Comparaison Keynes Et Friedman

Année universitaire : 2013 /2014 I – les grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique

d’1 agt écoq sur 1 autre agt écoq sans que cela passe / le Mé). -PIB subit des distorsions / rapport à l’évo° des px relatifs car px des Xts agricoles augmentent – vite que cx des Xts industriels. -évo° des tx de change dc diff à faire des comparaisons internatio. Dc on raisonne en Parité de Pvr d’HA (choisir un panier de Xts commun aux pays étudiés) -Non prise en compte ni de l’éco souterraine, ni de la X° domestique. 3- De new indicateurs - IDH (Indice de dvpt humain)

l’approche keynésienne est très distincte. L’acte d’épargne ne précède plus l’acte de consommation mais, au contraire, le succède. En conséquence, l’épargne n’est plus déterminée par le taux d’intérêt mais par le revenu disponible du ménage. Ainsi pour Keynes, l’épargne est un résidu. Les ménages choisissent tout d’abord, le montant de leur consommation, l’épargne étant constituée par le reste de revenu. Au niveau macroéconomique, la fonction de consommation est fonction croissante du revenu disponible

http://code.pediapress.com/ pour plus d€informations. PDF generated at: Thu, 18 Aug 2011 21:25:32 UTC Contenus Articles Histoire de la pens€e €conomique Chr€matistique Mercantilisme Physiocratie •cole classique Marxisme €conomique Historicisme Keyn€sianisme Mon€tarisme •cole autrichienne d'€conomie •cole n€oclassique N€okeyn€sianisme •conomie de l'offre Synth‚se n€oclassique Nouvelle €conomie classique 1 18 20 34 38 41 46 49 60 61 66 72 74 75 76 R€f€rences Sources et contributeurs de l€article

de critères. Les agents économiques abstraits vont être représentés par des classes de caractéristiques comme le revenu. Cela pourra aboutir à un certain nombre de difficultés. L’analyse du comportement du consommateur devrait être conduite en comparaison de l’analyse du comportement du producteur. La production et la consommation sont un même phénomène mais dans un temps différent. Toute production a pour raison d’être la consommation et toute consommation nécessite une production préalable. Il

du chômage et baisse des salaire. ➢ La pensée Keynésienne - Les bases : John Maynard Keynes a dvpé sa pensée pdt la crise eco de 1929. Il a démontré que la somme des comportements isolés de chq indi eco n étais pas compatible ac l’intérêt général. - Les principes : Pour Keynes, en période de crise, seul l’Etat est en mesure de stimuler la demande lorqu’elle est insuffisante. Keynes préconise donc des mesures de relance pour redonner confiance aux ent et aux consos. ➢ Les

apparaître 3 courants théoriques : La plus ancienne approche, qui est la théorie quantitative de la monnaie (TQM) La théorie Keynésienne, qui montre que le taux d’intérêt est une variable monétaire L’approche des monétaristes (Fondateur : Milton Friedman) 4.1 La théorie quantitative de la monnaie La neutralité de la monnaie La tradition classique se caractérise par sa vision dichotomique, c.-à-d. – d que la théorique économique se divise en 2 branches distinctes, à partir de 2 mondes distincts :

Dette publique Variation des prix avec le temps Unités monétaires différentes ● PIB en monnaie courante PIB en monnaie constante PIB en parité du pouvoir d’achat PIB / Habitant en parité du pouvoir d’achat Comparaison Inter-temporelle (Par rapport au PIB de 1995) Comparaison Inter-temporelle (Par rapport au PIB de 1995) ● PIB Nominale : ∑ Biens finaux produits×Prix courant ф2ф ● PIB Réel : ∑ Biens finaux produits×Prix constant Parité du pouvoir d'achat (PPA) ::

Lionel Robbins, eux aussi en 1933, ont également mis en avant la rigidité des salaires et les allocations chômage comme des causes importantes du chômage. La seconde grille de lecture est celle de John Maynard Keynes, qui a développé une analyse différente dans sa Théorie générale de 1936. Keynes a proposé une explication inverse de celle de la théorie néoclassique, à savoir que le chômage est involontaire et que la cause principale est une insuffisance de la demande effective. Pour remédier à cela

efficace par augmentation des dépenses publiques que par diminution des impôts. Théorème d'Haavelmo : Il concerne l'effet multiplicateur du budget de l'État. Jusqu'aux travaux d'Haavelmo (prix Nobel 1989), l'effet multiplicateur était celui énoncé par Keynes : un déficit budgétaire (financé par emprunt) engendrait un surplus de croissance. Le théorème de Haavelmo indique qu'un budget équilibré n'est pas forcément neutre. Dans une situation de sous-emploi, un accroissement des dépenses publiques financé