Compostage

possibles ou obligatoires, parfois complémentaires, parfois redondants : collecte des ordures ménagères, collecte des recyclables, collecte des encombrants, collecte des DASRI et des DMS, promotion du compostage individuel, communication et prévention, déchetteries, quais de transfert, centres de compostage, centres de tri, usines d'incinération, de méthanisation, décharges de classe I et II,... Et ces services sont le plus souvent assurés par plusieurs collectivités : aux communes et/ou intercommunalités

Dès que le sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet. Le sujet comporte 7 pages numérotées de 1/7 à 7/7. L’annexe page 7/7 est à rendre avec la copie. Page 1 sur 7 13MABIME1 EXERCICE 1 (4 points) Le responsable d’un site de compostage fait un bilan de l’évolution des quantités de déchets compostés dans son entreprise. Il constate qu’en 2002, sur le site, 5 900 tonnes de déchets ont été traitées et qu’ensuite les quantités traitées augmentent régulièrement de 15 % par an.

n’ont pas subi de rupture de la chaîne du froid. Pour les restes de repas, penser au compostage*. La gestion des bacs à compost aux espaces de restauration sera sous la responsabilité d’une personne motivée, voire formée au compostage*. Cela se prépare en amont, pour une bonne valorisation : - se mettre en contact avec le service espaces verts ou un agriculteur de la commune ; - contacter une plateforme de compostage*, qui, moyennant une participation financière pourra valoriser vos résidus ; - ou,

une zone de stockage traitements phytosanitaires. On y trouve tous les produits pour les soins des plantes : engrais, anti puceron, …, 4- une zone de stockage de végétaux : pouponnière ; on y trouve les graines à germer, 5- une zone de compostage, 6- une zone de stockage terre végétale et terreau préparé par les ouvriers, 7- les serres et espace d’exposition des plantes ornementales et médicinales, fruitiers, 8- une zone de détente, 9- un espace pour les cours.

réduire considérablement notre émission de CO2. Le premier document nous présente une liste de 9 actions réalisables, parmi lesquelles on peut citer une consommation de produits locaux, le refus d'utiliser des sacs plastiques ou l'inclusion du compostage dans le tri des déchets. On peut donc voir ici que ces quelques actions sont loin d'être très demandantes en temps et en énergies. De plus, ce sont des actions qui, en plus d'être agréable à la planète, sont agréables du point de vue de l'individu

Les toilettes sèches consistent en de la sciure qui est déposée avant et après l'utilisation des toilettes. Ceci suffit à absorber les odeurs. Le réceptacle contenant les fèces, amovible, permet de les utiliser pour le jardinage ou la combustion. Le compostage permet ensuite de fortement diminuer le nombre d'organismes pathogènes et de produire un fertilisant du sol. Combustible[modifier | modifier le code] En Asie comme en Afrique, la bouse de vache et le crottin de cheval séchés peuvent servir comme combustible ou

reste plus que l’humus, du dioxyde de carbone et de l’eau. Son principal inconvénient est son coût, puisqu’il est au moins 10 fois plus cher que son homologue d’origine pétrolière. De plus il ne peut être réellement pertinent que si la filière du compostage des déchets est développée. Or, actuellement, celle-ci souffre des faveurs accordées à la filière de l’incinération. Partie n°3 les limites écologiques. Pour comparer les limites écologiques du sachet plastique au sachet d’amidon de maïs,

particulier au jardin ? Premier constat : nos concitoyens sont extrêmement bien sensibilisés aux « gestes verts » respectueux de l’environnement, même s’ils ne les ont pas encore tous mis en pratique. Récupération des eaux de pluie, traitements naturels, compostage, arrosage automatique, plantes économes en eau… L’efficacité de ces mesures pour préserver les ressources ou limiter la pollution est désormais communément admise. Mieux : au quotidien, chaque Français applique en moyenne plus de 3 « gestes verts

cela n'élimine que 35% de N et P. Traitement tertiaire : éliminer N et P par procédés biologiques et chimiques : boues tertiaires. Déshydratation et stabilisation des trois types de boues en vue de diverses utilisations : utilisation agricole, compostage, incinération, mise en décharge ( ce qui ne sera plus possible à plus ou moins long terme). Limites : mais ces traitements n'éliminent pas les métaux lourds, les hydrocarbures, les substances radioactives. © www.education-gouv.frPlace

toilettes sèches consistent en de la sciure qui est déposée avant et après l'utilisation des toilettes. Ceci suffit à absorber les odeurs. Le réceptacle contenant les fèces, amovible, permet de les utiliser pour le jardinage ou la combustion. Le compostage permet ensuite de fortement diminuer le nombre d'organismes pathogènes et de produire un fertilisant du sol. Avant l'utilisation massif d'engrais chimiques, avant 1920, et surtout avant 1945, la matière fécale humaine servait d'engrais naturel