Comté du Prince-Édouard

Dans l'Etat franc, tout le fonctionnement de l'appareil administratif repose sur un groupe d'homme, les compagnons du roi. Cela montre bien que la confiance du roi est une notion essentielle du latin comites qui donne le comte. Parmi ces compagnons certains de ces Grands forment autour du monarque l'administration centrale tandis que d'autres sont envoyés par le roi dans diverses parties du royaume, l'administration locale.

ignoré, le concept d’Etat et une organisation administrative très élaborée. a) Le concept d’Etat (res publica) : Puissance de commandement, d’organisation, distincte de la personne des individus investis de cette puissance. La Gaule et les princes barbares ignorent totalement ce concept d’origine romaine. Rome a défini les caractères de l’Etat. Rome a aussi défini les caractères de l’Etat et constitue des apports supplémentaires qui vont s’inscrire dans l’héritage politique romain : la souveraineté

juristes romains forgent des maximes, des formules qui seront reprises ensuite par tous les absolutistes, même après Rome. Le juriste le plus connu est Ulpien : « quod principi placuit legis habest vigorem » (ce qui plaît au prince a force de loi), « princeps legibus solutus » (le prince est délié des lois). Ces deux maximes fondent le pouvoir législatif de l’Empereur. Grâce à ces deux maximes, il détient alors d’immenses pouvoirs : il est chef de l’armée (il décide du recrutement, l’armée lui jure fidélité)

Le régime parlementaire Ses origines La Nouvelle-Écosse (qui, jusqu’en 1784, englobait l’actuel Nouveau-Brunswick) a été la première région du Canada à se doter, en 1758, d’une assemblée représentative élue au scrutin populaire. L’Île-du-Prince-Édouard devait suivre en 1773, puis successivement le Nouveau-Brunswick en 1784 (à sa création), le Haut-Canada et le Bas-Canada (qui devaient devenir respectivement l’Ontario et le Québec) en 1791, et Terre-Neuve en 1832. En janvier 1848, la Nouvelle-Écosse

influences romaines. On doit s'attacher à mettre en évidence cette empreinte à la romanité. Comment se manifeste cette emprise à la romanité ? Dans l'organisation du pouvoir, le royaume franc est divisé en circonscription les pagus. Administré par un comte nommé par le roi. L'empreinte à la romanité reste donc dérisoire. Mais elle reste présente par le vocabulaire romain, même si le sens des mots échappe à ceux qui les emplois. Ainsi CLOVIS se fait sacrer « consul ». Mais c'est le droit germanique qui

de la même intention. En effet, si Gide décide de ne pas placer ce personnage important pour le roman à proximité des autres, c’est parce qu’il n’adopte pas le même style de vie. Bien que Gide ne nous fasse aucune description de l’endroit où vit Edouard, la simple évocation du nom de Passy est très significative d’une part parce qu’Edouard est le personnage des Faux-Monnayeurs qui permet de relier toutes les intrigues entre elles mais d’autre part parce que l’auteur peut ainsi mettre en valeur le

Philippe VI au détriment de 2 autres prétendants tout autant légitimes, dont le roi d’Angleterre Edouard III.) et une Guerre: la guerre dite de cent ans, que déclanche en 1337 la commise de la Guyenne. -Des défaites françaises cuisantes et à répétitions, en particulier Crécy et Poitiers, Poitiers avec un Jean le Bon,qui non seulement n’arrête pas la chevauchée du fils d’Edouard III ,le Prince Noir ,se dirigeant vers Bordeaux après avoir dévasté les terres du Languedoc aux Pays de Loire,mais

royaume et l'établissement de celui-ci. En clair cela contient le statut de la Couronne, de son domaine, ses lois, ses droits indépendemment de ceux du Roi qui n'en sera que l'administrateur. Ces lois sont indispensables pour limiter les pouvoirs du Prince. Donc ces lois sont sacrées, intangible et elles ont un caractère coutumier. Quelles sont les lois fondamentales ? L'hérédité : en 987 Hugues Capet se fait élire Roi par les grands électeurs, cependant il part à la guerre, et décide en 988

société. Mais la multiplication de ce lien vassalique produire une multiplication des relations sociales. Ce lien vassalique constitue une limite au pouvoir politique et à se vérifie à tous les niveaux (entre le roi et ses grands seigneurs, entre un comte et un ses vassaux). Le roi n’apparait alors que comme un seigneur. Ces relations nouées autour du fief donnent naissance à l’ordre féodal et à la féodalité jusqu’aux XIIIe-XIVe siècles. Le terme de féodalité est inconnu au Moyen-Âge, il a été construit

membres de l’aristocratie Le chambrier ou camérier, c’est un valet de chambre qui sert le roi dans ses appartements, et en plus de ce caractère domestique, il a la garde du trésor royal. D’autres officiers n’ont que des missions publiques, comme le comte du palais chargé de l’instruction des affaires devant le tribunal du roi, ou le référendaire chargé de la rédaction et de l’authentification (sceau royal) des actes royaux ou le maire du palais chargé à l’origine de gérer les domaines royaux et de