Conception Du Bonheur Chez Rousseau

Les rêveries du promeneur solitaire de Rousseau (Fiche de lecture)Co nc ep tio n gr ap hi qu e: L& A Pe if fe r ROUSSEAU Les rêveries du promeneur solitaire lePetitLittéraire.fr simplifiez-vous la lecture lePetitLittéraire.fr simplifiez-vous la lecture Fiche de lecture Résumé • Étude des personnages • Clés de lecture • Pistes de réflexionFiche de lecture LePetitLittéraire.fr, une collection en ligne d’analyses litté- raires de référence : • des fiches de lecture, des questionnaires de lecture

naissance de l’enfant on observe des différences nettes au moment d’accepter le nouveau-né. À Athènes cette décision appartenait au père, alors qu’à Sparte elle était prise par le Conseil des Anciens…. De même de nos jours nous n’avons pas une unique conception de la famille en tant que telle et malgré le fait que dans la plupart de sociétés modernes la famille patriarcale soit la plus présente il reste encore des sociétés où la femme occupe la place ‘privilégiée’, comme c’est le cas de l’ethnie Bigajo

qu'on a déjà vu dans l'épisode sur le travail selon laquelle l'homme est un "homo faber" , donc un homme capable de fabriquer des outils. En satisfaisant ses désirs, à travers les outils qu'il a créés, l'homme accède ainsi au bonheur. De ce fait, la technique peut être vue comme quelque chose de fondamentalement bénéfique pour l'homme. Par exemple, savoir créer un iPhone, c'est bénéfique parce que ça nous permet de satisfaire nos désirs de divertissement en

VOLTAIRE Le Mondain LA NOTION DE BONHEUR AU XVIII° SIECLE Les trois idées qui montrent que ce texte fait l’apologie du luxe : ⇨ Economique et sociale : le luxe est un symbole de richesses, il en crée ; il est le symbole de l’échange entre les deux hémisphères. Le luxe permet aux européens de découvrir les richesses des sultans et aux musulmans de passer outre leur religion à travers le vin. ⇨ Morale : Voltaire revendique le plaisir comme source de bonheur. (morale épicurienne). Il l’oppose

Jean-Jacques Rousseau (1712 – 1778). Il est né dans une famille protestante de Genève d’un père horloger violent, instable et d’une mère morte en le mettant au monde. Il est donc élevé par un pasteur, le pasteur Lambercier qui va lui donner une éducation assez austère. Il va très vite le confier à des maitres. Il travaille chez un greffier, un graveur, et il s’enfui. Il a eut une jeunesse malheureuse. En 1728, il est accueilli par Madame Warens qui possède la propriété Les Charmettes près d’Annecy

J.J Rousseau Introduction : Ecrivain et philosophe français, né à Genève en 1712 sous le règne de Louis XV, d’une famille protestante, Jean Jacques Rousseau, orphelin de mère, est abandonné par son père, rustre et violent, à l’âge de 10 ans. Elevé avec son cousin en pension à Bossey, au sud de Genève, chez le pasteur Lambercier jusqu’en 1724, il regagne ensuite Genève même où il fait son apprentissage chez un graveur . En 1729, il fuit Genève. Son

éclairée si nous souhaitons être heureux. La liberté et la loi Rousseau et Kant ont cherché à dépasser ces « apories » (difficultés insurmontables). Etre libre, pour Rousseau, c’est obéir à la loi que l’on se donne à soi-même. Un peuple est libre dans un système républicain puisque, en obéissant à la loi, le citoyen suit la règle qu’il a lui-même promulguée : « Soumis aux lois, le peuple en doit être l’auteur » écrit Rousseau dans Du contrat social . Etre libre, c’est pouvoir dire « non » (protester

Idée que dans la collectivité il y a les émotions etc. qui mène à l’idée qu’on peut se laisser guider par quelqu’un par son charisme → polarisation (idée de concentration en un point) Même idée chez Euripide Les Suppliantes : « comment la masse incapable d’un raisonnement droit pourrait-elle conduire la citée dans le droit chemin ? » question de l’éducation → réaction aux sentiments. Tendance

Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778) Profession de foi du vicaire savoyard, in Émile ou de l’éducation (1762) PRÉSENTATION & PISTES DE RÉFLEXION Les références de pages de ce dossier correspondent à celles de la Profession de foi du vicaire savoyard publiée en mai 2010 aux éditions GF (n°1448). I. BIOGRAPHIE SYNTHÉTIQUE (d’après Littérature XVIIIème, coll.Henri Mitterand) À compléter par la lecture du dossier GF, pp.173 à 179 dans votre édition : « La religion dans la vie et l’œuvre

l’entre-deux-guerres, le psychanalyste viennois définit « l’hostilité primaire », que l’universalité de la pulsion agressive génère (« nous pouvons déceler en nous-mêmes » cette « tendance à l’agression » « dont nous supposons à bon droit l’existence chez autrui »), comme étant « le facteur principal de perturbation […] qui dresse les hommes les uns contre les autres ». Pessimiste, il voit même dans le désordre entropique[1], que l’irrépressible violence sexuelle, homicide, mais aussi symbolique et