Comparaison De Deux Fables

« L’homme et son image » est une fable rédigée par Jean de La Fontaine, poète français du XVIIe siècle (1621-1695). Il s’agit ici de la onzième fable du livre I de La Fontaine. Traditionnellement, celui-ci met en scène des animaux dans ses fables. Or, ici, il déroge à la règle en faisant intervenir un personnage dans un récit qui se présente à la fois comme une énigme et comme un apologue. Ainsi, son œuvre s’inscrit dans le registre satirique en conduisant tout naturellement à une morale. Elle est

l’un des contes les plus répandus. • matière médiévale : canevas de contes populaires se retrouvent dans Ysopets ou recueil de fables antiques, lais de Marie de France. Exempla : prédicateurs du MA introduisent des contes dans les exempla qui illustrent les thèses défendues dans leurs sermons : puisant d’abord dans les paraboles bibliques, les vies de saints, les fables, les bestiaires, les récits de la litt ancienne, ils vont peut à peu faire des emprunts à la trad orale >font l’objet de compilations

Lycée Français de Singapour Année 2014-2015 1ère ESB Objet d’étude : La question de l’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. CORPUS Texte A : Jean de Lafontaine, Fables, I-22, « Le chêne et le roseau », 1668. Texte B : La Bruyère, Les Caractères, XII, « Des Jugements », 1688. Texte C : Diderot, Encyclopédie, Article « Autorité politique »,1751-1772. Texte D : Victor Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire », 1853. Texte E : Rabah Belamri, Mémoire en archipel

Jean de la FONTAINE, FABLES ( 1693) Le philosophe Scythe Introduction : Admirateur de l'Antiquité, La Fontaine (1621-1695) s'est inspiré de l'écrivain latin Auou-Gelle pour composer cette fable qui appartient au dernier livre du recueil. Cette fable est dédiée au duc de Bourgogne et évoque une conception du bonheur en relation avec la philosophie de l'Antiquité. La Fontaine a trouvé une bonne partie de son inspiration dans des textes appartenant à des fabulistes antiques tels Esope

-an et la répétition des sons -cui, créant ainsi une musicalité. Il y a une métaphore filée, les écailles prenant des tons ocres et mordorés, sa tête devient un casque d'or, ses yeux des clous noirs. La deuxième strophe se base sur une suite de comparaisons avec une énumérations de termes spécifiques aux couleurs dans l'art de la peinture ("bronzes florentins", "bruns Van Dyck", "vert de Scheele" etc). Cette accumulation d'images poétiques donne au lecteur l'impression de voyager, de découvrir un

félicitant d'avoir donné toutes les armes nécéssaires aux jeunes gens. Il signe le recueil de son nom (Ovidius) NASO (livre II vers 744: Ovide était mon maître, « Naso magister erat »). Deux vers ont été ajoutés (vers 745/746) pour annoncer le livre III: Ovide va maintenant armer les femmes (cf. traducion de ces deux vers). Notre texte: Il avertit le lecteur que Vénus lui a demandé d'enseigner « l'Art d'aimer » aux femmes et s'approprie l'idée du « Carpe diem ». Projet de lecture: Comment Ovide

intervenant avant une séquence sur l’étude de quelques Fables de la Fontaine. SÉQUENCE I : LA NATURE EN POÉSIE (groupement de textes) Objectifs * Aborder la poésie à travers le thème de la nature. * Découvrir des poèmes, en repérer les marques caractéristiques (versification, images, sonorités). * Étudier les relations entre les mots (synonymes, antonymes, homonymes, paronymes) et la notion de champ sémantique. * Savoir employer comparaisons et métaphores. * Rédiger des textes poétiques (poème

Gretel, Poésie : les fables (moralités)| | Autres pistes possibles :Histoire : les conditions de vie au XVIIème siècle (famine), lecture de textes historiquesLittérature : archétype de l’Ogre, recherches à la BCD, à la bibliothèque municipaleEducation civique : l’abandon et les droits de l’enfant aujourd’hui| || Suggestions :Mise en parallèle avec la version originale (Casterman, illustration Jean-Marc Rochette)Mettre en relation les deux ouvrages pour comparer :-les deux histoires, la version

extra-terrestres. En outre, les personnages centraux de ces œuvres peuvent nous dépayser de par leurs caractéristiques : par exemple les personnages de l'Ingénu ou de Candide des œuvres éponymes de Voltaire, ayant d'ailleurs suscité une telle réflexion que ces deux personnages ont donné leur nom aux adjectifs « candide » et « ingénu », synonymes de naïf ; ou bien les Persans des Lettres persanes de Montesquieu, qui grâce à leur regard sur Paris permettent au lecteur de réfléchir. Ces personnages étrangers des

virgules qui se produisent un effet de liste, d'inventaire. (symbole de succès, affirmation de la personnalité, domination du monde, agrandissement de soi-même.) Comparaison : Mettre sur le même plan deux éléments différents grâce à un mot-outil. ( Comme, tel que, semblable à, pareil à, ressembler à, faire à...). Métaphore : Une comparaison sans mot-outil. Ex : Il a attrapé le virus de l'automobile. Personnification : Une métaphore qui consiste à attribuer, à un objet inanimé des actes, des pensées