Comportement animal

institutions. Il est impossible de superposer chez l’homme une première couche de comportements que l’on appellerait “naturels” et un monde culturel ou spirituel fabriqué. Tout est fabriqué et tout est naturel chez l’homme, comme on voudra dire, en ce sens qu’il n’est pas un mot, pas une conduite qui ne doive quelque chose à l’être simplement biologique, et qui en même temps ne se dérobe à la simplicité de la vie animale, ne détourne de leur sens les conduites vitales, par une sorte d’échappement et

c’est-à-dire tout ce qui n’a pas été altérer par des facteurs environnants. De plus, une réflexion approfondie doit être menée dans le sens ou il serait impossible de prendre en compte le degré de naturel, au sens de normal d’une pensée ou bien d’un comportement humain. D’ailleurs n’est-il pas vrai que les normes changent avec le temps ? Alors la notion de naturel ne serait que le résultat d’une sorte de règle éphémère et ambivalente, la norme, établie par notre société ? Ces interrogations nous

à rendre possible l’appropriation illimité des ressources naturelles. A l’inverse, les cultures qui ignorent l’idée de nature se pensent plutôt en continuité avec les espèces animales et végétales = liens de socialisation. 2) Culture humaine, culture animale ? Les recherches en éthologie (étude du comportement animal) ont levés un « tabou » anthropologique qui réservait la notion de culture aux seules cultures humaines. Cette généralisation à été justifiée au moyen de la notion de variation

enfant (fin de la 1ère année, début de la seconde); 3) Malaise et évitement devant son image (entre 16 mois et 2 ans); 4) Identification de soi (entre 18 mois et 2 ans 1/2). 2 A l’issue de chaque séquence de film qui montre différentes espèces animales face au miroir, noter : - Quel(s) résultat(s) peut-on tirer des d’expériences présentées ? - Quelle étape de la reconnaissance de soi a-t-on mis en évidence pour chaque espèces ? (chien, macaques, capucins, éléphants, orang-outan, chimpanzé, orque)

machine tellement complexe qu’elle deviendrait intelligente. 1- L’intelligence artificielle On parvient aujourd’hui à faire des robots qui s’adoptent à l’environnement, ils reçoivent une information et sont programmés pour y répondre par un comportement intelligent et adapté ( exemple : aspirateurs automatiques ). On fait même des robots qui acquièrent de l’experience, c’est à dire qu’ils se programment eux même en fonction de ce qu’ils découvrent, on peut donc imaginer avoir un robot avec qui

purposive behaviorism ». Bien qu’il conduise des études dont les sujets sont encore des animaux (rats), Tolman parvient à dégager les premiers postulats cognitivistes : 1. Le comportement se situe dans une dimension plus globale. Tolman soutient que l’intention et la signification d’un comportement ne peuvent s’expliquer dans la relation stimuli-réponses parce que d’autres facteurs influencent le comportement. 2. L’apprentissage peut se produire sans renforcement. Tolman renie l’importance accordée

inventé par Alfred de Binet. L’homme n’est pas le seul à faire preuve d’intelligence, certains animaux comme les singes ou bien même les corbeaux, font preuve d’une certaine raison. Par exemple, pour se nourrir, faire un deuil (il a été prouvé que les corbeaux honorent leurs défunts) ou bien encore se comprendre pour se prévenir de prédateurs potentiels. On peut trouver chez de nombreux animaux, des comportements permettant de résoudre des problèmes entièrement artificiels (ouvrir une serrure compliquée

éventuellement les groupes sociaux, et certains mêmes ne s'habillent pas. La notion de nature semble donc devoir être caractérisée par : - son caractère primitif au premier sens où elle est chronologiquement première, le comportement naturel précède le comportement culturel, comme on peut le voir chez l'enfant; - son caractère primitif au second sens de plus rudimentaire, en deçà des valeurs humaines, notamment éthiques ou esthétiques; - son caractère anhistorique : si Socrate s'habillait

certitude empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements d'autrui et des siens, l'ensemble des nature de penser, de sentir, d'agir qui caractérisent une personne, un animal, un pool ou un personnage. divisée en de gros branches d’étude, ses disciplines abordent le domaine par dessus le marché bien au plan théorique que pratique, avec des zèle thérapeutiques, sociales, et parfois politiques ou théologiques. La comportement a pour objectif l'investigation du psychisme en énoncé de hiérarchie

idées, des action d'autrui et des siens, l'ensemble des nature de penser, de sentir, d'agir qui définir une personne, un animal, un constellation ou un personnage. divisée en de gros branches d’étude, ses assujettissement évoquer le domaine tant bien au plan théorique que pratique, avec des applications thérapeutiques, sociales, et parfois politiques ou théologiques. La comportement a pour objectif l'investigation du psychisme en mensualité de structure et de fonctionnement. Elle s'attache donc à décrire