Comparaison Keynes Et Friedman

néfaste en raison de l'apparition d'un chômage involontaire qu'elle entraine. Ce résultat théorique est-il vérifié empiriquement? Une étude : D. Card et A. Kruger aux Etats-Unis. Analyse de l'effet d'une hausse du salaire minimum sur l'emploi. Comparaison entre 2 Etats américains Résultat : là où le salaire minimum a augmenté, l'emploi a également augmenté! Infirmation apparente du résultat théorique. Interprétation possible du résultat empirique pour « sauver » le résultat théorique. Le résultat

keynésienne John Maynard Keynes (1883-1946) observe la grande crise des années 1930 et considère que les mécanismes autorégulateur du marché ne peuvent permettre de résoudre les problèmes de chômage et de déflation c'est-à-dire une baisse cumulée des prix et de la production. Keynes ne résonne donc pas en termes de marché mais sous un angle du circuit économique qui met en relation les grandes variables économiques. Keynes se trouve donc en rupture avec l’approche néoclassique. Keynes effectue un raisonnement

.............................. 18 Milton Friedman et le concept de revenu permanent .......................................................................... 20 3. a) b) La théorie de cycle de vie d’Ando Modigliani (1963) ............................................... 22 Le modèle de base .............................................................................................................................. 22 Le modèle étendu de Friedman .........................................

faut avoir de l’épargne des moyens et de l’invt pour les classiques. Malthus : répartition soir assez favorable aux salaires pour qu’il y ai un pouvoir d’achat sup. 14 J.B Say et la loi des débouchés Le pt de départ de l’analyse de keynes. Il fait le pt de basculement entre les classiques et les néo classique en parlant de valeur d’usage. C’est pas le travail qui fonde la valeur, mais vient de son utilité. La valeur des marchandises prènent une valeur sub, individuelle. Les néo vont

INTRODUCTION À L’ÉCONOMIE Chapitre 1: Les temps de l'activité économique L1 Droit Olivia Ricci Plan 1. La production 1.1 Comment produit-on ? 1.2 La mesure de la production 1.3 Comparaisons internationales 2. La répartition 2.1 Présentation 2.2 Le partage entre les profits et les salaires 3. La consommation 3.1 La consommation des ménages 3.2 L'investissement 3.3 La consommation publique Plan 1. La production 1.1 Comment produit-on ? 1.1.1 Définitions 1.1.2 La facteur travail 1.1.3 Le facteur

monnaie, par les investisseurs, et l’Offre de monnaie, par les épargnants.la monnaie ne peut donc en rien modifier la réalit é de échange et elle n’est qu’un moyen de reglement sans aucun autre valeur. LA THEORIE KEYNESIENNE Lorsque John Maynard Keynes (1883-1946) écrit la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie, il propose une analyse économique faisant une place nouvelle à la monnaie. Alors que la théorie quantitative de la monnaie part du principe que la monnaie n’a pas d’utilité

partie dû au patrimoine professionnel mais il est aussi le fait d’un comportement d’épargne différent des indépendants, lié à la moins grande stabilité de leurs revenus et à la nécessité de s’assurer un complément de retraite 2. Dans le cadre de comparaisons internationales  Cas des économies émergentes : cf. courbe de KUZNETS. Les inégalités de revenus seraient dans un premier temps inéluctables pour permettre l'accumulation du capital, quand l'épargne d'un petit groupe à revenus élevés est nécessaire

- Le fait de retenir hypothèses, axiomes et principes détache de la réalité. Cependant, Von Mises s’inspire de Spinoza pour déclarer que le comportement humain est marqué par des principes simples (intuitifs et donc inutiles de démontrer). M. Friedman les justifie en disant que le rapport à la réalité est inutile pour la théorie (cf la physique qui emploie nombre d’hypothèses impossibles). 3 Les relations entre la science et la pratique - La théorie sert de prévision et de vérification mais

IS-LM Dès la publication du livre de Keynes, Théorie générale de la monnaie et de l’intérêt (1936), plusieurs économistes comme Roy Harrod [1], James Meade [2] et Oskar Lange [3] se sont efforcés de mettre les relations décrites pas Keynes sous forme mathématique en particulier pour traiter les problèmes posés par l’interdépendance entre la théorie de la demande effective et celle de la préférence pour la liquidité. Au même moment John Richard Hicks, publia "Mr Keynes and the Classics : A suggested interpretation" dans

EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre crée sa propre demande » =>pour Keynes, la demande est la base de l'éco. « la production est la combinaison du facteur travail et du devoir capital » C*T=P evaluée en valeur