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Jean-Louis LE MOIGNE "LA MODÉLISATION DES SYSTÈMES COMPLEXES" SOMMAIRE 1. L'auteur * 2. La question posée * 3. Actualité de la question * 4. Critique * 5. Résumé * 1) L'auteur Jean-Louis Le Moigne est professeur de sciences des systèmes à l'université d'Aix-Marseille III (Groupe de Recherche en Analyse de Systèmes et Calcul Economique, CNRS

Représentations et propriétés des Grandeurs sinusoïdales b- Représentation complexe Partie 1- L’alimentation en énergie électrique Chapitre 1 - Les systèmes monophasés 2- Représentations et propriétés des Grandeurs sinusoïdales c- propriétés des grandeurs sinusoïdales A la grandeur sinusoïdale : on associe le nombre complexe u (t ) = U 2 sin (ωt + ϕ ) - Combinaison linéaire si us(t) = u1(t) + u2(t) le nombre complexe associé Ūs= Ū1 + Ū2 r r r le vecteur associé :U s = U 1 + U 2 U = Im 2 U

P = 117,7 W S = 239,8 VAR Des puissances active et apparente, nous pouvons déduire le déphasage φ. Cos φ = = = 0,49  φ= 60° Nous avons construit un diagramme de Fresnel suivant le modèle ci-après (non à l’échelle). 60° Nous trouvons alors une valeur de IN= 1,5A. Nous avons également cherché cette valeur avec la méthode des nombres complexes. Pour I1 : Déphasage nul par rapport à la

l’étude des systèmes stables constitués par un nombre limité d’éléments en interaction linéaire. - : Pas adaptée pour un système complexe (complexité synonyme d’inaccessible) Induit la méconnaissance des interactions Le précepte du réductionniste est basé sur une conception de la science selon laquelle il serait impossible de parvenir à comprendre les systèmes complexes si l'on n'avait pas commencé au préalable par isoler les diverses parties qui les composent. Base de la pensée scientifique : raison

puissance maximale. La détermination de la puissance maximale qu’une ligne peut transporter est complexe. Elle doit prendre en compte par exemple la stabilité du réseau, les limites thermiques de la ligne, les limites de chute de tension… (Voir paragraphe dédié à ce sujet). Rendement d’une ligne En triphasé, si on désigne par U la tension entre phases et V la tension de phase, les puissances complexes [kVA] reçue et injectée s’écrivent respectivement: S R = 3U R I R S S = 3U S I S * * Équation

présent guide contient des exemples qui illustrent l’utilisation des fonctions et opérations de base de la calculatrice. Les chapitres sont organisés par ordre de difficulté. Du paramétrage des modes de la calculatrice aux calculs de nombres réels et complexes, opérations avec des listes, vecteurs, matrices, exemples détaillés des opérations graphiques, utilisation des chaînes de caractères, programmation de base, programmation graphiques, analyses de vecteurs, applications avancées et opérations à plusieurs

U=u1xu2 U=u1/u2 =1+2 =1-2 * Tableaux des impédances complexes élémentaires : Dipôle Impédances | Forme exponentielle | forme polaire | Résistance (R) | zR= R | zR=[R;0] | Inductance(L) | zL= jLω | zL=[Lω;π/2] | Condensateur (C) | zC= -j/(C .ω) | zC=[1/(C.ω);-π/2] | * Tableaux des admittances complexes élémentaires : Dipôle admittance | Forme exponentielle | forme polaire | Résistance (R) | yR= 1/R |

avec les signatures suivantes : Public Public Public Public Function Function Function Function DFT(monSignal() As Double) DFTInverse(maTransformee() FFT(monSignal() As Double) FFTInverse(maTransformee() As As As As Complexe() Complexe) As Complexe() Complexe() Complexe) As Complexe() Indication : Pour un bon déroulement des TPs, il est conseillé de traiter les parties 4 et 5 et si possible d’aborder la FFT lors de la première séance. Pour le groupe SI, ces deux parties doivent être effectuées

phallique ou génital : * Début vers 2 ans * Caractéristique : curiosité concernant le mystère de la sexualité 1.2. Relations. Structures psychologiques * Le complexe d’Œdipe : Passage de la relation duelle mère-enfant à la relation triangulaire. Comment se déroule le complexe d’Œdipe ? * Le déclin du complexe d’Œdipe Investissement d’autres objets Interdit -> Surmoi * La puberté Période de crise. Révolte contre l’autorité. Maturité psychologique. 2. Psychanalyse

Cette modélisation, complémentaire de techniques plus analytiques, ne vise pas une "vérité" intrinsèque, mais seulement une meilleure connaissance de l'objet d'études à des fins d'actions futures. A partir de l'étude d'objets actifs de plus en plus complexes, jusqu'aux systèmes vivants les plus évolués, les théoriciens ont effectué une synthèse de leurs principales caractéristiques : c'est l'approche systémique. Une représentation systémique pose en principe trois niveaux logiques et seulement trois