Comédie Plaire Et Instruire

dans le genre de la comédie (parfois même de la farce) . La tirade initiale de Sganarelle exploite plusieurs effets comiques ; - Elle est d’abord un éloge paradoxal [ c’est un exercice de style, hérité de l’humanisme qui est une plaisanterie de Lettrés qui consiste à louer ironiquement un objet discrédité ou trivial : Eloge de la folie d’Erasme (1511) ] - Molière a cependant pu s’inspirer aussi des usages qu’avaient les comédiens de venir avant la grande pièce, tragi-comédie ou tragédie, soutenir

dressé par Cléanthis ? Quels sont les aspects et les fonctions du comique dans ce passage ? Etudiez en quoi le passage s’inscrit dans une comédie de mœurs. La question concerne l’objet d’étude du théâtre, texte et représentation, elle sollicite les connaissances sur les genres et registres propres au théâtre (ici une comédie – comédie de caractères ou comédie de mœurs, « castigat ridendo mores ») et la forme de ce texte et sa mise en représentation (réplique, tirade, aparté, didascalie, etc

affirmant: « Je me sers d'animaux pour instruire les | | |hommes ». Cependant, et c'est là une transformation essentielle, il utilise au service de ses fables[pic] toutes les ressources de la poésie. | | |Au départ récit plutôt sec, l'apologue est désormais paré de toutes les subtilités de la langue et de la prosodie[pic] françaises. Le but premier de La | | |Fontaine est, en effet, de « plaire toujours » pour mieux instruire.

théâtre au 17ème, critiquait la société de manière amusante. Cependant on est en droit de se demander si ce mode peut s’appliquer à tous les sujets… Pouvons-nous traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ? Faut-il instruire en plaisant comme le conseillaient Molière et La Fontaine ? Par extension, n’y a-t-il pas certaines limites au rire ? Relativiser les choses permet à l’homme de les accepter avec plus de philosophie. En effet, transmettre une morale par le biais

approfondie de celui dont il s'inspire. - La parodie C'est une imitation comique et une déformation d'un style. Elle a pour but de se moquer et de faire rire. Burlesque, caricaturale ou ridicule, la parodie transforme, par exemple, une tragédie en comédie ou un texte au registre soutenue en un écrit au langage familier. - termes supplémentaires • La transposition est le passage d'un art à un autre. Cela suppose une transformation ; par exemple, une œuvre littéraire peut être adaptée en opéra.

pour les descriptifs de Première ,à mémoriser donc ! DISSERTATION ​: « Une comédie est un poème ingénieux qui, par des leçons agréables,​ ​reprend les défauts des hommes.​ » Molière La critique des mœurs individuelles et sociales est une source d’inspiration essentielle dans la comédie telle que la définit Molière quand il écrit dans la ​Préface du ​Tartuffe​ 1664 ​: « S i l’emploi de la comédie est de corriger les hommes, je ne vois pas pour quelle raison il y en aura de de

modernes, c'est-à-dire de la Renaissance a la révolution de 1789, que le genre théâtral a prosperé. Au siècle precedent, malgre la consigne de Du Bellay qui, dans sa défense et illustration de la langue française, imposait l'idée d'une tragédie et d'une comédie en français, la révolution qui avait substitué l'imitation du théâtre antique aux mystères et farces du Moyen-Äge avait été trop brutale pour que le public y adhère. Le moyen-Äge n'avait dégage aucune esthétique théâtrale. Le XVI siècle avait privilegié

désigne chez les Latins la grammaire, et cela reste pour le XVIIe, pour qui la littérature est la maîtrise de la langue, son usage élégant et performant. Il fallait, selon les finalités propres du discours oratoire, docere, delectare et movere (instruire, plaire et émouvoir). L’attention à la langue est détemrinant epour comprendre le statut de la ittérature ; l’idéal de transparence promu par Malherbe , célébré par Bonhours dans son célèbre Entretien « sur la langue française » (1671), ne doit pas masquer

La FONTAINE (1621-1695) Fables (1668 ; 1678 ; 1693) La Fontaine s’est essayé à de nombreux genres ou styles (contes en vers, récits poétiques, lettres, comédies, poésie religieuse, etc.), mais ce sont ses Fables, composées sur une trentaine d’années environ, qui lui ont valu la gloire de son vivant et l’immortalité posthume. Les Fables reflètent différentes étapes de sa vie ; il a 47 ans lorsque paraît le premier recueil, dédié au Dauphin (1668). Il en a 72 à la parution du

Au 17e siècle, le classicisme devient populaire, il peut y avoir des pièces tragiques ou des comédies. Le classicisme participe à la gloire du roi qui à cette époque est Louis XIV. Ces œuvres doivent plaire et instruire le public. Molière, sous son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est payé par le roi pour faire des pièces, il écrit donc la pièce « Le malade imaginaire ». Dans cette pièce, plusieurs aspects sont mis en évidence. Dans la scène 5 de l’acte III, il y a Monsieur Purgon, Argan, Béralde