Compte Rendu Les Miserable

de Claus et Lucas, deux garçons jumeaux toujours ensemble qui font presque un, et de leur grand-mère, une vielle femme sale, alcoolique, avare, assassine de son propre mari mais surtout méchante. Au début, les deux petits doivent quitter la ville rendue bien trop dangereuse en raison de la guerre (Seconde Guerre Mondiale). Leur grand-mère, qu’ils n’avaient jamais vue auparavant accepte de les prendre chez elle. Puis, les deux jumeaux réalisent que leur grand-mère n’est pas très gentille et qu’une

une source de plaisir et de réconfort tout à fait contingentes et perdent leur sens, se dégradent sous l'œil blasé du spectateur . Elles permettent ce que Pascal appelle le « divertissement »; détourner l'homme de sa ''misérable'' condition mortelle, qui devient véritablement misérable de part son aliénation à l'objet. Cette théorie ferait de la télévision « le nouvel opium du peuple » et le détourne d'envie de changements, de progrès, car il se contente de sa plénitude présente. La télévision se

26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du XIXe siècle. Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[1],[2]. Il est poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades

situations qui n'étaient pas jusqu'ici considérées comme artistiques. En effet, il s’intéresse à ce que nos sens perçoivent et décrète que tout événement, objet, être, chose ou action sont dignes d'être des sujets littéraires et qu'ils doivent être rendus de manière véridique. C'est ainsi qu'émergent les ouvriers, les artisans ou encore les prostituées dans le roman. Les thèmes abordés concernent principalement l'influence du milieu sur les individus, la vie urbaine ou provinciale et les misères

et la terre - même si elle n'est pas directement citée, mais c'est bien sur elle que gît le corps - semblent construire le cercueil qui va enfermer pour toujours le corps de Tarrou. La mort est à l'oeuvre avant même que le dernier souffle ne soit rendu. Nulle espérance n'est donc à attendre de l'au-delà ; l'évocation est, sur ce plan, d'une prégnance assez effrayante. c) Le silence, synonyme de mort : d'un paragraphe à l'autre, une logique est suivie dès lors que la mort de Tarrou s'ouvre sur

ressent de la tristesse au fait qu’il soit devenu esclave. Il passe de la joie, à l’entre deux : « Partagé entre la joie et la douleur». (p.141, ligne 16) et enfin, ne ressent plus que de la douleur. Les récits des rois l’attristent et il se rend compte du malheur du monde. Il est bouleversé dans ses pensées et commence à voir la réalité en face. Ch. XXVII : Parodie du roman sentimental : (p.148-149) « Est-ce là M. le baron que j’ai tué ? Est-ce là maître Pangloss que j’ai vu pendre ? » « Candide

Sigismond déplorent tout deux la cruauté du destin. Rosaura regrette que son malheur soit conséquent des «lois du destin » qui l'amènent malgré elle « aveugle et désepérée »[3] en Pologne, et Sigismond de répondre à cette plainte : « Malheur à moi! Ah ! Misérable! Je veux apprendre, cieux, pourquoi vous me traitez ainsi. »[4] Ils sont essentiellement semblables, coupés de la connaissance de leur identité véritable, aussi ils plaignent un sort indésirable qui brime leur liberté et conserve le voile sur la

». Elles provenaient de la région du Gandhara, à laquelle Malraux attachera toujours un rôle important comme lieu d’annexion, par l’Inde, de l’art grec hellénistique. Ces statues furent exposées à la Galerie de la N.R.F. en 1931. Malraux fit le compte rendu des expositions dans la N.R.F. de février 1931. L’année suivante, ce texte parut en brochure : Œuvres gothico-bouddhiques du Pamir, chez Gallimard, sous le nom de Malraux. Cette expédition en Afghanistan a été transposée en 1953, par Clara Malraux

Paris. » Victor Hugo fut un des plus, sinon, le plus important écrivain et poète Français du 19ème siècle. Il est notamment célèbre pour avoir écrit des œuvres d’importance incroyable pour la littérature française telle que Notre-Dame-de-Paris, Les misérables et Les travailleurs de la mer. «À sa mort, le gouvernement français de la 3ème république a honoré cet écrivain exceptionnel par la tenue de funérailles nationales lors desquelles plus d’un million de français iront lui rendre un dernier hommage

sonder dans la justesse. Le moi veut parvenir à son vrai visage, au visage du clown, présenté comme but à atteindre, moment incontournable d'une connaissance de soi synonyme de liberté . Le clown -ou ce je qui dit je et voudrait être clown- ne peut compter que sur une auto-persuasion, une fortitude propre pour parvenir à ses fins. Il n'existe plus par les regards, se passe de public, sauf de celui, inévitable pour lui, que nous constituons en tant que lecteurs. Si l'apparence physique est le lieu d'une