Conception De La Guerre Juste Selon Hobbes

N’est t’il pas paradoxal que cette construction fondée sur la Démocratie en vienne à oublier les droits applicables aux différents citoyens ? Dans le préambule de la constitution européenne il avait été prévu de mettre la définition de la Démocratie selon Thucydide. Facteur qui a assuré la paix à l’Europe depuis 1945, but ultime de tout projet de l’UE a toujours été la Paix. Pour le moment c’est une réussit. L’Europe ne doit pas être pour les princes, mais pour le peuple. Comment ces projets qui ont

ou une partie pour y voir plus clair et risquer une double discrimination de la population. A. Anciens et Modernes 1) la politique selon les Anciens Le mot « politique » est une invention des grecs, ce sont les premiers à avoir parler de politique. Cela ne veut pas dire qu’avant les philosophes grecs, il n’y avait pas de politiques. Evidemment, les guerres, la conquête du pouvoir, la politique existe depuis la création de l’Homme. Dans les grandes civilisation, la période Antique (6000-5000

l’action, qu’il se manifeste sur le mode de la relation à l’autre. Elle implique enfin l’idée d’une pulsion de destruction dans l’homme, qui sera confirmée par les découvertes de la psychanalyse. ● Rendre le mal pour le mal L’expression renvoie à une conception archaïque de la justice, et équivaut à peu près à la loi du talion telle qu’elle s’exprime dans l’Ancien Testament sous la formule « œil pour œil, dent pour dent ». Elle témoigne du désir de compensation ressenti par l’humanité face à l’atrocité

Athènes montrant que l’État réglemente tout. La liberté est donc contradictoire dans la Grèce antique, car la souveraineté dans les affaires publiques coexiste avec l’esclavagisme dans la sphère privée. « Comme citoyen, il décide de la paix et de la guerre; comme particulier, il est circonscrit observé, réprimé dans tous ses mouvements. » Benjamin Constant explique ainsi que les anciens n’avaient pas de notion de droits individuels, sauf à Athènes qui par ailleurs, nous dit Constant, « est [de tous

Droit et force IV.2. Droit et liberté [pic] I. Le droit : enjeux d’une définition Droit et justice peuvent se définir objectivement ou subjectivement. Mais les enjeux que recouvrent ces définitions changent du tout au tout selon les définitions que l’on retiendra. I.1. Définition « objective » : un fait normatif et social | |Le droit se présente comme une série d'énoncés normatifs (de | |Norme

les conditions dans lesquelles peuvent se coordonner toutes les actions qui tendent à créer et à répartir des revenus. Pour certains théoriciens, l’ordre économique est spontané tandis que pour d’autres, il doit être organisé. En fonction de la conception qu’il se fait du système économique, chaque courant de pensé, voir chaque théoricien propose une interprétation spécifique des faits économiques, de leur contenu et de leur rôle. L’arrivée de nouvelles théories ouvre généralement un débat

il doit maintenir la puissance de l’Etat, et combler le bonheur des citoyens. Ce concept Romain va ensuite disparaître et on va le retrouver au moyen-âge. B- Disparition et renaissance de l’Etat au Moyen Age Les peuplades Germaniques ont une conception qui est différente de celle des Romains, le pouvoir est un bien patrimonial, ce pouvoir, ils en font ce qu’ils veulent. Le 1er Roi Germanique connu est « Clovis » qui va partager le pouvoir avec ses 4 fils. L’Etat est privatisé, le pouvoir également

d’infantilisation morale : on agit selon les interdits intériorisés des parents, de la société, et on est tel un petit enfant commandé non pas par sa conscience morale, mais par la peur de l’autorité inconsciente. Le moi est au milieu de ces 2 instances. Tantôt il reçoit les effets du ça, tantôt il reçoit les effets du sur-moi. 2/ La théorie de la libido et de la sublimation des plaisirs La libido, c’est tout d’abord l’énergie sexuelle de l’individu, ou sa pulsion érotique. Selon Freud, elle est ce qui

conflits   Schématiquement le droit propose des règles pour résoudre les conflies c'est un outil de coordination entre les individus   Pour déterminer les règles de coordination plusieurs approches sont possibles : - Quelle est la règle juste ou légale ou traditionnelle ? (approche nn innstrumentale) => ex des interdits alimentaires justifié par les religions. - Quelle est la règle qui produit les "meilleures" conséquences ? (approche instrumentale) => Droits de l'Homme qui disparaissent 

des règles juridiques. 2.2. Le respect de la religion par le droit Les dispositifs protecteurs de la religion ne sont pas paradoxaux. Un Etat laïque n'a pas de religion mais il les protège sans exclusive. Plusieurs textes traduisent cette conception: la article 10 de la DDHC qui promet tolérance religieuse, article 1 de la Constitution , article 9 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme qui garantit liberté religieuse des individus. Droit sanctionne, valide certaines règles religieuses