Concile de Jérusalem

les vitraux, les scultures ( ex: tympan de Conque ) , des fresques, du théatre et du chant. Pèlerinage :Autre forme d'encadrement des chrétiens par l'Eglise = un voyage vers des lieux considérés comme saint ( Rome, Saint-Jacques de Compostelle, Jérusalem ).Ce qui montre que l'Eglise a une influence sur les chrétiens puisqu'elle les poussent et parfois les obliges à partir pour de longues durées. L'Eglise a une autre forme d'influencé les chrétiens par rapport aux terres qu'elle possède, les fidèles

remplace l’autorité publique défaillante (limite la violence, s’occupe des malades, donne asile, enseigne). Expliquer que la puissance de l’Eglise repose sur la richesse qu’elle accumule (par l’impôt et les donations). Fresque ou tableau d’un concile ou d’une réunion Schéma de l’organisation de l’Eglise Texte d’un serment de paix de dieu Miniature d’un hôtel de dieu Perception de la dîme Testament TRACE ECRITE : I – La puissance de l’Eglise en Occident 1) L’Eglise, une institution

Charges ». Sur ce plan, le texte le plus caractéristique est sans doute le « Dumfries n° 4 » (c. 1710), découvert dans les archives de la Loge de cette petite ville, située en Ecosse, mais aux confins de l'Angleterre. L'auteur donne du Temple de Jérusalem l'interprétation chrétienne et symbolique traditionnelle et sinspire à la fois de Bède le Vénérable et de John Bunyan. Les prières sont strictement « nicéennes ». Les « obligations » exigent la fidélité à Dieu, à la Sainte Eglise catholique (c'est-à-dire

providentielle, ils rencontrèrent Théodote, qui s'était mis en route pour Chypre afin d'y trouver le saint et lui rapporter quelle était la sitution à l'Athos. À son retour au Monastère, Athanase fut reçu par ses moines comme le Christ entrant à Jérusalem, et la Laure reprit rapidement vie. Il se rendit peu après à Constantinople. L'empereur Nicéphore, confus, n'osa pas le recevoir avec la pompe habituelle, et c'est vêtu simplement qu'il prit le Saint à part, dans sa chambre, pour lui présenter ses

taille des pierres précieuses) et de médecine : c’est ainsi que des professeurs juifs de l’Université de Montpellier, pratiquaient secrètement la dissection afin d'améliorer leur connaissance du fonctionnement du corps humain. Il fallut attendre le concile de Trente au XVIe siècle pour que l'Église catholique commence à revenir sur la question du déicide. Du XVIIe siècle au XIXe siècle En somme, dans toute l'histoire de la chrétienté, ou de l'Europe, si l'on préfère, et jusqu'au XXe siècle non-compris

idolâtres méritent la mort ( Romains 1, 21-32). Le christianisme repose sur l’injonction paradoxale « aimez vos ennemis, mais extirpez l’idolâtrie », le commandement d’extirpation de l’idolâtrie ayant été repris par tous les Conciles jusqu’à la fin du XIXe siècle. Rappelons que même le Sermon sur la montagne se conclut par « Quiconque n’entend pas mes paroles […] sa ruine sera grande. » ( Mt 7, 26-27 ). [1: Vatican, Le monothéisme chrétien contre la violence

s’agit avant tout d’un phénomène religieux. C’est pour racheter leur fautes et assurer le salut de leur âme que de nombreux chrétiens accomplissenr depuis le Xe siècle de longs et périlleux pèlerinages. Le plus prestigieux est celui qui conduit à Jérusalem où se trouve le tombeau du Christ. Les Arabes, maîtres de la Palestine, se sont toujours montrés tolérants envers les pèlerins mais cette province tombe aux mains des Turcs ce qui crée un grand choc en Occident. La croisade se transforme alors en

(1520-1566), étendent leur Empire sur les rivages d’Afrique du Nord jusqu’à l’Algérie actuelle et une partie de l’Arabie, en s’emparant du sultanat Mamelouk qui régnait sur l’Egypte et protégeait les villes sacrées du monde musulman (Médine, la Mecque, Jérusalem) en 1517 Du coup, l’Empire ottoman contrôle les passages entre l’Europe et le Proche-Orient : les Européens doivent donc trouver d’autres routes pour accéder aux épices et à la soie. Ainsi, de 1453 à 1571, l’Empire ottoman apparaît comme une

été à l’origine d’une brillante civilisation. Mais le déclin de l’Egypte fatimide commence dès le siècle suivant : le califat est en proie à la division politique et les Turcs seljoukides enfoncent ses frontières et s’emparent de la Syrie et de Jérusalem. Dans un premier temps, les Fatimides trouvent leur salut dans la formation des Etats latins d’Orient qui forment un rempart contre la menace seljoukide. Cependant, l’Egypte apparaît vite comme le point faible du monde musulman en Orient : dans la

récitation du chapelet". Quelques théologiens progressistes avaient mené une campagne contre le chapelet, rabâchant toujours les mêmes griefs éculés : la récitation monotone de formules toutes faites ne convient plus à la mentalité moderne ; après le Concile, le chapelet est dépassé, etc. Plusieurs revues et journaux réagirent vigoureusement, organisant une contre campagne pour exalter la beauté et l'utilité du rosaire, et même pour demander que les évêques portugais réclament à Rome sa «reconnaissance