Comparaison Keynes Et Friedman

réduction des encaisses réelles de monnaie par les individus entraîne bien évidemment des pertes de bien-être. Nous y reviendrons. 4. D'autres études considérant des effets plus larges en sont arrivés à des réponses toutes différentes : par exemple, M. Friedman (Journal of Political Economy, juillet/août 1971) démontre que, pour une économie stationnaire, le taux optimal d'inflation pourrait être négatif ! Nous reviendrons sur le problème du choix du taux «optimal» d'inflation dans une section subséquente

chaîne. Dans sa théorie générale, Keynes avance son concept de « multiplicateur de crises ». Lorsque la consommation se réduit et que l’investissement baisse, les entreprises licencient. Les chômeurs réduisent encore plus leur consommation, ce qui contracte davantage les débouchés, et les entreprises sont contraintes de revoir à la baisse les investissements et les embauches. Cette spirale négative se solde par un « équilibre de sous-emploi ». Pour Keynes, une cause centrale de déséquilibre est

* 4.6.3 La courte période de l’étalon-or * 4.6.3.1 l'étalon-or * 4.6.3.2 l'étalon de change-or * 4.6.4 Le change des monnaies entre elles * 4.6.4.1 Les changes flottants et la domination des idées de Friedman * 4.6.4.2 Evolution du régime des changes * 4.6.4.3 le régime des changes flottants * 5 Le phénomène de dématérialisation * 6 La Création de l'euro * 6.1 Introduction de l’euro * 6.2 L'avenir de l'Euro *

structurel : lié à l’évolution de la structure de la demande ← Le chômage de segmentation : lié au fait que le marché du travail est segmenté en fonction de l’âge et de la qualification ← Le chômage naturel : concept développé par friedman. Dans chaque pays il y a obligatoirement du chômage. C’est un chômage inévitable. Ils en tiennent compte par le NAIRU, c'est-à-dire la taux de chômage qui e favorise pas l’expansion de l’inflation. 4 La lutte contre le chômage ← La croissance

DUESENBERRY |   |   |   |   | EDGEWORTH | ENGEL |   |   |   | FISHER Irving | FITOUSSI Jean-Paul | FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS

minimiser sa « désutilité » (sa peine, difficulté). Tout choix se fait donc en fonction d’un calcul des avantages, des couts et de leur comparaison. On s’intéresse alors à la microéconomie. - Théorie de l’équilibre. L’O et la D s’ajustent naturellement par les prix comme le pensaient les classiques. Section 3 : L’économie Keynésienne John Maynard Keynes (Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie). Pas d’intérêt pour les ID, voient l’économie dans sa globalité, analyse macro

Les causes traditionnelles (classiques) de linflation Linflation par la monnaie (Les montaristes Milton Friedman) Linflation est le rsultat dune croissance de la masse montaire en circulation plus importante que laccroissement du volume de la production. Linflation par la demande(Keynes) Linflation est provoque par une forte demande face une offre de biens et services insuffisante. Linflation par les cots Linflation est due la rpercussion sur

Le chômage affecte les salariés tandis que les agriculteurs sont touchés par l’effondrement des prix agricoles. Les revenus baissent considérablement. Mais la crise est moins brutale qu’ailleurs : le nombre de chômeurs est relativement réduit en comparaison des modèles de type libéral tel l’Angleterre ou les Etats-Unis. Mais la crise dure plus longtemps, jusqu’en 1938 alors que les autres pays connaissent une reprise dés 1935. Il n’y a pas qu’une seule explication à l’apparition de la crise de la crise

réaction contre les abus de la réglementation 3 - Les principales idées des physiocrates A - La notion de loi en économie B - Le calcul économique rationnel C- La valeur travail D - Le produit net E - Le tableau économique F - QUESNAY, précurseur de KEYNES ? G - Taôisme et physiocratie 0 – Introduction Littéralement, "physiocratie" signifie "gouvernement" (du grec Kratos) par la nature ("physio"). C'est une doctrine économique qui peut être résumée à deux propositions. La première proposition est qu'il

compense la dépense constituée par les intérêts qu’il faut verser au prêteur. Dans ces conditions, il n’est pas rationnel de conserver de la monnaie inemployée (ou bien on consomme, ou bien on place). B) La théorie keynésienne Lorsque John Maynard Keynes (1883 – 1946) écrit la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie, il propose une analyse économique faisant une place nouvelle à la monnaie. Alors que la théorie quantitative de la monnaie part du principe que la monnaie n’a pas