Complexe majeur d'histocompatibilité

peut former un organe, comme le rein, les muscles, le foie. Ces organes ont une physiologie et un fonctionnement qui leur sont propres. Le rein est une somation de petits néphrons. Ces organes vont s'associer entre eux pour former un système plus complexe comme ici le système urinaire. L’élément fondateur reste la cellule, leur agencement confère la particularité de chaque organe, une fonction particulière. Les systèmes s'associent entre eux pour former un être vivant, ici l'humain. D’où vient

Plasmodium falciparum dans des fèces de gorille infecté montre par analyse phylogénétique que ce parasite primatophile serait l'ancêtre de la souche qu'on retrouve chez l'homme)6. Il y a environ 10 000 ans, le paludisme commence à avoir un impact majeur sur la survie humaine, ce qui coïncide avec le début de l'agriculture (révolution néolithique) donc à la sédentarisation. Une des conséquences (impact + modification du mode de vie) en est la sélection naturelle des gènes de la drépanocytose, des

anti-VIH: anticorps anti-VIH AES : accidents d’exposition du sang Ag : Antigène ALCS : Association marocaine de lutte contre le sida ARV : Antirétroviraux CD4: Cluster of Différenciation 4 CDI: Consommateurs de drogues injectables CMH : Complexe Majeur d’Histocompatibilité CTV : Centres de Test Volontaire EIA : Enzyme Immunoassay ELISA: enzyme-linked immunosorbent assay HAART: Highly Active Antiretroviral Therapy  HAS : Haute Autorité de Santé HSH: Hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres

quatre pour cent de la population cellulaire épidermique. Elles jouent un rôle dans la kératinisation et surtout dans la réponse immune épidermique, cellules présentatrices d’antigènes, sous le contrôle des antigènes complexes majeurs d’histocompatibilité (CMH). Elles ont un rôle majeur dans l’allergie de contact, en captant l’antigène et le présentant aux lymphocytes sensibilisés. Elles interviennent également dans les réactions immunitaires épidermiques de défense contre les bactéries et les virus

multipotentes du sang placentaire ont de nombreux avantages par rapport aux cellules souches adultes. D’une part, elles ont plus de potentialités et d’autre part, elles expriment moins d’antigènes du système HLA à leur surface. Ces antigènes d’histocompatibilité revêtent une grande importance puisqu’ils sont les dispositifs par lesquels les cellules souches administrées à un individu pourront être reconnues comme étrangères par son système immunitaire. Toute reconnaissance d’un antigène étranger déclenche

opérateur, P : promoteur, I : gène lacI, Z : gène lacZ, Y : gène lacY, A : gène lacA 2 2 3 Dans le cas de l’opéron tryptophane (figure 2), le tryptophane présent dans le milieu se lie à un répresseur libre, inactif (ou aporépresseur), formant un complexe actif pouvant se fixer sur l’opérateur. La transcription de l’opéron trp est alors bloquée. En absence de tryptophane, la transcription est possible, ce qui permet à la cellule de synthétiser son propre tryptophane. Ce dernier est un corépresseur

• Les mitochondries et les péroxysomes Les mitochondries assurent la respiration cellulaire (consommation d’O2, production de CO2 et d’H2O) et la synthèse de molécules riches en énergie (Adénosine Tri-Phosphate ou ATP). Elles jouent aussi un rôle majeur dans la mort cellulaire programmée ou apoptose. Les péroxysomes sont de petits organites impliqués dans la destruction des radicaux libres (détoxification). Cours 10 • Le cytosquelette Le cytosquelette est un réseau de filaments protéiques

susceptibilité à la sclérose en plaques, certains sont déjà connus pour leur rôle dans la SEP (comme les gènes du groupe hLA, le complexe majeur d’histocompatibilité), mais beaucoup d’autres n’étaient pas encore suspectés. Sur l’ensemble de ces gènes, 32 correspondent à des gènes de l’immunité, ce qui confirme que l’inflammation, la réponse immunitaire et leurs dérèglements jouent un rôle majeur dans le développement de la maladie. La prochaine étape, appelée validation fonctionnelle, consistera à comprendre en

biologiques 81 82 82 84 86 88 PARTIE II CATALYSE BIOLOGIQUE : STRUCTURE ET MÉCANISME D’ACTION DES ENZYMES CHAPITRE 5 • Cinétique enzymatique Relations entre la vitesse de réaction et la concentration du substrat ou de l’enzyme Théorie du complexe stéréospécifique et propriétés cinétiques des enzymes Équation de Michaelis-Menten Détermination expérimentale des valeurs de Vmax et de KM Signification physique de KM Signification physique de la constante catalytique Kcat Le critère Kcat/KM mesure

la cellule hôte : rôle des protéines de la membrane plasmique 33 3) Attachement apical du parasite à la cellule hôte : rôle des protéines de micronèmes 34 4) Extrusion du conoïde 37 5) Propulsion dans la cellule hôte grâce au glideosome 38 a) le complexe membranaire interne (IMC) et le réseau sous-pelliculaire 39 b) les microtubules sous-pelliculaires 40 c) Le cytosquelette d’actine 41 d) La myosine 42 e) Le glideosome 42 6) Tri des protéines cellulaires admises dans la membrane de la VP : coopération