Concile de Trente

suite à l’affichage dans la rue d’écrits injurieux et séditieux concernant la religion catholique. L’édit de Villers-Cotterêts en 1539 est un édit rédigé par le roi François 1er qui prône le français comme langue officielle du royaume. Le concile de Trente en 1542 est une réaction à la réforme protestante. Il confirme les sept sacrements ainsi que le culte des saints et des reliques. Il crée également des séminaires diocésains destinés à former les prêtres. L’édit de Nantes signé en 1598 par Henri

monarchique (B).La conception originel du mariage chrétien « Ils ont voulu (les rois) que les mariages fussent publiquement célébrés en face d’Église, avec toutes les justes solennités, et les cérémonies qui ont été prescrites comme essentielles par les saints conciles, et par eux déclarées être non seulement de la nécessité du précepte, mais encore de la nécessité du sacrement ». (L. 5 8)Le mariage selon la Bible est un engagement sacré entre un homme et une femme, devant Dieu, ou devant son représentant et serviteur

l’Egyptien Nasser, l’Indien Nehru ou l’Indonésien Sukarno. D’autres se battaient encore pour l’indépendance, à l’instar du Front de libération nationale d’Algérie, du néo-Destour de Tunisie ou de l’Istiqlal du Maroc. Au total, vingt-neuf Etats et trente mouvements de libération nationale allaient, à Bandung, changer le cours de l’histoire. Un demi-siècle plus tard, Jean Lacouture se souvient de cette « aurore ». Par Jean Lacouture Il est fort possible que pour la grande majorité des jeunes gens

compter sur l’appui d’environ un quart de la population. En retour, l’Eglise clarifie et publie les dogmes catholiques officiels alors défendus par les jésuites qui refusent l’hérésie de la Réforme. En 1545, un concile est ouvert dans la ville de Trente afin d’apaiser les conflits. Ce Concile donnera raison à l’enseignement prodigué par les jésuites à travers un catéchisme simplifié et accessible en langues vernaculaires. Cependant, la répression menée par les rois de France ne permet guère de freiner

de près. A l’acte V, il la menace même de l’envoyer dans un couvent. Arnolphe outrepasse ici les prérogatives du mari - qu’il n’est pas encore d’ailleurs - berné. Tel Pygmalion, il désire fabriquer un être à sa mesure. En scène pendant trente et une scènes (sur trente-deux), il mène son combat en multipliant les gestes propitiatoires. Son défi est celui d’un démiurge bourgeois, aspiré par le conservatisme et hanté par un rêve enfantin et destructeur. Il s’inscrit dans la « grande confrérie » des maris

vont profité des incertitudes du droit pour l’interpréter au mieux de leurs intérêts et pour le sanctionner de manière arbitraire. Les plébéiens sont le peuple, ils vont s’insurgés. Ils se réunissent dans des assemblées appelées conciles de la plèbe. Au sein de ces conciles ils élisaient des représentants, des tribuns. Par l’intermédiaire de ces tribuns, la plèbe va demander à partir de 462 avant JC, des lois écrites permettant de limiter l’arbitraire du magistrat. En 451 avant JC, les patriciens sont

jours, s'écrie-t-il, épanchons nos cœurs sur la piété de Louis ; poussons jusqu'au ciel nos acclamations, et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente Pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine : "Vous avez affermi la foi, vous avez exterminé les hérétiques ; c'est le digne ouvrage de votre règne, c'en est le propre caractère. Par vous, l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille." Du reste

comme moyen de reconquête religieuse pour lutter contre l'expansion du protestantisme, proposant une représentation de la religion grâce aux arts picturaux. Cet art baroque, inspiré de la réforme catholique, a pour fondement, (à l'initiative du concile de Trente) de réhabiliter les images en faisant appel à la sensibilité du spectateur plutôt qu'à sa raison. CONTEXTE POLITIQUE Sur le plan politique, la première moitié du XVIIème siècle est caractérisé par une instabilité politique due à une

Styles architecturaux Architecture Baroque Art politico religieux : Nouvelles solutions formelles de la Contre Réforme Esthétique préconisée par la Contre Réforme catholique après le Concile de Trente (1545-63), prenant le contre-pied de la Réforme protestante (qui prône l’austérité) par la surenchère. Glorification du pouvoir pontifical Stratégie : Le recours à l’émotion : Emouvoir / Persuader / Convertir Séduction esthétique / Sollicitation des sens / Pathos Produire un effet maximum de surprise

affaire déclencha les persécutions des protestants. L’ordonnance de Villers-Cotterêts : Cette ordonnance, réclame l’utilisation du français à la place du latin dans les administrations elle fut signée et adoptée par François 1er .  Concile de Trente : Le Concile de Trente est une réponse aux demandes de Martin Luther, dans le cadre de la Réforme Protestante. Il définit le péché originel et l’autorité de la Bible, confirme le culte des saints et des reliques et les Sacrements (dont le baptême, la communion…)