Compromis des Nobles

avant la Révolution se poursuit et impose la conservation sinon totale au moins partielle des acquis de 1789. Mais, pour être durable, quelle forme doit prendre le compromis entre « les deux France » ? Quel degré de libéralisme et quels acquis de la Révolution la monarchie nouvelle est-elle prête à retenir ? Une fois adopté, le compromis constitutionnel, la Charte, il s'agit de savoir s'il est accepté par toutes les forces politiques et quelle interprétation il convient de lui donner. Enfin, comment

« disciplina », le but devient la courtoisie, l’idéal de comportement social et non plus « programme individuel de salut ». Les banquets ne sont pas totalement rompus avec les anciens repas de sacrifice. La fonction de découpeur est une des plus nobles et convoitées qui est réservée au privilégiés. Il faut savoir répartir les mérites. Les évolutions restent très lentes. Il faut préciser dans le détail de plus en plus : le contact des mains avec la nourriture sera ainsi de plus en plus proscrit.

obligations. Les peines sont plus lourdes pour les nobles car ils doivent montrer l’exemple. Mais seront exécuté différemment. Une mise a mort d’un noble n’est pas dégradante. Ils ont le privilège de ce faire décapiter à la hache. Les mains libres ils sont censés affronter la mort avec courage. Les nobles peuvent être dégradés pour un comportement interdit. Le travail, manier de l’argent. 2.) Le tiers ordres Ceux qui sont ni clerc ni nobles. Totalement dépourvu aux privilèges. Soumis au

modèles d’homélies, des nouvelles du diocèse ou répercuter l’enseignement romain) Petits et grands séminaires : l’esprit de corps L’édifice catholique repose sur un clergé séculier -Le 19ème siècle est le siècle des curés de campagne : nobles et bourgeois préfèrent s’engager dans les congrégations et les œuvres laïques. -Dans la grande majorité, les curés sont issus d’un monde où se cotoient petits propriétaires, gros fermiers, artisans et commerçants (relation avec le milieu rural aisé)

de ne pas avoir à recommencer une nouvelle guerre contre eux. Ils envoyèrent alors des dizaines de diplomates espérant trouver un compromis. Rome accepta de les épargner sous plusieurs conditions : Carthage doit livrer tout son matériel de guerre à Rome, en clair se désarmer totalement. Carthage doit remettre 300 otages issus des familles carthaginoises les plus nobles et riches. Carthage accepte tout de suite ces conditions et s’exécute sur le champ. Ayant exécuté les ordres du sénat, la cité punique

Ruy Blas qu'il va avoir besoin de lui. Dans la scène 2, il demande à son cousin Don César de l'aider, mais ce dernier refuse car il n'accepte pas de faire du mal à une femme. On apprend que don César est devenu malfaiteur, auteur de vols sur des nobles que connaît Don Salluste. Dans la scène 3, Ruy Blas rencontre avec étonnement Don César. Ils sont cousins. Ruy Blas lui confie l'amour passionné et secret qu'il voue à la reine. Il lui dit aussi qu'il est au service de Don Salluste ( il a revêtu

Clergé : prière  Tiers-Etat : travail Elle est cohérente sur l’état économique de la société médiévale qui est fondée sur la propriété foncière (terre). C’est une époque où l’insécurité règne et donc les paysans ont besoin de la protection des nobles : le paysan produit en « échange » de la sécurité. A la fin du XVIIIe une nouvelle source de richesse apparaît, c’est la propriété mobilière (outils, technique, transport), mais elle ne peut s’accroître à cause de l’ancienne société car :  marché

première altercation entre Salluste et Cicéron, car au delà de Milon, c’est Cicéron qui était lui même visé par les tribuns. C’est alors qu’en 50 av JC, le censeur Appius Claudius, ami et sympathisant de Cicéron, rappelle au Sénat que Salluste avait compromis une femme mariée du nom de Fausta. C’est ainsi que l’homme est chassé du Sénat romain pour immoralité. Salluste voit sa carrière politique se brisée. C’est alors qu’il se tourne vers Jules César et se place sous sa protection. Il est chargé de mener

est simple : si tous les citoyens sont « esclaves » de la loi – personne n’étant au-dessus des lois – il n’y a pas de maître ; et s’il n’y a pas de maître, il n’y a plus non plus d’esclaves. C’est pourquoi la suppression des ordres privilégiés – les nobles et l’Eglise – a été la première exigence des législateurs de 1789 (lors de l’abolition des privilèges, le 4 août 1789). L’inégalité en droits et en devoirs revient à restaurer des rapports de domination entre maîtres et serviteurs. Bien entendu, ces

république ne touche pas aux intérêts des couches sociales dirigeantes et celle-ci n'a pas souffert de la législation sociale. Les fondateurs de la Troisième République n'ont jamais déclaré la guerre au capital ni au droit de propriété. Ainsi, le compromis est présent entre les différentes catégories sociales, la République peut compter sur ses ouvriers bien que la majorité se situe dans le monde paysan et la bourgeoisie. La structure de l'économie française contribue à faire prospérer les petites