Conclusion De La Division International Des Processus Productifs

L’adaptation des systèmes phares de production par les entreprises industrielles contemporaines 2.1 L’apparition du Toyotisme 2.2 Toyotisme : Avènement d’un nouveau modèle ou prolongement d’un fondamental ? 2.3 Le Néo-Taylorisme : L’OST d’aujourd’hui CONCLUSION   2   INTRODUCTION Au XIXème siècle, la révolution industrielle a fait basculer de manière plus ou moins rapide selon les pays et les régions, une société dominante agraire et artisanale vers une société commerciale et industrielle. Cette

développement : l’odre n’est pas un hasard c’est le premier mot qui fixe l’entrée = UN SUJET SUR L’INDUSTRIE ! L’industrie d’il y a 50 ans n’est plus l’industrie d’aujourd’hui ! France pays industrialisé IL FAUT RAISONNER EN TERME DE SYSTEME PRODUCTIF Division de Pauline Clark : primaire secondaire et tertiaire n’est plus très opérante car : 1 – Mais nous on a connu un phénomène massif de l’externalisation ce qui fait ce n’est plus compté dans l’industrie 2 – L’industrie entraîne derrière elle toute

proposition de méthodes : l'HPE n'est pas un cour d'histoire des faits économique, cepandant il a une caractéristique commune et c'est cette caractéristique qu'il nous faut déterminer. Un cour d'Histoire des fait économique est un cour qui retrasse des processus matériel, organisationnel, qui sont plus ou moins lointaint (RI, moyen-age) et qui on conduit a l’émergence de l'économie contemporaine et cette économie peut être qualifié de 2 termes : économie capitaliste et marchandes. Cet historien va analyser

CHAP 7 – LES ENJEUX DE L’OUVERTURE INTERNATIONALE Introduction : 1. La mondialisation peut être définie comme l’extension du capitalisme et de l’économie de marché à l’échelle mondiale. Le phénomène de mondialisation comporte deux dimensions :  La mondialisation désigne d’abord un processus de développement des échanges et de montée des interdépendances. La mondialisation de l’économie se traduit par la croissance des flux commerciaux, des flux d’investissement et des flux financiers. Les firmes

Nord-Nord principalement porté par la mobilité des personnes qui va favoriser la convergence des niveaux de vie car la mobilité des hommes entraîne la mobilité du capital ; et un axe Nord-Sud que définit le commerce des marchandises. b) La division internationale du travail :Cohen parle de mondialisation comme asservissement du monde en s’intéressant surtout a l’échec de certaines régions du globe qui possédaient tout ce qui était nécessaire à leur développement. En prenant l’exemple de l’Inde et de

Economie Internationale Introduction 1. Objet du cours Flux commerciaux Commerce international en Biens et Services Les politiques commerciales IDE et localisation des firmes Les théories de l’échange international portent sur la structure et les réseaux de production et d’échange On traitera de cela à travers la problématique de la spécialisation ainsi que les pratiques et les politiques d’insertion internationale d’un pays Cette insertion se déroule dans un contexte particulier :

intérêt à participer à l'échange international ? Pour Ricardo la réponsene fait aucun doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international qui avait prévalu jusque-là.

de l’accès à celle-ci. Les nouveaux principes de l’organisation du travail Phillipe Askenazy : les objectifs de l’organisation du travail à l’âge d’internet sont l’adaptabilité de la demande, la réactivité, la qualité, l’optimisation du processus productif, par les compétences humaines. Les salariés doivent être polyvalents. Les responsabilités sont déléguées aux niveaux hiérarchiques inférieurs. La production est ainsi flexible et correspond aux attentes des clients, on a raccourcit [Trois

intérêt à participer à l'échange international ? Pour Ricardo la réponsene fait aucun doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international qui avait prévalu jusque-là.

16 III. Filiales : 17 Conclusion : 18 Bibliographie : 19 Wébographie : 19 Introduction : Les entreprises ont toujours cherché, au-delà de la frontière nationale, un marché de clients plus faste, des approvisionnements moins chers ou de meilleure qualité, des partenaires plus intéressants. La mondialisation des activités traduit la systématisation de cette attitude. La multinationalisation d’une entreprise comporte ainsi plusieurs aspects. C'est un processus temporel mais dynamique qui