Conclusion De La Comédie

attentive… » ; « Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux entrailles, et leur rire me faisait pleurer. » (l.197-200) : curiosité, pitié Conclusion : l’auteur vise à dénoncer l’aspect voyeuriste des spectateurs (il s’agit d’un véritable spectacle sans acteurs volontaires). II. De la comédie à la tragédie 1. Quelle sensation est associée à la comédie qui commence avec l’arrivée des forçats ? Pourquoi ? joie des «spectateurs» qui se manifeste par le bruit. 2. Relevez le champ

Introduction : Corneille (1606-1684) est un auteur qui à d'abord écrit des comédies comme Mélite, des tragi-comédie comme Le Cid (1637) et enfin, à la fin de sa vie, des tragédies comme Horace, Suréna.Ses tragédie ont la particularité d'avoir un DILEMME CORNEILLIEN qui signifie un dilemme très compliqué où les deux options sont très difficiles à choisir : Dans Le Cid, par exemple, il a à choisir entre l'honneur familial ou l'amour.Une tragi-comédie est une pièce où il y a beaucoup de péripétie tragique mais l'issue

appartient à la fois à la tragédie par sa droiture et à la comédie par ses aventures et sa philosophie de l’existence. La pièce s’achève par la mort du héros, comme dans la tragédie classique. Le langage des héros est noble et soutenu, donc tragique ; celui de César et de personnages secondaires (par exemple, la duègne) est familier, comme dans la comédie. Certains jeux de scène ou situations sont caractéristiques de la comédie et même de la comédie burlesque (la reine se cache derrière une tenture

L'Ile des Esclaves Scène 6 La comédie de Marivaux, l'Ile des esclaves, est centrée sur la leçon d'humanité donnée par l `échange des rôles maître/esclave. Nous avons vu que successivement il y avait échange du nom et du statut social. Dans la logique de l'échange, les serviteurs vont jouer les personnages de leurs maîtres. Dans cette sixième scène, le jeu consiste à imiter le comportement amoureux de ces derniers. Dans cette scène, Arlequin et Cléanthis vont se faire la cour

spectateur ; Ionesco). II/ Le théâtre est le lieu du divertissement A. Origines du théâtre (Les Romains ne faisaient du théâtre comique que pour rire) B. Farce, commedia dell’arte, comédies de Molière C. Le symbolisme III/ Aborder des questions graves en divertissant A. Les comédies anciennes B. Molière C. XVII : Ces pièces de théâtre ont souvent pour but la critique sociale, comme dans Le Barbier de Séville ou Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, œuvres dans

DEVOIR N° 1 : LE MISANTHROPE, UNE COMEDIE CLASSIQUE Le Misanthrope, est une œuvre écrite par Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière en 1666. Il s’agit d’une pièce de théâtre qui dénonce l’hypocrisie dans le monde de la cour, la société du paraître. Au XVII siècle, la société française vivait sous le règne de Louis XIV. Molière est devenu le comédien du roi à partir de 1661, il compte avec l’appui et la protection du monarque. Le Misanthrope a était crée sur la scène du Théâtre du Palais Royal

sur le thème de l’hypocrisie à la Cour l’expose sous l’aspect d’une comédie. II. Mais la gravité du propos perce dans cette comédie. III. En fin de compte, on s’aperçoit que La Fontaine nous propose ici une vision pessimiste et amère de la vie en société. I UNE COMEDIE EXPRESSIVE ET VIVANTE 1. Une comédie vivante en trois actes a. L’enchaînement des trois actes. Le récit rappelle l’organisation d’une comédie : 1) Le premier acte La mort de la Lionne (v 1) « La femme du Lion

cet extrait ? Quelle est son intention ? 5. Est-ce une simple scène de farce ? REFLEXION PERSONNELLE "Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j'ai cru que, dans l'emploi où je me trouve, je n'avais rien de mieux à faire que d'attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle..." Pensez-vous comme Molière que le but de la comédie, et plus largement de l’art et de la littérature, est de corriger les hommes en les divertissant ? Développez une réflexion

jeune fille, cependant, la psychologie profonde, les nuances, ont envahi le théâtre de Molière : les jeunes filles sont enfin incarnées, elles ont pris chacune un visage. Vivantes et irréelles à la fois, elles entraînent le théâtre de Molière vers la comédie de moeurs et de caractère, mais sans qu'il pénètre encore dans la réalité authentique. II. LES JEUNES FILLES DE LA VIE AGNÈS 1 - Célie (Sganarelle) relève encore du premier et du deuxième groupe, mais témoigne cependant d'une sensibilité vivante

et scénographiques permettent de rendre ce type de situation concrètement visible, audible « sur scène », et par là plus efficace que dans les autres genres littéraires, comme le roman. Pourquoi le conflit entre les personnages, aussi bien dans la comédie que dans la tragédie, est-il un élément essentiel, voire même primordial ? Il peut présenter une efficacité dramatique et donner de l'intensité à l'action ; il peut aussi éclairer la psychologie des personnages ; il peut enfin permettre à l'auteur