Conclusion De La Jeunesse

cette promenade. 2 personnages : le poète qui parle mais dont on ne sait rien, et l’objet de son amour, une jeune personne dont on ne connaît que quelques éléments : son teint de rose « et son teint au vôtre pareil »v.6, sa jeunesse « âge » v.14, « verte nouveauté » v.15, « jeunesse » v.16 et sa beauté « vôtre beauté »v.18. Ici Ronsard reste très discret quant à la description de la dame que l’on ne devine plus qu’on ne la voit : sur ce point il reste fidèle à l’amour courtois et au modèle de Pétrarque

converge vers Staline : les chars avancent vers lui, les membres du défilé (soit les jeunesses communistes) alignés, la formation de vol des avions, tous les regards des militaires…etc. Staline ne semble cependant pas s'intéresser aux hommages qui lui sont rendus, mais regarde plutôt vers l’avenir, pour montrer à son pays la direction à suivre. Il tourne le dos à la foule et à l'armée pour avoir en face de lui les jeunesses soviétiques, pour insister sur leur importance au sein de L'URSS. Tous les visages

les absurdités du système social, politique et culturel français. Cet extrait est une satire sociale du jeu et de la femme, de leur importance et de la dépendance dans laquelle le jeu maintient la femme et les femmes maintiennent les hommes. la conclusion prend la forme d’une comparaison avec l’Orient. Annonce du plan : découpage en 3 parties (analyse selon un découpage linéaire): -1- le jeu : un titre de noblesse (paragraphe I) -2- les femmes dépendantes du jeu : une passion dévorante et déraisonnable

L’ENNEMI |1 |Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, | | |Traversé çà et là par de brillants soleils ; | | |Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, | | |Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

quatrain : La jeunesse est comparée à un été bouleversé par les vicissitudes du temps. - Deuxième quatrain : Le bilan négatif de la maturité, qui est comparée à l'automne. On note l'annonce de la mort. - Premier tercet : Espoir d'un renouveau qui s'apparente au printemps. - Deuxième tercet : démenti catégorique : la présence destructrice du temps s'oppose à tout développement et à toute croissance nouvelle (=l'hiver). Lecture du poème L'ennemi X - L'ennemi Ma jeunesse ne fut

Anciens sont notre jeunesse ➩ Ceux que l'on appelle les anciens sont sur le plan de la connaissance notre jeunesse, nous sommes bien la vieillesse par rapport à eux car ns avons joints à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis ↳ c'est en ns que l'on peut trouver cette antiquité que nous reverrons dans les autres ↳ on voit ak cbien d'injustice on respecte l'antiquité -> les anciens formaient l'enfance des hommes proprement ➩ l'homme peut être la jeunesse de l'un mais la vieillesse

Commentaire de texte Rédiger l'introduction, la deuxième partie et la conclusion du commentaire de la tirade de Parèdre écrit par Jean Racine. Jean Racine est un auteur de tragédie né en 1639 et mort en 1699. Phèdre à été écrit au XVIIè. Siècle dans le mouvement du classicisme. Cet extrait est une tirade de l'acte 2 scène 5, en vers régulier, qui s'adresse à son beau fils pour lui avouer son amour passionnelle, à l'occasion de la mort présumée de Thésée, son mari, à la fin de l'acte 1. Cette

Baudelaire expose donc une nouvelle fois le thème littéraire traditionnel du temps dans ce sonnet. L’Ennemi est le 10eme poème du Spleen. En quoi peut on dire que la jeunesse orageuse de Baudelaire fut sa principale source d’inspiration ? Nous verrons ainsi dans une première partie le passé de l'auteur avec une jeunesse orageuse entrecoupée de moments tant intenses que fugaces, dans une seconde partie nous étudierons son présent avec les conséquences dramatiques de cet "orage" accompagnées

pays veut l’emporter su ce terrain. III/ L’Etat dirige contrôle l’économie et la société pour gagner la guerre : Etat commande armes (emprunte à l’étranger et auprès population pour financer la guerre, contrôle la presse, « bourrage de crâne »… Conclusion : Toute la population et l’économie ont été mise au service de la guerre : les hommes et femmes ont souffert et l’économie européenne a été affaiblie par la guerre. Sujet : La Première Guerre mondiale : ses conséquences humaines, matérielles

première, qui est la religion, donne un pouvoir quasi omniprésent. En somme, se pouvoir est un État dans l’État. Transition/mini conclusion vers la deuxième idée principale : bien que la peur peut nous enseigner des leçons dans la vie, il n’est pas à exclure qu’il vaut mieux les affronter. Idée principale 2 : aller au-devant de cette peur ( AUDACE (ACTION) + JEUNESSE = la libération de l’homme face à l’État clérical. Idée secondaire 1 (voir page 26) : il faut de la bravoure au combat. Donc il faut