Composition Urss De Staline

Roosevelt est tout à fait favorable à la décolonisation, il avait d'ailleurs signé la charte Atlantique en 1941 avec la GB garantissant la liberté des colonies. URSS : Idéologiquement les peuples ont droit a leur liberté L'URSS a comme idée d'étendre son influence aux nouveaux pays libérés. Staline pense que de faire perdre leur colonies aux Européens mènerait a leur affaiblissement. La dynamique des premières décolonisations Les premières décolonisations

Yalta Du 28 novembre au 2 décembre 1943, Staline, Roosevelt et Churchill s'étaient rencontrés en terrain neutre, mais militairement contrôlé par les Soviétiques, à Téhéran, capitale de l'Iran. Peu de décisions concrètes avaient été prises. Quatorze mois plus tard, la fin de la guerre se dessine clairement, et il devient urgent de prendre des décisions. Une seconde conférence interalliée est mise sur pied en Crimée soviétique, récemment libérée. Staline ne voulait pas s'éloigner de son pays et les

Du tripartisme à la troisième force Tripartisme : 3 partis alliés en 45 : PCF, SFIO et MRP. Stable pendant 2 ans, il applique le programme du CNR mais la période est troublée par les débuts de la guerre froide. Dès 46, deux blocs s'opposent (EU/URSS), engendrant la révocation des ministres communistes. Le PCF rentre dans une opposition dont il ne sortira jamais. La première difficulté (du tripartisme) rencontrée est renforcée lorsque le RPF a du succès et que celui-ci refuse de participer

La France échappe à cette tendance avec un excédent de décès sur les naissances. Les Etats limitent l’immigration. C’est le cas aux USA, politique restrictive. 2) Les mutations de la population active On observe un changement dans la composition de la population active. Limité en ce qui concerne le travail des femmes qui connait une augmentation pendant la guerre, mais pas d’amélioration notable après cela, il a même tendance à régresser. On l’explique par le retour à l’usine des combattants

pays de la même façon. L’Allemagne est le pays le plus touché avec -47% de l’indice de la production industrielle (IPI). - IPI USA : -46% - IPI Italie : -33% - IPI France : -28% - IPI R.U : -16% - IPI URSS : +83% Il y a un décalage entre la production et le marché qui touchent particulièrement ces pays. En 1932, la France et le Royaume-Uni sont en récession de grande envergure. La crise est lente et il y a un marras économique prolongé. *Automne 1935

L’OECE est alors transformée en OCDE. III- L’OCDE C’est la convention du 14 décembre 1960, entrée en vigueur le 30 septembre 1961, qui établit l’OCDE. Cette convention prolonge l’œuvre de l’OECE tout en en étendant la portée. A- La composition de l’OCDE Les USA et le Canada sont désormais des membres à part entière de la nouvelle organisation. D’autres Etats non européens vont aussi participer à l’OCDE à commencer par le Japon en 1964; aujourd’hui, l’OCDE compte 34 Etats. On trouve

proposées par le CNR (Conseil National de la Résistance). Ces réformes vont marquer la France d'après guerre jusqu'à nos jours. Elles s'inspirent d'idées socialistes et communistes mais n'ont pas pour but de faire disparaître le capitalisme, comme en URSS, mais seulement de l'aménager pour le bien de tous, en vue d'une "modernisation" nécessaire. |Nationalisations ou Acquisition par l'Etat avec indemnisation de secteurs entiers de l'économie : à la SNCF et à Air France (Créés en | |36) sont rajoutés

Les Fleurs du Mal sont une espèce de journal qui raconte l’expérience d’un poète, de toute une vie. Victor Hugo fait quelque chose semblant d’une forme chronicité dans « Les Contemplations ». Pour la première fois, un poète va créer une composition, il va parler d’une architecture. Et aussi il va créer un mouvement très important dans le livre. La première c’est « Spleen et Idéal » : 1. Spleen et Idéal : (1-85) a) Par l’art → grandeur, misère, idéal. b)

les USA sont devenues les deux plus grandes puissances mondiales. Le sort de l’Allemagne ainsi que la répartition du monde en zone d’influence (bloc occidental – bloc communiste) fut décidé à la Conférence de Yalta, où étaient présents Churchill, Staline et Roosevelt. Les Etats Européen se rendent vite compte qu’il faut s’unir pour ne pas subir un écrasement par ces blocs (Guerre froide) et obtiennent un soutien financier par les USA. Grâce à ce rassemblement, les Etats Européen espèrent peser

français. À la différence de Briand, il axe son discours sur la politique. Dès février 1930, le Royaume-Uni s'est opposé à ce projet. Churchill craignait de futures rivalités et les hostilités intercontinentales qui pourraient s'ensuivre. De son côté, Staline n'y voyait qu'une machine de guerre contre l'URSS. Pour TETJEN, cette proposition est arrivée ou trop tôt ou trop tard. Trop tôt car « l'Europe ne savait pas encore à quelle horreur la conduirait le nationalisme devenu fou ». Trop tard car la crise