Comparer Le Cid Et Horace

 JODELLE,  CLEOPATRE  CAPTIVE  (1553)  ....................................................................................  13   CORNEILLE,  LE  CID,  1637  ................................................................................................................................  15   CORNEILLE,  LE  CID,  IV,  3  (V.  1257-­‐1288)  ...................................................................................................  16   CORNEILLE,

aux répétitions de consonnes). | Ex : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? « (Racine, Andromaque, V, 5 | Anaphore | Procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. | Ex : dans Horace de Corneille (acte IV, scène VI) : «  Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! / Rome, qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! / Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! » | Antonomase

temps de pluie – 1877 © akg-images/Erich Lessing Le tableau représente une vue de la place de Dublin, dans le 8e arrondissement de Paris, prise depuis le 22 de la rue de Moscou; il est intéressant consulter sur internet un plan de la place et de comparer la vue actuelle de ce lieu (que l’on trouve facilement sur internet), avec celle qu’en donne Caillebotte. 12 CNED SECONDE – FRANÇAIS SÉQUENCE 1 Ce carrefour en étoile, formé par les rues de Moscou, Clapeyron, de Turin et de Saint-Pétersbourg

|En tragédie : Corneille : 1606-1684 : il a trouvé une forme saisissante pour | |Histoire littéraire du 17ème et 18ème siècle |présenter dans des situations pathétiques les âmes humaines. Le Cid, Cima, Horace…| |Reposant essentiellement sur l’imitation des anciens et l’observation morale, la |Les écrivains scientifiques et philosophiques : | |littérature c’est alors développée dans des conditions qui étaient plus

la scène », comme dans une tragédie. Enfin, c’est le caractère « dramatique » de l’œuvre qui est tout simplement contesté, dans la mesure où «  il ne se passe point d’actions » et que « tout consiste en des récits que viennent faire ou Agnès ou Horace » (propos tenus par le poète Lysidas dans La critique de l’École des femmes, scène 6). 3. L  a riposte de Molière et la définition de la « comédie classique » Le débat qui s’établit dans La Critique de L’École des femmes entre d’une part

la scène », comme dans une tragédie. Enfin, c’est le caractère « dramatique » de l’œuvre qui est tout simplement contesté, dans la mesure où « il ne se passe point d’actions » et que « tout consiste en des récits que viennent faire ou Agnès ou Horace » (propos tenus par le poète Lysidas dans La critique de l’École des femmes, scène 6). 3. La riposte de Molière et la définition de la « comédie classique » Le débat qui s’établit dans La Critique de L’École des femmes entre d’une part, Célimène

ensanglante la scène », comme dans une tragédie. Enfin, c’est le caractère « dramatique » de l’œuvre qui est tout simplement contesté, dans la mesure où « il ne se passe point d’actions » et que « tout consiste en des récits que viennent faire ou Agnès ou Horace » (propos tenus par le poète Lysidas dans La critique de l’École des femmes, scène 6). 3. La riposte de Molière et la définition de la « comédie classique » Le débat qui s’établit dans La Critique de L’École des femmes entre d’une part, Célimène

la scène », comme dans une tragédie. Enfin, c’est le caractère « dramatique » de l’œuvre qui est tout simplement contesté, dans la mesure où «  il ne se passe point d’actions » et que « tout consiste en des récits que viennent faire ou Agnès ou Horace » (propos tenus par le poète Lysidas dans La critique de l’École des femmes, scène 6). 3.  a riposte de Molière et la définition de la L « comédie classique » Le débat qui s’établit dans La Critique de L’École des femmes entre d’une part

introduisent nuances qui relèvent de la psychologie. But comparaisons précises : substituer modèles latins aux grecs (démonte Homère en règle face à Virgile) => phénomène général de latinisation de la culture au milieu du XVI° (comparer deux préfaces de la Franciade) • Horace finit par remplacer Aristote ds modèle d'art poétique : art poétique de Vauquelin : tend à faire d'observation isolées des lois absolues (ton doctoral, formulation constante de l'impératif) Deuxième leçon : de Malherbe à

questionner le fond et la forme pour trouver des connexions entre les différents niveaux du texte et dégager, ce faisant, sa pertinence. C’est ainsi que vous parvenez à donner un sens à votre lecture et, partant, à votre analyse.Dans le cas où il faut comparer l’ouverture et la fermeture d’un texte, il convient de :· relever tous les points communs, · souligner les différences, · interpréter les évolutions, · mettre en parallèle le début et la fin du texte (le 1er mot et le dernier ; la 1ère phrase et