Conception De La Guerre Juste Selon Hobbes

démarche de l’histoire de la pensée économique (HPE) est, selon de nombreux économistes, moins rigoureuse (c’est une discipline des handicapés de la formalisation mathématique disaient certains) et pourtant on pardonne moins une énormité historique chez un économiste qu’une erreur (normale) dans ses calculs inductifs ou dans ses régressions économétriques[1]. Quelle utilité a donc l’histoire de la pensée économique ? Elle permet selon Blaug de comprendre la théorie comme un cheminement discontinu

le droit est de différentes origines, de différentes natures. Il est irréductible à tous les regards. Dans cet ensemble, on peut quand même en dégager deux points de vue : l’établissement d’une distinction entre le point de vue interne et externe, selon Hart. 1) Différents points de vues internes et externes # Point de vue externe C’est le regard qui ne voit que les actes et les actions des personnes sans l’influence des règles juridiques. Ce n’est pas un regard sur le droit lui-même mais plus

contre sa Famille, ses Amis, son Pays, sa Profession ou son Nom.       Hors des Etats Civils il y a perpétuellement Guerre de chacun contre chacun. Il est donc ainsi manifeste que, tant que les hommes vivent sans une Puissance commune qui les maintienne tous en crainte, ils sont dans cette condition que l'on appelle Guerre, et qui est la guerre de chacun contre chacun. La GUERRE ne consiste pas seulement en effet dans la bataille ou dans le fait d'en venir aux mains, mais elle existe tout le temps

distinguer trois principaux courants machiaveliens : Le mouvement machiavelien anglo-saxon, dont font partie Pocock, Skinner et Pettit. Se considérant comme républicanistes, ils contestent l'hégémonie du libéralisme en tant que doctrine philosophique (Hobbes, Locke, Mill, Aron, etc.) qu'ils considèrent incapable de garantir la liberté individuel qui constitue pourtant son objectif premier et fragilise la société en favorisant l'individualisme. Ils expliquent que les libéraux considèrent la liberté comme

la liberté et l’égalité et les réconcilier, pour faire en sorte de lutter contre les inégalités sans mettre en péril la liberté et de lutter pour la préservation des libertés sans mettre en péril l’égalité ? Nous partirons du problème de la société juste, pour montrer que la liberté et l’égalité en sont les conditions dans le cadre de la modernité, et que c’est l’égalité qui rend possible la liberté. Ceci nous conduira à montrer comment la liberté entre en contradiction avec l’égalité en accroissant

romain entre le Vème et le 2ème siècle avant JC. Au 16 17ème siècle en Europe centrale, en Europe du nord des peuples obéissent à leurs propres lois. En revanche en Europe de l'ouest c'est le roi qui faisait la loi. Au 18ème, les publicistes ont une conception de la loi différente de la notre, de nos jours la loi apparaît comme un instrument de contrainte, du pouvoir qui fait peser sur l'individu des obligations, au 18ème on voit dans la loi un instrument de liberté, la loi va protéger les individus,

d’opter pour ce que l’on veut, même le mal, même le pire, comme par exemple une conduite nocive non seulement pour les autres, mais aussi pour nous-même.. La liberté positive consiste au contraire à pouvoir choisir selon la raison c’est-à-dire ce qui nous semble le plus utile ou le plus juste. Cette seconde forme de liberté, Descartes la nomme « éclairée ». Le problème est le suivant : ces deux formes de liberté semblent se contredire. Si l’on prend le parti de l’une, on renonce à l’autre. Descartes

deux points:         - La dévolution du pouvoir: il dictera à qui appartient quel pouvoir.          - L'exercice du pouvoir: le droit constitutionnel va déterminer des compétences, des         attributions, des procédures. (ex: comment va-t-on voter, selon la majorité relative,         absolue ou qualifiée ?) - fonction protectrice: le droit constitutionnel est là pour protéger le citoyen, l'individu (français ou étranger, majeur ou mineur) et toute personne physique ou morale (ex: organisations). Il

fins historiques. La politique, définition plutôt éthique que morale. La politique n’est plus appréhendée par le haut, Kant dit que la politique appartient à la volonté des individus pour rechercher une société plus juste. Rousseau dit que le politique doit se faire par la recherche du juste mais aussi que la volonté individuelle est susceptible de rechercher l’intérêt général. L’IG est un concept difficile, critique marxiste de l’IG « ce que l’on appelle l’intérêt générale ce n’est que l’intérêt d’une

réalité que le droit appréhende, autrement dit, il a pour objectif, de réguler les rapports sociaux, le bien être de tous. Il y a ce qui est, et ce qui doit être, pour qu'il y ait une paix sociale, internationale. Aujourd’hui les sociétés sont organisé selon le modèle de l'Etat, est l'organisation sociale la plus perfectionnée. A l'intérieur de l'Etat, les particuliers entretiennent des rapports multiples, soumis à des règles de lois. Quand il s'agit de relations entre deux personnes, on applique des