Complicité Entre Le Spectateur Et Les Acteurs

|Chapitre 2 : le conflit au théâtre, entre rire et émotion | |Objectifs |Lecture |HDA |Langue |Écriture |Oral |Évaluations | | | | | | | | | |-

aventure humaine,les comédiens doivent être particulièrement solidaire et respectueux entre eux pour produire un bon jeu d'acteur. Le théâtre est avant tout une oeuvre collective,un tout. Un bon spectacle l'est par la bonne entente, par le travail collectif des comédiens,le spectateur étant réceptif aux détails de la scène. Enfin,le théâtre nécessitant une gestuelle bien particulière car sujette à l'analyse du spectateur,pousse le comédien/e à un contrôle de son corps et le rend maître de son expression

de manière progressive, du plus évident au plus subtil : – d’abord, l’analyse du dialogue théâtral d’un point de vue technique (longueur des échanges, didascalies indicatrices pour le lecteur, évolution de l’intrigue) ; – puis l’étude des relations entre les personnages (regard plus psychologique sur la scène grâce à votre connaissance de l’œuvre) ; – et enfin un niveau plus subtil prenant en compte l’articulation de cette scène dans le projet global de Beaumarchais (visée de son œuvre). Ces différents

par refaire surface. Le thème principalement abordé est celui de la famille (les problèmes de famille plus précisément). Les personnages sont quant à eux malsains, entre un père particulièrement intolérant et violent, un oncle gardien d’un terrible secret, trois fils au comportement louche et une femme presque prostituée, le spectateur en a pour son compte. Mais alors, comment cette famille, profondément inadaptée à la société humaine, va-t-elle accueillir l’arrivée d’une femme, chose qu’ils n’avaient

répliques tout au long de la pièce. | |Cependant, il arrive à l’auteur d’intervenir à travers les didascalies : alors que les répliques sont les échanges de parole, les | |didascalies sont des indications scéniques qui permettent aux acteurs de jouer correctement la pièce ou aux lecteurs de s’imaginer la | |scène. Les didascalies sont de plusieurs natures : | |Elles peuvent indiquer les déplacements

d’entretenir sa famille après la banqueroute de Law dont il ressort ruiné. Dans ses comédies (La Double Inconstance, 1724, Le jeu de l’amour et du hasard, 1730), Marivaux explore la naissance de l’amour et son développement, mais analyse aussi le rapport entre les différentes conditions sociales et leur évolution dans ce début du 18ème siècle. Résumé : Acte I : Silvia, fille de Monsieur Orgon, craint d’épouser, sans le connaître Dorante, le jeune homme que son père lui destine. Elle décide de se

travestissement, il favorise les rencontres entre Silvia et Dorante, il conseille Lisette lorsqu’elle entreprend de séduire Arlequin, il assiste en spectateur bienveillant à ce qui se joue sous ses yeux. Mario, frère de Silvia : avec son père et en parfaite complicité avec ce dernier, Mario est aussi le témoin du jeu de l’amour et du hasard. Il en connaît les « règles » et cela change son regard sur les deux couples naissants. Il est à la fois spectateur et acteur : il provoque les réactions de Dorante

avancer l’action, communication/échange entre deux personnages Monologue : un personnage seul sur scène, qui se parle à lui-même, qui réfléchit, qui doit prendre une décision, personnage qui est confronté a un dilemme. Tirade : Prise de parole longue tout comme le monologue mais en présence d’autre personnage. Aparté : réplique entendu par le public et pas par le ou les interlocuteurs pourtant présents sur scène. Exprimer une pensée profonde et créer une complicité avec le public. Repartie : réplique

traitement puisque l’impression de Thomas est due à la surprise d’Alicia. On n’est pas dans du fantastique comme dans de nombreux films du genre, sauf peut-être lorsque la neige tombe sur le visage de Thomas, gisant au sol. Il y a tout de même un lien entre ce fait et le début, par les plumes qui tombaient sur lui lorsqu’il était dans l’appartement. L’idée est bonne mais tout de même, deux choses ont négativement soulevé mon attention. Premièrement, le manque de réalisme me gène un peu. Un halo de neige

les personnages sauf Bérenger : « Oh ! un rhinocéros » Ces personnages n’ont aucune personnalité ne réfléchissent pas par eux même et se comportent comme des pantins Bérenger, indolent , il continue à parler alors que personne ne l’écoute et le spectateur n’entend pas ce qu’il dit, il est le seul personnage à garder une parole humaine > il est le gardien de l’humanité Didascalies : 1)Bruit très éloigné, course précipité, barrissement > éléphant, bruit très forts, bruits énormes, bruits galop