Composition musicale

Salzbourg, Schubert passera l'essentiel de sa courte existence à Vienne, et ayant abandonné la profession d'instituteur et d'aide de son père, il vivra la plupart du temps chez des amis et dédiera sa vie entière à la musique, à la composition et à des réunions musicales: les « schubertiades », ces rencontres amicales où ses lieder connaissent leurs premiers succès. En 1822-23, Schubert est atteint de syphilis, et sa santé ne cesse alors de se dégrader. Il tire de son malheur une musique de plus en

de paour dervee. Li jalous boit par an mainte orde euwee, Mais li wihos a le mal pas passé Puis qu’il voit bien et est en seurté Que sa feme mais autrui n’amera. Par tant dijou que li jalous pis a.” 7) Motet Le motet est une forme musicale qui ce chante à une ou plusieurs voix, et peut être accompagner d’instruments ou non(à cappella). La voix de base, ou teneur, a comme rôle de chanter les longues notes. Par contre, la teneur peut être aussi instrumentale. Les voix additionnelles

régisseur son, car celui-ci à connais parfaitement le répertoire de musique ou la pièce de théâtre. La “Culture musicale” / culture générale est très importante, connaître les différents styles de musique, oeuvres musicales majeures, certains noms de musiciens, nom des instruments, peuvent mettre en confiance les artistes avec qui vous travaillez. Il est important de respecter la culture musicale des interprètes. Dans beaucoup de cas, les régisseurs ont “peur” du son !! Mais en observant une méthode de

Généralités Dénition 3.1 i) Une loi de composition interne T sur un ensemble E est une application de E × E dans E . Pour tout (x, y) ∈ E × E , l'élément T (x, y) est noté xT y . ii) Une partie F de E est dite stable pour la loi T si : ∀x, y ∈ F, xT y ∈ F . iii) Une relation binaire R sur E est dite compatible avec la loi T si : ∀x, y, x , y ∈ E, on a (xRy et x Ry ) ⇒ (xT x )R(yT y ). Exemples 3.1 1) L'opération d'addition, notée +, est une loi de composition interne sur Z. L'ensemble des entiers

Printemps 2010 Chap. III. EspacesVectoriels 1 Chap. III. EspacesVectoriels Printemps 2010 Printemps 2010 Chap. III. EspacesVectoriels 2 Dans ce chapitre, K désignera R, ou C. 1 Espaces vectoriels Dénition 1.1. : On appelle espace vectoriel sur K ( ou K-espace vectoriel ) un ensemble non videE muni d'une loi notée + et d'une autre loi notée ., noté ( E, +, . ), telles que : 1) Pour tout x, y ∈ E, x + y ∈ E. 2) Pour tout x, y ∈ E, x + y = y + x. 3) Pour tout

Remarque Pour montrer qu’une partie est un s.e.v, il est souvent plus efficace de l’écrire comme s.e.v engendré que de revenir à la définition d’un s.e.v. Espaces vectoriels Définition 1 (Espaces vectoriels) Soit E un ensemble muni d’une loi de composition interne E × E −→ E (x, y) −→ x + y et d’une loi externe K × E −→ E (λ, x) −→ λ.x. (E, +, .) est un K-espace vectoriel si et seulement si 1. ∀x, y, z ∈ E, (x + y) + z = x + (y + z) (associativité) 2. ∀x, y ∈ E, x y = y + x (commutativité) 3. la loi

ALGEBRE GENERALE STRUCTURES ALGEBRIQUES LOI DE COMPOSITION INTERNE LOI DE COMPOSITION EXTERNE Soit E un ensemble. Une loi de composition Soit E un ensemble. Soit ? un corps. Une loi de interne ∗ sur E est une application ?′ ? × composition externe ∙ sur E est une application ? ???? ?. Pour tout couple ( ?, ?) ?? ?², ? ∗ ? de? × ? ???? ?. Pour tout couple ( ?, ?) ?? ? × désigne l’image de ( ?, ?) ??? ∗ : ?, ? ∙ ? désigne l’image de ( ?, ?) par ∙ : {( ?× ?→ ? . ?, ?) ↦ ? ∗ ?

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 Représentation matricielle d’un vecteur. . . . . . . . 2.1.3 Représentation matricielle d’une application linéaire. 2.2 Calcul matriciel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Lois de composition. . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Produit de deux matrices . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3 Transposition et opérations. . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Inversion d’une matrice carrée. . . . . . . . . . . . . Cas des matrices carrées d’ordre

D´finition d’un espace vectoriel e On se r´f`re ` la d´finition suivante : la d´finition suivante : ee a e e D´finition 1.1 Soit K un corps commutatif d’´l´ment unit´ not´ 1. On nomme espace vectoriel sur K, un e ee e e ensemble E muni d’une loi de composition interne (+) conf´rant ` E la structure de groupe commutatif ou e a ab´lien, et d’une seconde loi dite externe, application de E×K dans E not´e (×), aussi appel´e multiplication, e e e faisant intervenir les ´l´ments de K, appel´s scalaires. Cette

finies de n termes réels : , ,…, , , ,…, Définition : On peut définir sur , une loi de composition interne, l'addition, notée + par : , ,…, , ,…, , ,…, Propriétés de l'addition : Elle est associative : , , , Elle est commutative : , , Elle a un élément neutre : 0 0,0, … ,0 , Tout élément X a un opposé noté , / ,…, 0 / 0 0 Définition : On peut aussi définir sur une loi de composition externe, multiplication par un réel, noté "." ou parfois sans signe, par : , . , ,…, , ,…, Propriétés