Conclusion Britannicus

qu'elle fût, par lui peser tellement, qu'il résolut sa mort. Il n'hésitait plus que sur les moyens, le poison, le fer, ou tout autre. (2) Le poison lui plut d'abord; mais, si on le donnait à la table du prince, une fin trop semblable à celle de Britannicus ne pourrait être rejetée sur le hasard; tenter la foi des serviteurs d'Agrippine paraissait difficile, parce que l'habitude du crime lui avait appris à se défier des traîtres; enfin, par l'usage des antidotes, elle avait assuré sa vie contre l'empoisonnement

se montre un administrateur capable et un grand bâtisseur public. Son règne voit l'Empire s'agrandir : cinq provinces s'ajoutent à l'Empire dont la Bretagne, en 43, (où il se rend pour obtenir les triomphes, se voyant ainsi décerner le surnom de Britannicus, ainsi qu'à son fils), la Lycie, la Mauritanie, la Norique et la Thrace. Il s'intéresse personnellement aux affaires publiques, se penchant sur les lois et présidant les procès publics. Il va jusqu'à publier vingt édits par jour.Il étend la citoyenneté

parle de passion fatale et d’amour impossible. En effet, Jean Racine à travers la pièce Britannicus nous démontre ceci. C’est une pièce jouait en 1669, rédigé en cinq actes. Dans cet extrait de l’acte V, scène 1, Racine nous démontre que cette scène cache une critique de la cour, que Britannicus est un homme aveugle et que Junie ressent de nombreux pressentiments. En effet, après avoir retrouvé Junie, Britannicus se montre en tant qu’homme amoureux auprès d’elle et lui confie que c’est grâce à Agrippine

de capturer Junie, amante de son rival Britannicus, mais il en tombe amoureux, et décide de tout faire pour la conquérir, et va jusqu'à semer le mal autour de lui L'histoire se déroule en 55 après J-C. Au petit matin, Agrippine attend devant la chambre de Néron, son fils, mais aussi l'Empereur de Rome pour qu'il accepte de la recevoir. Elle a apprit que pendant la nuit que sans l'en avertir, celui-ci a fait enlever Junie, l'amante de son rival Britannicus. Agrippine, qui a favorisé l'arrivée au

Le personnage de Néron dans Britannicus 1) Néron vu par les autres (personnages + Racine dans sa préface) 2) Néron par lui-même : sa personnalité et ses actions, son évolution dans la pièce Tout d'abord, nous verrons Néron vu par les autres c'est à dire par les personnages et Racine dans sa préface. Ensuite, nous analyserons la personnalité, les actions et son évolution dans la pièce. 1) Néron vu par les autres Dans cette pièce, Agrippine décrit Néron comme un monstre

parenté entre les personnages. Tout d’abord, on voit que les personnages les plus importants (selon leur emplacement dans la société) sont mis a la tête de cette liste (Néron, l’empereur, suivi de Britannicus le héros éponyme, ensuite Agrippine qui est la mère et enfin Junie l’amante de Britannicus). Viennent ensuite les personnages les moins importants qui sont Burrhus et Narcisse (des gouverneurs), Albine (une confidente) et enfin les gardes qui sont mis tout au bas de la liste. Ensuite,

Le XVII° siècle est l'âge d'or du théâtre. Racine est un dramaturge de ce siècle qui tente par tous les moyen de s'imposer parmi les grands. Et c'est avec Britannicus, joué en décembre 1669, qu'il parvient à concurrencer Corneille, fameux dramaturge du mouvement classique. En 1670, il fait une préface de réaction pleine d'émotions. Puis en 1674, plus mature, il écrit une seconde préface. Nous verrons qu'elle sont les fonctions de cette nouvelle préface. Nous percevrons tout d'abord que la maturité

L’extrait de « Britannicus » Acte II, scène 2 écrit par Jean Racine, né le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699. Et l’un des dramaturges le plus représentant de la tragédie classique. Lors de l’écriture de cette œuvre théâtrale, sous le règne de louis XVI, le principal courant littéraire est le classicisme. Il représente le savoir de la raison, l'équilibre, l'objectivité, la retenue et un strict respect de la forme, à travers les règles des trois unités, vraisemblance, bienséance

Britannicus de Racine Britannicus de Racine Partager | Commentaire critique Le lieu Bien que Racine respecte l’unité de lieu, le lieu de la tragédie est triple. Pour reprendre une partition introduite par Roland Barthes , on peut distinguer « la Chambre », « l’AntiChambre » et « l’Extérieur ». La chambre est le lieu du pouvoir, la chambre où Néron prend ses décisions et scelle le sort de ses proches. L’anti-chambre est le lieu représenté sur scène, le lieu où les personnages attendent les décisions

l’amour et la famille quand ils sont en désaccord qui peut être du à une différence d’idées ou de culture. En effet, les héros tragiques classique ont tous une appartenance religieuse. On peut le voir dans la pièce de « Britannicus » (1669) de Jean Racine car Néron et Britannicus ont différentes idées se qui va les opposer. On peut se sentir éloigné du héros tragique classique pour des raisons différentes et nombreuses. Tous d’abord, le héros tragique classique est le plus souvent issu de la