Comparaison Keynes Et Friedman

consommation des ménages sont déterminés en premier lieu par la décision de partage entre la consommation présente et consommation future (l'épargne). Keynes suppose que la consommation a une importance première dans l'affectation du revenu : elle est fonction du revenu disponible, soit :  * Propension à consommer, Propension à épargner Keynes note que, lorsque le revenu augmente, les possibilités d'épargne s'accroissent. En raison de la saturation relative des besoins, la propension à consommer

de plein emploi, ou de sousemploi classique, toute stimulation de cet ordre ne saurait entraîner que de l’inflation11. §4 Critique du monétarisme actif par l’école keynésienne L’argumentation qu’on vient de présenter fut en fait développée par Keynes pour justifier un scepticisme fondamental quant à l’efficacité de la politique monétaire. Il l’utilise en effet pour montrer que deux obstacles sont susceptibles de s’interposer. D’une part, il est possible que pour un taux d’intérêt très bas, la

de prendre en compte presque tous les biens et services à l'exception notamment des services hospitaliers privés, de l’assurance vie et des jeux de hasard. L'INSEE utilise l'année 1998 comme année de référence. En Europe, afin de permettre des comparaisons internationales, les indices de prix nationaux ont été harmonisés. On parle alors d'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH). On obtient ainsi par cet indice une définition quantitative précise de la stabilité des prix qui constitue l'élément

rentables d’être financés => inégalités et sous-optimalité (critère de Pareto) → La redistribution peut permettre d’atteindre une meilleure allocation des ressources • INÉGALITÉS ET CROISSANCE ➢ Lutte contre les inégalités pour soutenir la croissance Keynes : inégalités et chômage => insuffisance de la demande globale ➢ Croissance = ↑inégalité (cf. Kuznets) puis ↓inégalité (mise en place de la redistribution) > Relation inverse : seule la croissance permet (à terme) de lutter contre les inégalités

barrières douanières ➔ désintégration de l’économie mondiale. Les régimes totalitaires commencent à s’installer, montée des nationalismes. La troisième phase, le morcellement : Dans la théorie libérale, le plus important était l’équilibre externe. Keynes va proposer une théorie qui favorise l’équilibre interne (pour lutter contre le chômage) ➔ dans les mêmes idées que les nationalismes. Toutes les économies commencent à élaborer des mesures d’isolement (ex : URSS, RDA ...). Quelques dates : 1ère

–Maynard Keynes (1883 – 1946) tente d’apporter des moyens de compréhension et un schéma d’action pour lutter contre les crises. Son analyse strictement macroéconomique est menée en terme de circuit. Pour lui, la demande est fondamentale et surtout la demande effective, c’est-à-dire la demande anticipée par les producteurs. C’est elle qui détermine les autres éléments de circuit : production, revenu emploi…. C’est pourquoi l’intervention de l’Etat dans l’économie est nécessaire, selon Keynes pour soutenir

Nombreux sont les économistes qui, depuis Xénophon, ont cherché à analyser avec précision l’objet de la science économique, les travaux des grands économistes, tels que Adam Smith (1776), David Ricardo (1817), Karl Marx (1867) ou encore John M. Keynes (1936) permettent de montrer que l’économie étudie la façon dont l’individu ou les sociétés utilisent leurs ressources rares en vue de satisfaire au mieux leurs besoins. Cette approche met en avant deux aspects fondamentaux : - Les individus

Fondement, forme et propriétés 2 - Exemple numérique 3 - Effet d'une variation de la dépense sur le revenu 4 - Les limites de la fonction de consommation Keynésienne Section II : La théorie de revenu relatif Section III : La théorie de revenu permanent « Friedman en 1957» 1 - Le revenu permanent 2 - La consommation en fonction du revenu permanent 3 - La remise en cause du multiplicateur Keynésien Section IV : La théorie du cycle de vie Section V : Les autres variables explicatives Chapitre 4 L'investissement

forme et propriétés 2 - Exemple numérique 3 - Effet d'une variation de la dépense sur le revenu 4 - Les limites de la fonction de consommation Keynésienne Section II : La théorie de revenu relatif Section III : La théorie de revenu permanent « Friedman en 1957» 1 - Le revenu permanent 2 - La consommation en fonction du revenu permanent 3 - La remise en cause du multiplicateur Keynésien Section IV : La théorie du cycle de vie Section V : Les autres variables explicatives Chapitre 4 L'investissement

l'inflation 7.1 Les prémices de l'analyse classique 7.1.1 Selon la doctrine des effets réels 7.2 L'analyse classique de l'inflation 7.2.1 Théorie quantitative de la monnaie 7.2.2 La demande de monnaie 7.3 L'école keynésienne 7.3.1 Les descendants de Keynes 7.3.2 L'analyse de la Synthèse néo-keynésienne 7.3.3 L'analyse post-keynésienne 7.4 L'analyse monétariste 7.5 La nouvelle école classique 8 Notes et références 9 Voir aussi 9.1 Articles connexes 9.2 Bibliographie 9.3 Liens externes Étymologie[modifier