Comédie Moderne

-> Le theatre au XVIIe siècle Le XVIIème siècle français est le siècle du théâtre. Il est illustré par trois noms célèbres : Corneille et Racine qui se sont consacrés à la tragédie, et Molière qui s’est voué à la comédie. -La tragédie La tragédie est soumise à des règles assez strictes avec trois unités : - unité d’action : l’intérêt doit être concentré sur un seul fait ou sur une seule crise morale. - unité de lieu : un seul lieu donc un seul décor, neutre. Le plus souvent

comique en utilisant de tels effets. B. L’orientation du jeu théâtral (gestuelle, intonations) renvoie différents messages Le choix des gestes effectué est crucial au théâtre. Ainsi, le comique passe très souvent par des gestes. Ex : Dans la comédie dell Arte, les gestes sont très évocateurs, tandis que le texte est parfois improvisé. C. La liberté d’interprétation du metteur en scène Un texte théâtral est ouvert à l’interprétation. Les mots sont figés et le metteur en scène leur donne vie

Le théâtre au XVIIème siècle. Le XVIIème siècle français est le siècle du théâtre qui est illustré par trois noms célèbres : Corneille et Racine qui se sont consacrés à la tragédie, et Molière qui s’est voué à la comédie. Au début du XVIIe siècle, Paris ne possède qu'une seule salle de théâtre : l'Hôtel de Bourgogne, alors occupée par la Troupe Royale. En effet, dès le début du siècle, Louis XIII et Richelieu donnent déjà une forte impulsion à l'expression théâtrale. Le Premier ministre est

sont : Mathurin Régnier, Théodophile de Viau, François Malherbe et Saint-Amant. Mathurin Régnier lui c’est caractérisé avec le genre satirique. Théodophile de Viau en poursuivant la tradition de l’ode. François de Malherbe, considéré comme le plus moderne de son temps, a formulé un ensemble de règles stricte qui posent les bases de la future esthétique classique et Saint Aimant a écrit un recueil ou il marque un aboutissement de la poésie par variété de tons et une diversité des genres. Classicisme :

Tiberio Fiorelli dit Scaramouche, qui mêle le théâtre et la pantomime. C'est sous l'influence de Scaramouche et de la commedia dell'arte que Molière – en Mascarille, en Scapin ou en Sganarelle, par exemple – prendra ses distances par rapport à la comédie à la française, dont Le Médecin malgré lui est un bon exemple. En outre, à partir de 1661, Molière partagera le théâtre du Palais Royal avec Domenico Biancolelli (Arlequin)... C'est en 1640 aussi qu'il rencontre Madeleine Béjart ; c'est elle qui

lecteur ou le spectateur : la comédie. Par ailleurs, que la comédie fasse rire, tout le monde s’accorde à le dire, toutefois, ce rire peut ne pas être gratuit et revêtir différentes fonctions et enjeux. Elle peut par exemple, châtier les mœurs en riant. Dans quelles mesures y parvient-elle et est-ce là sa seule fonction ? Nous verrons dans un premier temps le genre théâtral comique, sa fonction première, son originalité puis nous étudierons l’utilisation de la comédie comme moyen de dénonciation

abandonner très vite pour se tourner vers le théâtre. Il écrit sa première pièce, Mélite, en 1629 à l'âge de 23 ans. Le succès était assez grand pour établir une carrière de théâtre, qui va durer jusqu'en 1674. Entre 1629 et 1636, il écrit 6 comédies, une tragi-comédie, Clitandre, et sa première tragédie, Médée. En 1637, il écrit le Cid, ce qui marque un triomphe dans sa carrière, mais ses ennemis lui reprochent de n'avoir pas respecté tout ce qui constitue l'idéal classique au théâtre. Ses prochaines

l'évolution du goût du public. La pastorale, directement inspirée de pièces italiennes et fort en vogue au XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, décline à son tour. La tragi-comédie, extrêmement prisée durant ce siècle, laisse peu à peu sa place aux deux genres dont elle s'est fait la conciliateur temporaile : la tragédie et la comédie qui triomphent dans la deuxième moitié du siècle. Un nouveau théâtre régulier s'impose, régi par des règles strictes. Malgré cette effervescence, la situation du théâtre

est tombé amoureux d'Agnès. A la fin de la pièce, Arnolphe désespère après l'échec de son mariage. Il a peur de paraître cocu. *Caractéristiques de la pièce : L'école des femmes est une comédie de Molière en cinq actes et en vers (écrits en alexandrins). Cette comédie mêle la farce et la grande comédie. La farce car les personnages sont peu nombreux, et l’intrigue et repose sur les tromperies d'Arnolphe. Comme souvent chez Molière il y a un double dénouement : Le dénouement de l’intrigue

intro: le théâtre est un art à part entière, millénaire il était déjà de mise sous l'antiquité grecque. Tour à tour tragédie, comédie et drame, le théâtre connu de nombreux changements, mais son but étant toujours le même, avoir le double effet de distraire et éduquer, voire dénoncer. Antonin Artaud dans Le Théâtre et son double, avance que " cf citation " et pose alors la question fondamentale de l'élément fondamental du théâtre, indispensable… Le théâtre peut il donc remplir sa double mission