Comparaison Concubinage Et Fiançailles

mineurs. Section I – Les mineurs non émancipés. § I – Le principe d’incapacité générale d’exercice. Les paradoxes contemporains. § II – La protection de la personne du mineur non émancipé A) L’autorité parentale. 1. Le texte, art. 371 – 1 code civil (comparaison avec les textes anciens) 2. L’exercice de l’autorité parentale : la réforme du 4 mars 2002 a) les parents 1°- indifférence vis-à-vis de la nature de la filiation. 2°- insignifiance du divorce, de la séparation. 3°- exercice unilatéral : solution

européenne de sauvegarde des droits de l'homme (1950) → elle est exécutée par la cours européenne des droits de l'homme. CHAPITRE I – Les modèles de couples. A l'origine, le seul modèle de couple admis à été le mariage puis il a eu le PACS, le concubinage. Le PACS est définit a l'art 515-1 du CC. Le PACS est un contrat conclut entre deux personnes physiques majeures de sexe différent ou de même sexe pour organiser leur vie commune. Le PACS à été modifié par la loi du 29 janvier 2006, il y à des

mariage est pour le moment refusé. Il garde une force symbolique importante. Dans le comportement des couples, si aujourd'hui le nombre de mariage est en baisse, on constate tout de même qu'un certain nombre de personne qui se pacsent ou vivent en concubinage, confortent leur union en mariage. Le code civil ne donne pas de définition du mariage. Le mariage est qualifié d'acte juridique solennel, de consentement entre un homme et une femme. La mariage est un accord de volonté, c'est la marque d'un accord

lesquelles sont toutes relatives à l’autorité parentale et vont généraliser l’autorité parentale conjointe. Entre temps, avant la nouvelle réforme du 4 mars 2002 toujours sur l’autorité parentale, interviendra la loi du 15 novembre 1999 définissant le concubinage et lui reconnaissant officiellement une place dans notre droit et consacrant le pacs. La loi du 4 mars 2002 réformât donc à nouveau l’autorité en la redéfinissant comme étant un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l’intérêt de l’enfant

désormais très différentes, alors que jusqu'au milieu du 20ème siècle: seul le mariage représentait la famille (les époux et les enfants); ce modèle a totalement éclaté: il y a d'autres modèles légaux (PACS) et même des modèles non prévus par la loi (concubinage). Dans les types de familles elles-même, il y a une diversité. On peut parler de famille biologique pour marquer le cadre de parenté biologique. On peut parler de famille adoptive: lien non biologique, mais toujours affection. La famille dite recomposée

matrimoniaux, qui remplissent le rôle ancien des fiançailles. Le statut patrimonial du couple va concerner également les homosexuels. Le mariage ne leur ait pas permis mais il s’agit là aussi d’un couple. Par ailleurs, on admettait que les couples non mariés généraient peu de problèmes juridiques car ils n’avaient que peu d’argent et qu’au fond la réglementation de leur rapport restait simple. Cela a été probablement vrai jusque dans les années 50. Le concubinage était surtout prolétarien. Le statut patrimonial

un compromis. b)Un compromis avec le code civil La famille doit être la cellule de base de la société civile. La famille doit être bien tenu. Dans le code civil, la famille repose sur le mariage. En 1804, il n’y a aucune disposition sur le concubinage. Le divorce reste autorisé, mais les conditions d’ouverture sont limitées : l’adultère… Le code civil limite les cas où l’on peut rapporter la preuve que l’enfant n’est pas celui du père. Le code interdit l’action en recherche de paternité naturelle

sur 2 éléments : le mariage et la filiation. Définition : le droit de la famille est un ensemble de règles patrimoniales et extrapatrimoniales qui vont régir le couple et les enfants. Pour le couple, c’est le mariage et le divorce, le Pacs et le concubinage. Pour l’enfant, c’est la filiation et l’autorité parentale. Le cadre s’adapte à chaque famille. Le droit de la famille régit aussi l’obligation alimentaire. L’enfant est-il indispensable pour fonder une famille ? oui pour la plupart des membres

couple traduit une relation amoureuse d'abord, mais cette relation peut se transformer en relation sociale, celle du couple marié, celle des concubins, éventuellement liés par un PACS (Pacte civil de solidarité depuis la loi du 15 nov. 1999). Le concubinage a connu un essor considérable : ainsi en 2004, près d'un enfant sur deux (47%) naissait hors mariage (6% en 1965, 43 % en 2000). De l'ordre de 300000 mariages en 2000, 266000 en 2004. De l’ordre de 120000 divorces prononcés par an (depuis 1997

situation à partir du moment où il y a cohabitation hors mariage. 3. Nouvelles formes d’organisation familiale Famille recomposée : quand une première famille s’est dissoute et que l’un des parents forme une nouvelle famille e se mariant ou issus du concubinage. Familles « homoparentales » : composé de couple de personne de même sexe, qui élève un enfant issue d’une PMA ou ancien filiation. Projet de loi en cours. B. Les principaux fondements du droit de la famille 1. Liberté L’idée est que chacun