Conclusion Du Dernier Portrait De Nana

essentiels pour l’analyse du texte Il s’agit d’un PORTRAIT, celui de Charles Bovary. Le portrait moral ou physique du personnage est très important dans le roman, car il oriente notre vision et nous fournit des informations . C’est aussi un topos du roman romantique (comparer avec le portrait d’Horace de Beuzeval par Dumas à la fin du polycopié) que Flaubert va s’amuser à détourner en peignant un antihéros… C’est un portrait négatif. Si ce portrait est négatif, c’est parce que Charles est en partie

insoupçonnée comme on peut le voir dans tout le roman La Bête humaine de Zola, un des livres du cycle des Rougon-Macquart qui est d’ailleurs la grande œuvre de cet auteur, ou dans cet extrait de Nana : « Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient

folie homicide (La bête humaine).L’auteur observe, décrit et ne doit pas se laisser impliquer (bien que Zola parfois s’abandonne à une certaine participation) ;il ne doit pas, enfin, se préoccuper de troubler la morale publique et susciter scandale (Nana). Si le concept de la fonction de l’art comme miroir de la réalité a profondément changé les élans sentimentaux du " moi " romantique, qui très souvent n’est pas en syntonie avec le monde qui l’ entoure, le naturalisme " photographe " une monde

facile à mettre en œuvre. Les personnages : Gervaise Macquart : née en 1828, elle est blanchisseuse et fille d’un alcoolique. Elle a trois enfants de Lantier son premier compagnon (Claude, Jacques et Etienne) ainsi qu’une fille de Coupeau son mari, Nana. Elle mourra de misère en 1869 Auguste Lantier : né en 1824, Lantier est ouvrier, il est l’amant de Gervaise mais l’abandonne pour Adèle la sœur de Virginie Poisson. Il est le père des fils de Gervaise. Lantier participe à la déchéance de celle-ci

met des indications sur les évènements à venir dès l’incipit du roman. Ce qui laisse supposer que l’auteur connaît la fin de son œuvre avant même d’avoir commencé à la rédiger et qu’il parsème son œuvre d’indices menant le lecteur à imaginer la conclusion de l’histoire. Michel Raimond a une pensée très restrictive du roman. Le roman est-il aussi restrictif que le prétend Michel Raimond  dans sa comparaison du roman à la vie ? Le roman est une œuvre structurée où le début prévoit déjà la fin, mais

ne les protège pas. • Pour Zola, « le premier homme qui passe est un héros suffisant ». Chacun peut être un héros, même les descendants des Macquart qui sont tous des personnages soit alcooliques (Jacques dans La Bête humaine), soit à petite vertu (Nana), etc. • Georges Duroy dans Bel-Ami, apparaît finalement comme quelqu’un de très médiocre, plein de défauts, aux manières douteuses et qui n’a pas l’éclat d’un Valmont. Son ascension sociale est certes réelle mais elle n’est due qu’à des combines

plait pas au maître. Manet le quitte et partage l’atelier du peintre animalier Albert de Balleroy.  Il voyage en Hollande, puis en Autriche, en Italie et plus tard en Espagne où il découvre les œuvres de Velasquez et de Goya. Il peint d’abord des portraits et des scènes d’inspiration espagnole. En 1863,  sa toile intitulée « le déjeuner sur l’herbe » suscite de violentes critiques. Le peintre s’exprime dans des formes brutales et des couleurs chatoyantes qui rompent avec la technique traditionnelle

vie mondaine Le monde des arts LE TRAVAIL DU ROMANCIER La structure romanesque Lumières et couleurs de Paris, un vocabulaire chatoyant La dimension épique: démesure et dérision Quelques « types » particuliers de l’humanité parisienne CONCLUSION POUR EN SAVOIR PLUS INTRODUCTION Émile Zola (1840-1902), dont l’essentiel de l’œuvre regroupe les vingt volumes du cycle Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire (1852-1870), a placé l’action

l’aide d’une cousine Khady. 5ème séquence : C’est le 13 juillet, veille de la fête de l’indépendance de la France. Nini invite à dîner ses amis blancs Perrin et Martineau, pour faire manger à ce dernier la potion magique du marabout. 6ème séquence : Cette séquence est une sorte clôture, un dernier acte dans cette tranche de vie de Nini. C’est la fête du 14 juillet aussi. A la liquidation de la compagnie, les Blancs sont remerciés, et ils rentrent à l’hexagone. Nini aussi part pour la France

personnage féminin occupe une place particulière dans le roman naturaliste. Il est le foyer de toutes les tares psychologiques et physiologiques, il se situe souvent dans le champ de l’anormalité : Gervaise avec sa tare physiologique (elle boite), et Nana sa fille avec sa tare psychologique : elle veut conquérir tout Paris en le corrompant par le corps. Ces représentations sont si peu réjouissantes et elles ne font guère appel à notre sentiment d’apitoiement en tant que lecteurs. C’est que le personnage