Comparaison Keynes Et Friedman

monnaie "V"est constante. Ces deux conditions sont remplies dans l’analyse classique et néoclassique "basique" pour laquelle la monnaie est simplement un instrument permettant de faciliter les échanges. La théorie keynésienne Lorsque John Maynard Keynes (1883-1946) écrit la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie, il propose une analyse économique faisant une place nouvelle à la monnaie. Alors que la théorie quantitative de la monnaie part du principe que la monnaie n’a pas d’utilité

besoin des individus B : Les grands courants de la pensée économiqueEcole classique ; 18em siècle, Smith, Ricardo, Malthus, Say Marx ; 18em/19em sicèleEcole néo-classique ; Walras, Pareto,Mengel, Marshall J.M. KeynesLibéraux - Comptemporain ; Laffer, Friedman, Hayek 1 : La pensée libéral classique et néo-classiqueLes écoles classiques et néo-classique ont en commun un certains nombres de principe de base :°L'individualisme et rationalité des individusSensible au philosophe des lumières, chaque être humain

. 1.4 La pensée keynésienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Une rupture méthodologique avec les classiques . . . . . . . 1.4.2 Une rupture thématique avec les classiques . . . . . . . . . . 1.5 La pensée économique depuis Keynes . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5.1 Une convergence entre les paradigmes classique et keynésien . 1.5.2 Le maintien d’une orthodoxie néoclassique . . . . . . . . . . 1.5.3 Les détracteurs de l’orthodoxie néoclassiques . . . . . . . . . . . .

futur et du salaire passé. De plus, on s’est interrogé sur la validité de la relation en période de crise. -constatation empirique : pr Keynes la consommation s’accroit moins rapidement que le revenu als que Kuznets par des études empiriques montrent la stabilité de la propension moyenne à consommer. La fonction de consommation friedmanienne : Pr Friedman, seule la fonction de consommation de longue période est significative car sa théorie est basée sur le revenu permanent. Sa théorie démontre

consommateurs / de production qui permettent d’obtenir d’autre bien, ils ne se détruisent pas au premier usage. - Les biens matériels (bien physique) / service (production qui se matérialise pas par un bien matériel) L’économie c’est de gérer cette comparaison et c’est aussi du choix. On peut être toujours dans la critique et dans l’opposition. C’est lié à des choix de société. Pour résoudre le conflit, on procède à des choix économiques ceci à l’occasion de trois grands moment de la vie économique :

vainqueurs et des vaincus avec l’aide des EU. o Nécessité pour expliquer nos besoins et nos priorités de redressement. o Crée également pour une raison concernant l’évolution des mentalités, des idéologies : au XXème siècle courant de pensées porté par Keynes aux EU qui aura une forte influence : auteur qui va largement affirmer la nécessité de l’intervention de l’état dans l’activité économique. Prévoir : Il a été plus facile de prévoir dans certaines périodes plutôt que d’autres. Au sortir de la guerre

ménages alimente leur demande sur le marché des biens et des services, ce revenu des ménages est également alimenté par le fruit du marché du travail et par l’épargne (marché financier) Section 1 : Analyse Keynésienne Paragraphe 1 : Objectifs Keynes en 1936 écrit son livre qui fait suite à la crise économique de 1929, période avec un fort chômage persistant et il se demande pourquoi la crise perdure. Il propose une analyse du pourquoi et du comment, une analyse novatrice et il va mettre en évidence

monnaie est elles-mêmes liées. La causalité vient de la base monétaire qui détermine elle-même le niveau général des prix (et donc le taux d’inflation). Cette vision domine le courant classique et néoclassique jusqu’au courant monétariste de Milton Friedman. Section 1 : La progression d’édification de la théorie quantitative de la monnaie 1.1 Les origines (Bodin, Ricardo) 1494 : Découverte de l’Amérique → Afflux d’or en Espagne et au Portugal La théorie dominante est la théorie mercantiliste

l’équilibre ? Equilibre général : économie de marché où les prix s’équilibrent en fonction de l’offre et de la demande, notion d’autorégulation découverte par Walras en 1974. Ces notions sont disponibles à l’économiste pour savoir où nous allons. Keynes : équilibre global. Tout cela explique quel est l’objectif. Quel est le souhaitable en terme de structure de marché ? La concurrence. L’équilibre le plus souhaitable c’est la CCP. Lorsque nous nous trouvons en dehors de ces situations de concurrence

« neutre» renvoie au vocabulaire des classiques et des néoclassiques, à l'idée de monnaie voile, c'est-à-dire limitée à son rôle d'intermédiaire des échanges, sans rôle actif dans l'économie. Le débat autour de la nature de la monnaie est ancien. Keynes dans sa "Théorie Générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie" en 1936 oppose à l'hypothèse classique de la neutralité une vision très différente et affirme la possibilité de souhaiter détenir de la monnaie pour elle-même. Il développe ainsi