Comédie Plaire Et Instruire

Parallèlement à son métier, il commence à écrire et c’est avec sa première oeuvre parue en 1629, Mélite, que Corneille invente un nouveau genre théâtral : la comédie de moeurs. La pièce est jouée avec succès à Paris, il va donc persévérer et produire plusieurs pièces, que ce soit des tragi- comédies comme Clitandre en 1631 ou des comédies comme La Veuve en 1632. Protégé par le ministre de Louis XIII, le cardinal de Richelieu, Corneille écrit Médée, sa première tragédie en 1635, puis

lecteur est invité à constater que le milieu des courtisans joue une comédie qui peut s’avérer extrêmement dangereuse si l’on ne dispose pas d’une bonne connaissance de son fonctionnement et d’un excellent esprit d’à-propos. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit  sont mises au service d’une charge véhémente contre la société  qui gravite autour du Roi-Soleil.   La Fontaine en bon classique veut « plaire et  instruire ». Nul doute que son art de conteur séduise le lecteur dans « Les

lecteur est invité à constater que le milieu des courtisans joue une comédie qui peut s’avérer extrêmement dangereuse si l’on ne dispose pas d’une bonne connaissance de son fonctionnement et d’un excellent esprit d’à-propos. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d’une charge véhémente contre la société qui gravite autour du Roi-Soleil. La Fontaine en bon classique veut « plaire et instruire ». Nul doute que son art de conteur séduise le lecteur dans « Les Obsèques

respecter ces règles, comme Corneille qui a modifié le dénouement heureux du Cid contre un dénouement malheureux. B) Thèmes et buts de la tragédie Selon Racine, « la principale règle est de plaire et de toucher ». En effet, en plus de divertir le spectateur, la tragédie a une visée morale : toucher et instruire, par la terreur et la pitié avec le principe du catharsis, qui consiste à ce que le spectateur s'identifie au personnage, en éprouvant des passions mauvaises, mais qui tout comme le personnage

divertissant notamment par la vivacité et la fantaisie du récit. Dans un second temps nous montrerons en quelle mesure l'apologue permet d'éveiller la réflexion du lecteur en enfin nous nous interrogerons sur ce double aspect de l'apologue (plaire et instruire) et sur l'effort d'interprétation que doit fournir le lecteur pour apprécier ce genre atypique. L'une des premières qualités d'un apologue réside dans sa brièveté, en quelques vers comme ds les fables, I'auteur nous offre un récits en accéléré

peinture «des agitations et des grands revers de la fortune des princes»), sans négliger complètement la comédie dont il souligne les spécificités. Selon lui, les tragédies suscitent une émulation morale; le théâtre est l'«école du peuple» et occupe les oisifs - les nobles, eux, viendront s'y reconnaître, tirer plaisir du miroir qu'on leur tend, plutôt que leçon.   Il réaffirme qu'il faut plaire et instruire, mais c'est sur le plaisir qu'il ne cesse d'insister, faisant même de celui-ci un argument à l'appui

Les animaux malades de la peste, Jean de la Fontaine XVIIème s I] Le désir de plaire a) Une forme variée b) La progression de la fable II] La volonté d'instruire (une leçon pessimiste sur le pouvoir) a) Des caractères typés b) Une triste conception du pouvoir c) Critique de la cruauté des courtisans VS la naïveté de l'âne INTRODUCTION : Jean de La Fontaine est un grand fabuliste du XVIIème siècle. Les fables sont l’œuvre de sa vie car il en a écrit de 1668 jusqu'à sa mort. Il aura en tout

(Maximes), La Bruyère (Les Caractères). Le classicisme (1650-1700) : opposé à la sensibilité baroque. L’idéal classique : ↳ la mesure ↳ la simplicité ↳ l’équilibre et le respect des règles imitées de l’Antiquité ↳ inspiration des grecs. ↳ Plaire ou instruire, ou toucher, selon Molière. Recherche qui ne retient que ce qui est significatif. Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement » ↳ Deus Ex Machina, allie merveilleux et vraisemblance « Dieu descend d’une machine ». Étiquette du

époque . La fiction semble parfois plus vraie que le réel. L'intrigue, les personnages, le style de l'écrivain laissent croire qu'il s'agit de vrais histoires. Balzac pour « faire concurrence à l'état civil » donne a ses personnages (fictifs) de La Comédie humaine un nom et un prénom, une origine, un passé, un physique très précis, une situation sociale qui fait que le lecteur y croit. Les personnages mythiques parce qu'ils incarnent un aspect universel de l'humain et renaissent au fil du temps car

Les Caractères en 1668, et cet œuvre sera ensuite enrichit au fil des années. Dans cet ouvrage il s’inspire des caractères d’un auteur de l’antiquité Grec nommé Théophraste et brosse des portraits brefs et vivants pour plaire et instruire, « Placere docere » en latin, à la manières des auteurs classiques comme par exemples La Fontaine et Molière. L’extrait étudié est tiré du livre 5 intitulé De la société et de la conversation. Il fait des portraits