Comparaison Mesguich Et Delcampe

Molière, Dom Juan Dans le cadre du cours de français, nous avons visionné la légendaire pièce de théâtre Dom Juan de Molière mise en scène d’une part par Armand Delcampe et d’autre part par Daniel Mesguich. Dom juan est une pièce qui reste célèbre à travers le temps. Cette pièce évoque les nombreux vices et problèmes du XXVIIe siècle. Nous allons essayer de voir lesquels et pourquoi. Dom Juan a été écrit par Molière en 1665, pleine époque du Classicisme. Au XXVIIe siècle

le théâtre Mises en scènes : 1. Dom Juan de Marcel Bluwal 2. Dom Juan d’Armand Delcampe 3. Dom Juan de Daniel Mesguich Thématiques : * le rôle de l’architecture : le monumental comme figuration du transcendant (Bluwal) * le rôle du déguisement et des décors, l’anachronisme  (Mesguich) * les figurations du commandeur : un enfer érotique, ou une nouvelle crucifixion ? (Mesguich/ Delcampe)  Réinterprétations : * Don juan ou la récriture de la lyrique amoureuse : Claudio

de compléter l’étude du texte « par l’analyse de mises en scène comparées ». Or Dom Juan a l’intérêt d’offrir de nombreuses possibilités de comparaisons en raison du grand nombre de mises en scène dont la pièce a fait l’objet. La fin de ce dossier proposera notamment des pistes d’analyse pour l’étude comparée du Dom Juan de Bluwal et de celui de Daniel Mesguich (également disponible en DVD sur la boutique Zérodeconduite.net). La présentation de certains documents (textes, photographies ou liens vers

discours qu'il tient en acte I scène 2 et qui est bien moins virulent) : « Je t’ai fait cette confidence avec franchise » : ici il parle franchement, sans retenue et va jusqu’à traiter son maître de tous les noms d’oiseaux. La mise en scène d'Armand Delcampe choisit de faire apparaître Don Juan -caché de Sganarelle- mais il entend tout ce que Sganarelle dit de lui. On voit les mimiques ironiques de l'acteur qui joue le rôle de Don Juan, et qui semble s'amuser de ce discours. De plus il s'agit d'une situation

LECTURES ANALYTIQUES ÉTUDE ET COMPARAISON DE MISES EN SCÈNE MISE EN VOIX 6 : Eugène Ionesco, La Cantatrice chauve : le dialogue absurde entre les époux Smith au sujet de Bobby Watson (scène 1), 1950. • Étude d’une mise en scène : La Cantatrice chauve par Jean-Luc Lagarce (1991, reprise en 2007). Extrait de la scène d’exposition d’En attendant Godot. 7 : Samuel Beckett, En attendant Godot : extrait de la scène d’exposition, 1952. • Étude et comparaison de mises en scène, entre farce

l’on joue une comédie particulière..." Ces salles représentent les foyers, où les actrices viennent être remerciées/complimentées par les spectateurs les plus influents. On peut remarquer une comparaison avec le théâtre perse : « à peu près comme celles qui sont en usage en notre perse »(5). La comparaison permet ici d’élargir la portée du tableau : l’auteur montre que ce qu’il se passe en France est valable partout, et notamment en Italie, berceau du théâtre. Il ne cible donc pas uniquement les

l’on joue une comédie particulière..." Ces salles représentent les foyers, où les actrices viennent être remerciées/complimentées par les spectateurs les plus influents. On peut remarquer une comparaison avec le théâtre perse : « à peu près comme celles qui sont en usage en notre perse »(5). La comparaison permet ici d’élargir la portée du tableau : l’auteur montre que ce qu’il se passe en France est valable partout, et notamment en Italie, berceau du théâtre. Il ne cible donc pas uniquement les

vous voudrez : il m’importe bien que vous soyez damné ! » | -Molière, Dom Juan : II. 1 ; IV. 3,4,6,7 ; V. 2 à la fin de la pièce.-E. E. Schmitt, La nuit de Valognes, Magnard Lycée, 2004-Mise en scène d’Armand Delcampe à l’Abbaye de Villers-la-Ville en 1999 -Mise en scène de Daniel Mesguich de 2003, au Théâtre du Gymnase, à Marseille- Travail sur la réécriture du personnage de Don Juan.- Molière, Tartuffe ou l’imposteur, IV, 5, 1669- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, I, 8, 1784- Hugo, Hernani, III

laisse entendre qu’elle ne marche pas droit, qu’elle ne file pas droit ; le verbe « coupait », quant à lui, confirme qu’elle ne suit pas le droit chemin en continuant tout droit sur le boulevard mais en empruntant une rue perpendiculaire et la comparaison surprenante « comme une faux » peut faire référence à la représentation allégorique traditionnelle de la Mort munie d’une faux venant trancher la vie, comme la Parque qui, dans la mythologie grecque, coupe le fil de la vie. Ici, c’est la mort

détache, laisse entendre qu’elle ne marche pas droit, qu’elle ne file pas droit ; le verbe « coupait », quant à lui, confirme qu’elle ne suit pas le droit chemin en continuant tout droit sur le boulevard mais en empruntant une rue perpendiculaire et la comparaison surprenante « comme une faux » peut faire référence à la représentation allégorique traditionnelle de la Mort munie d’une faux venant trancher la vie, comme la Parque qui, dans la mythologie grecque, coupe le fil de la vie. Ici, c’est la mort symbolique