Comparaison Keynes Et Friedman

des effets externes négatifs (pollution par exemple). Le PIB pose aussi des difficultés méthodologiques à cause de l’évolution des prix. De même il existe des difficultés d’opérer des comparaisons internationales en raison de l’évolution du taux de change. Pour tenter de surmonter ces difficultés, les comparaisons internationales sont exprimées en Parité de Pouvoir d’Achat (PPA) c'est-à-dire de choisir un panier de produits commun au pays étudiés. Cela permet d’éliminer sur une longue période les

Il doit donc changer le surplus des biens quil produit contre dautres biens fabriqus par ses semblables. Cest la naissance du troc. Or le troc prsente plusieurs inconvnients. Cest la raison pour laquelle, il tait ncessaire dintgrer un lment de comparaison. Cet lment ne peut tre, ce stade du raisonnement quune monnaie abstraite, cest dire qui ne donne pas lieu une reprsentation concrte. Exemple le temps, les grains dorge 2.2. De la monnaie abstraite la monnaie concrte ou matrielle La monnaie matrielle

une opération d’achat. En plus, la monnaie offre à l’agent économique la possibilité de choisir le moment d’acquérir le bien qu’il désire. B- La monnaie – Etalon de valeurs : Les prix des biens sont exprimés en monnaie, cela facilite la comparaison de la valeur des biens les uns par rapport aux autres (La monnaie est donc une unité de comptes) . Prix unitaires Prix relatifs 1A = 20Dhs 1A = 1B + 2C 1B = 10Dhs 1A = 4C 1C = 5Dhs

Dichotomie entre approche classique et néo-classique. Les approches classiques et néo-classiques sont toutes deux dotées de théorie de la valeur, chez les classique, c'est le travail qui confère la valeur, chez es néo-classique, c'est l'utilité. Chez Keynes, il n'y a pas de théorie de la valeur. Chez les classiques et néo-classiques, la valeur des biens et services est déterminée avant la monnaie, par exemple on dit qu'une table vaut deux chaises. La quantité de monnaie va permettre ensuite de déterminer

debouché sur une grande modération, cette modération s’exprime dans la baisse de l’écart entre les taux d’inflation (5 et 9% suite pol restrictive écart est plus faible) Il en est de même pour le PIB, on peut représenter cette Grande modération en comparaison avec la Grande Croissance (1945-1970) à l’aide d’un graphique * (écart entre niveau d’inflation et niveau de production en terme de %). Courbe décroissante dans ce plan où figure l’écart de production, et l’écart de taux inflation (pie) relation

l’école de Cambridge » (où il a enseigné pendant plus de vingt ans) ont été repris (pour être acceptés, ou complétés, ou critiqués) par tous les grands « néo-classiques » du XXème siècle, aussi bien Keynes et ses disciples que les membres de « l’école de Chicago », dont le plus célèbre aura été Milton Friedman. Les prix équilibrent offres et demandes L’habileté de Marshall a été de concilier deux approches de la valeur apparemment contradictoires : celle de Ricardo et Marx qui liaient la valeur

quand la demande baisse de moins de 10 %, on dira que la demande est inélastique Exemple : le carburant, le tabac 3 - La fonction de consommation Keynésienne L’école classique s’intéresse à la rationalité du comportement individuel alors que Keynes étudie la consommation au niveau macroéconomique, au niveau National. Il observe que la fonction de consommation est fonction du revenu national : C = f ( Y ) Il observe la loi psychologique fondamentale : « En moyenne et à la plupart du temps

monnaie. Ainsi, si le prix d’un écran à tube cathodique est de 200 € et celui d’un écran plat de 600 €, cela signifie que l’écran à tube cathodique vaut trois fois plus que l’écran plat. C’est la monnaie, ici l’euro, qui permet d’établir cette comparaison de la valeur des différents biens. 1.1.1.3 La monnaie: instrument de réserve de valeur La monnaie est un instrument de réserve de valeurs car au lieu de dépenser immédiatement la monnaie dont on dispose, on peut la conserver et décider de

Une fois cette analyse des comportements individuels réalisée la microéconomie étudie par quel biais l'ensemble des décisions individuelles vont s'harmoniser ou se coordonner. La solution privilégiée est celle du marché ou du système de prix. Friedman (auteur contemporain, américain) : « Les prix qui émergent des transactions volontaires entre les acheteurs et les vendeurs sont capables de coordonner l'activité de millions de personnes dont chacune d'elle ne connaît que son propre intérêt. »

production résidants y compris si la société appartient à des étrangers. PIB= VA +TVA + droits de douanes- subventions reçues. PIB donne des informations en valeur. Soit utilisé brut ou divisé en nombre d’habitant. Il est aussi utilisé en comparaison, d’une année à l’autre pour définir le taux de croissance. Avant 1976 , les services non-marchands n’étaient pas comptabilisé dans le PIB. On essaie d’évaluer la richesse produite par les services publics. La pluparts des auteurs libéraux du 19e