Comparaison Classique Keynes

nombreuses dépenses publiques supplémentaires et des réductions de certains impôts accordés généralement aux entreprises, et donc dégradent le solde public. Ce type de plan de relance est un plan de relance par la l’offre. Le plan de relance des Classique (Adam Smith) lui, consiste en une relance par la demande. Pour ce faire les Etats se concentrent sur une aide aux ménages les plus défavorisé, afin de relancer la consommation des ménages ayant une forte propension à consommer lors d’une augmentation

Recours à la fiscalité et aux mécanismes de transferts sociaux. B. La justification économique de l’intervention financière de l’Etat Trois situations justifient une intervention financière publique, y compris dans le fonctionnement classique * Financer les biens publics (non rivalité, non exclusivité) Ex : la sécurité publique (tout le monde en profite qu’ils soient contributeurs ou non) Répartition des ressources pour financer des biens de nature particulière. *

Finances publiques. Introduction. I. Le champ d’application des finances publiques. A. La conception classique. Les finances publiques sont les recettes et les dépenses des personnes publiques. On définit le champ d’application des finances publiques à partir de la définition des personnes publiques, on étudie les recettes, les dépenses et les règles permettant de prélever les recettes et d’engager les dépenses. Traditionnellement, en France, dans un Etat très centralisé (jacobin)

Révolution. 2 Forces : la solidité morale des bourgeoises au pouvoir [lire les Csq économiques de la paix de Keynes ! ou les Mémoires de S Zweig] a) les fractions bourgeoises restent sûres d’elles-mêmes dans l’ensemble (contrairement aux bourgeoisies dans l’entre-deux-guerres) et croient en un « monde de la stabilité » -Elles ont la fortune et l’épargne (beaucoup de ces fortunes dit Keynes ont servi à financer les infrastructures collectives) et la bourgeoisie au XIXe fait de l’épargne systématique

réserve de valeur, la monnaie doit conserver son pouvoir d'achat par rapport à l'économie réelle. La valeur de la monnaie doit donc rester stable et ne pas subir de dépréciation de nature inflationniste. La monnaie est ainsi, selon l'expression de Keynes "un lien entre le présent et l'avenir". Cette dernière fonction participe donc au développement économique car l'épargne est indispensable à l'investissement, et donc à la production. Cette fonction de réserve de valeur explique que pendant longtemps

En effet, un certain nombre de questions fondamentales aujourd’hui sont éclairées par une connaissance historique (nécessité de comprendre le présent). Exemples : L’école néo-classique (fin XIX è jusqu’à aujourd’hui) est considérée comme libérale pour la majorité (a priori idéologique faux). Or, il y a des néo-classiques qui sont considérés comme anti-libéraux. NB : Gary Becker Gary Becker est un économiste américain (né en 1930) connu pour ses travaux visant à élargir le champ de l'analyse

exemple dans l'empire d'Akkad (2300-2200 avant J.C.). Les premières écritures cunéiformes, sur des tablettes d'argile, sont des écritures comptables. Un système de gestion administrative des dettes et des créances se développe en se fondant sur la comparaison de la valeur des produits échangés avec des "valeurs-étalons" connues de tous (quantité donnée de céréales, d'or, ou d'argent). En Égypte, comme en Mésopotamie, la monnaie scripturale existe bien avant la monnaie fiduciaire (plusieurs milliers

consommation des ménages sont déterminés en premier lieu par la décision de partage entre la consommation présente et consommation future (l'épargne). Keynes suppose que la consommation a une importance première dans l'affectation du revenu : elle est fonction du revenu disponible, soit :  * Propension à consommer, Propension à épargner Keynes note que, lorsque le revenu augmente, les possibilités d'épargne s'accroissent. En raison de la saturation relative des besoins, la propension à consommer

sources internationales et communautaires des finances publiques : Le pacte de stabilité de croissance, le traité de Maastricht. En matière d’harmonisation fiscale, de nbrx aménagements ont été fait ce qui a des csquences sur les finances. Comparaison entre les finances publiques et les finances privées : * Points communs : Les problèmes financiers à résoudre ; l’établissement d’un projet (des prévisions) ; les ressources : l’emprunt, celles qui émanent de la propriété d’un bien ; faire

Concurrence pure et parfaite La concurrence pure et parfaite correspond à la théorie de la formation du prix élaborée au xixe siècle par les économistes classiques. La concurrence pure et parfaite est censée permettre l’équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par les économistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole. En 1921, les conditions