Concile de Vienne

consentements créait le mariage mais que celui n'était reconnu que lorsque l'on prouvait la consommation du mariage. Ce système a fonctionné jusqu'au concile de Trente. Ce concile a eu pour but de serrer les boulons de l'église catholique après la Réforme intervenue en Allemagne d'abord et en Suisse ensuite. Une des dernières dispositions de ce concile a été le décret Tametsi : bien que le mariage solo consensu soit parfaitement valable d'un point de vue canonique, pour éviter les mariages clandestins

eu une puissance sociale et politique considérable. Elle a ensuite réorganisé profondément son droit. Le droit ancien de l’Eglise et le nouveau droit de l’Eglise en sont des manifestations. Sous l’Antiquité tardive;, l’Eglise est régie par des conciles ou des constitutions impériales. A l’époque carolingienne et avec les coutumes féodales, le droit ancien de l’Eglise avait subi des évolutions. Vers 1140, le droit ancien de l’Eglise fait l’objet d’une codification par Gratien, moine de Bologne.

Père était sans Verbe, séparé de sa propre splendeur." Augustin d'Hippone : "La réalité que nous appelons aujourd'hui religion chrétienne existait aussi chez les Anciens, et n'a pas manqué au genre humain depuis son origine, jusqu'à ce que le Christ vienne en la chair ; et c'est pourquoi la vraie religion, qui existait déjà, commença de s'appeler chrétienne." (Rétractations, I, 12, 3). Le simple fait que le christianisme reconnaisse la validité des autres traditions prouve amplement, déjà, qu'il adopte

acte politique qui marque son alliance avec l’Eglise, celle-ci lui conférant sa légitimité auprès des gallo-romains. Toute la légitimé de son pouvoir lui sera par ailleurs officiellement reconnue par l’Eglise lors du concile d’Orléans, en 511. Saint Avit, l’archevêque de Viennes, écrit à Clovis en 507 : « votre foi est notre victoire ». Il faut bien évidement nuancer la victoire de Clovis : c’est une victoire politique et territoriale, mais en aucun cas une victoire juridique, comme l’illustre

les préceptes de la religion catholique, de mesures 20 de protection contre l’impureté menstruelle . En revanche, les restrictions de la sexualité à la seule finalité reproductrice, formulées dès l’époque des Pères de l’Église et réitérées par les conciles successifs (Flandrin, 1981), fonctionnent à plein, comme le refus des penchants et risques libidineux liés à l’attention portée 21 au corps . Sans doute faut-il voir là, à côté de la vénération mariale, la raison du silence de l’imaginaire érotique

ont également attiré des diasporas italiennes, notamment Paris, où résident dès le début du XVIe siècle de nombreux marchands et artisans italiens, sans compter les intellectuels et les artistes de passage ; c’est le cas, de la même manière, de Vienne et de Prague, de Cracovie et de Bude, jusqu’à la prise de cette dernière capitale par les Turcs. Vers la fin de la période étudiée, Genève qui, du temps de la splendeur de ses foires, attirait déjà les Italiens, redevient, grâce à Calvin, le siège

( e e les attributs de la puissance républicaine (imperium, auctoritas, potestas). Pour enrayer la décadence, l m e Dioclétien procède en 292 à une grande réforme administrative (par ex. la Gaule aura 15 ’ pr e eur provinces en 2 diocèses, Lyon et Vienne, au lieu des 4 provinces augustéennes [Narbonnaise, Aquitaine, Lyonnaise, Belgique])Id i l m i t ro e n préfectures (Italie, Gaule, Illyrie, Orient), avec 4 .l i s ’ p ee i i e 4 v e e r rt r co-empereurs : 2 Augustes et 2 Césars : ’ ta c sl tétrarchie

le clergé chrétien, à la pensée que si les bergers étaient frappés, les brebis auraient disparus. Les horreurs de cette persécution étaient vivement décrites par l’historien de l’Eglise, Théodoret , qui décrit la réunion des évêques de l’Eglise au concile de Nicée des années plus tard après la fin de la persécution (326 A.D). • Des chrétiens, après la persécution en 325 A. D., avaient perdu leurs yeux ; d’autres leurs bras, d’autres encore avaient leurs corps horriblement estropiés de différentes

richesse, pouvoir et bravoure sur le champ de bataille : vivant du labeur des paysans, le maître se doit de manifester sa bravoure et sa loyauté envers eux[4]. L'Église a œuvré pour canaliser les chevaliers-brigands dès la fin du Xe siècle. À partir du concile de Charroux en 989, les hommes en armes sont priés de mettre leur puissance au service des pauvres et de l'Église et deviennent des milites Christi (soldats du Christ)[8]. Depuis le XIIIe siècle, le roi de France avait pu faire admettre l'idée que

cette sagesse supérieure, car je ne l'ai point; et qui le prétend en impose et veut me calomnier. Mais je vous conjure, Athéniens, de ne pas vous émouvoir, si ce que je vais vous dire vous paraît d'une arrogance extrême; car je ne vous dirai rien qui vienne de moi, et je ferai parler devant vous une autorité digne de votre confiance; je vous donnerai de ma sagesse un témoin qui vous dira si elle est, et quelle elle est; et ce témoin c'est le dieu de Delphes. Vous connaissez tous [21a] Chérephon, c'était