Conclusion Corpus Rire

.......................... 60 L’explication du texte et de l’implicite ................................................................. 60 3) L’Interculturel et le transculturel par les approches contrastives ............................ 65 Conclusion ........................................................................................................................... 76 Annexe 1 - CD-Rom ...................................................................................................

et engagement. Question : En dégagent l’image de la littérature que donne le texte de Claude Roy, vous étudierez les moyens par lesquels les autres textes tentent de nous questionner, de nous interpeller ? Nous pouvons constater, à travers ce corpus, deux essais : l’un sous la forme d’une lettre ouverte, l’autre, quant à lui, prend les traits d’un article du Dictionnaire Philosophique, il s’agit respectivement de la Lettre à France, de Zola et de l’article « Torture » écrit par Voltaire après

tel que l’utilise Molière, peut être considéré comme un accident de langage prolongé57, fondé sur l’emploi métaphorique mutuellement des deux côtés, contrairement au quiproquo de Voltaire dans Zaïre, comme nous venons de démontrer précédemment. Conclusion Dans cette pièce, Voltaire, a utilisé deux procédés différents: les figures de style et le quiproquo. Dans le premier, nous trouvons deux sortes. Voltaire commence la pièce par une métonymie incarnée par des personnages inventés par lui. Toutefois

Dégradation et chosification de l'homme : -" un ballon prêt à s'envoler, d'où sortait une tête, deux bras et deux pieds. " (noter la métonymie). -" leurs femmes, derrière l'animal… " (l'ordre n'est pas gratuit). -comique de geste, de situation… Conclusion : Une description réaliste subjective: l'effet de réel, description de la foule " mêlée " aux bêtes.( la couleur locale. Mouvement de la description :du général au particulier. Ce cadre dévalorisé préfigure des protagonistes dévalorisés aussi

convaincant). Axe 1 : l’opposition de deux thèses… Axe 2 : la place laissée au lecteur dans ce dialogue = texte délibératif a. L’impartialité de l’auteur ( équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ; ( aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides ( argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ; ( argumentation par référence à l’expérience

de séquences, croiser les textes et images d’une même séquence avec d’autres documents, former un corpus de type bac à partir de quelques textes étudiés en lecture analytique, etc. Dans la partie I, une série de prolongements met chaque séquence en réseau avec l’intitulé général de l’objet d’étude (pistes bibliographiques, liens avec le DVD-Rom de la collection Terres littéraires, propositions de corpus et d’activités complémentaires de type bac). En fin de correction de chaque fiche de la partie II

plus tard la rédaction de son ouvrage l'Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance (1941) (voir Rabelais, François), texte théorique fondamental qui exposait sa conception du roman comme culture populaire du rire et plus largement sa conception de la création littéraire comme exercice carnavalesque, c’est-à-dire comme refus de l’ordre, refus d’une forme fixée, normative, refus d’un langage univoque, ou, si l’on veut, comme célébration de l’ambivalence. Le discours

et sujet durée lecture Lecture analytique du troisième chapitre «il faisait sombre......notre voisine» Le troisième chapitre de l’œuvre. 1 heure langue Transposer des phrases déclaratives au discours indirect. Le travail est mené sur un corpus. 1 heure orale Discuter à propos de la nature de la relation père/mère dans la société marocaine. La réalité quotidienne. 1heure Production écrite Expliquer l’importance d’une lampe à pétrole. L’œuvre, la culture marocaine. 1heure La

cheminement initiatique. La maladie se définit ici comme une cassure qui permets d’ouvrir les yeux. L’efficacité magico-thérapeutique des rituels des Gnawa est inscrite dans le mythe. Exclusivement fondée sur une transmission orale, le corpus des récits propres à la confrérie marocaine ne renvoie a aucune tradition historique très ancienne, a l’exception justement des récits de la guérison de Lalla Fatima. En voici la narration la plus classique. «Fatima –Zohra, la fille du

épisode : verbalisation des élèves sur la lecture et hypothèses sur la suite traces de lecture dans un tableau à compléter Objectif : Caractériser l’évolution de la relation entre le père et le fils Séance 2 LECTURE Durée : 1h Support(s) : - un corpus d’extraits (photocopie) Activité(s) : - repérage du point de vue du fils sur son père - compléter un tableau et interpréter l’évolution de la relation Objectif : Terminer la lecture du récit Séance 3 LECTURE Durée : 1H Support(s) : p. 36 à la fin