l’économiste britannique John Maynard Keynes a modifié cette conception en soulignant l’impact de la politique budgétaire sur le niveau d’activité économique d’un pays. Par conséquent, la plupart des pays développés ont mené depuis les années 1930 des politiques de relance budgétaire lors des