Conclusion Germinal

Question Documents A – Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, livre I, V, 1668. B – Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’Éducation, livre IV, 1762. C – Victor Hugo, « Ultima verba », Les Châtiments, VII, 17, 1853. D – Émile Zola, Germinal, IIIe partie, 3, 1885. Qu’est-ce qui, selon les quatre textes du corpus, permet à l’homme d’être libre ? Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois sujets nos 34, 35 ou 36. Document A Le Loup

........................................................................................................ 26 Discussion : apports des articles.................................................................................................... 27 Conclusion ................................................................................................................................ 29 Bibliographie ..................................................................................................

Introduction au Réalisme. · Préparation au visionnement du film Germinal . Séance 6B (pas de cours en classe !) · Visionnement à la maison du film Germinal . Séance 7A · Contrôle sur le film Germinal [2 points bonis]. · Retour sur le film. · L’introduction et la conclusion de la dissertation explicative.Séance 7B· Lecture de la nouvelle « La parure ». Les thèmes

ZOLA Germinal, La révolte. (V° partie, chap. 5, de "Les femmes avaient paru … couperet de guillotine") INTRODUCTION (à développer) La scène est vue par les bourgeois cachés dans une grange. DEVELOPPEMENT I° partie - La force de cette description vient d'abord de sa composition. 1°§ - Zola compose le cortège de manière inattendue et cependant solidement structurée. Il place, en effet, en tête du groupe les "femmes" qui sont en principe les êtres les plus faibles, les plus doux

STUDY CORRECTION TECHNO.odtSUJET 1 : COMMENTAIRE DE TEXTE D'EMILE ZOLA (1885) Étude de texte : le contexte : Germinal est un roman naturaliste : il a l'ambition de décrire la vie réelle. Au peuple, Zola emprunte ainsi son langage et ses mœurs ; il décrit avec beaucoup de minutie le monde de la mine et ne recule pas devant les termes techniques. L'histoire est réaliste, mais développée de façon suggestive, pour que les lecteurs sentent ce qui se passe, comme s'ils le vivaient eux-mêmes. L'action

permet d'échapper à la réalité. Premièrement... De plus / En outre... Finalement...   (3) Le roman a ces deux différents rôles...) --> selon ce que t'a dit ton professeur, je ne sais si tu es obligé de faire une troisième partie ou pas.   Conclusion     Selon ce que tu penses toi, tu va d'abord développer l'autre idée, puis la tienne.   Si tu pense que le roman permet de s'échapper par exemple, tu vas dire en 1ère partie : c'est vrai que le roman peut ouvrir les yeux du lecteur parce

dans les différents milieux sociaux de la société du Second Empire. Ces forces animent la vie psychique groupale. La première puissance est la pulsion germinale. Elle soude le groupe, affaiblit le moi et maintient la survie de l’espèce. Cette énergie ne disparaît jamais. Rien ne meurt vraiment. Tout revient à la vie. Face à cette puissance germinale, le personnage s’appuie sur les forces létales pour nier sa nature pulsionnelle. Ce sont des forces de repli qui coupent le personnage du groupe et le

L'Assommoir (1877), que le succès, dû au scandale, le rend célèbre. Autour de Zola se groupent alors les écrivains de l'école naturaliste (1881). Désormais, chacun de ses livres est un événement littéraire : il obtient son plus grand triomphe avec Germinal (1885). Sans se laisser émouvoir par la défection de quelques disciples qui protestent contre l'outrance du naturalisme (Manifeste des Cinq, 1888), Zola termine en 1893 la série des Rougon-Macquart et publie aussitôt les Trois villes : Lourdes (1894)

et du symbolisme. Emile Zola , considéré comme le chef de file du naturalisme, est un romancier français, auteur de la célèbre œuvre des Rougont-Macquart, ainsi qu'il a défendu Dreyfus en publiant J'accuse...!. Dans la partieI chapitre1 du roman Germinal, le roman débute in medias res par l'arrivée d'un homme, en pleine nuit, à la fosse du Voreux ; cet homme n'est autre qu'Etienne Lantier, fils de Gervaise Macquart , frère de Claude , de Jacques et de Nana. Il conviendra d'analyser successivement

réalistes et naturalistes écrivent, ils le voient. Ils vont sur les lieux, observent, étudient comme, par exemple, Zola et sa démarche scientifique. Il cherche à décrire la société très précisément mais en dénoncent ses aspects négatifs. Comme dans Germinal. Pour l’écriture de cette œuvre, Zola s’est déplacé pour comprendre le travail des mineurs, a fait la rencontre de certains de ces derniers et a ensuite analyser leurs comportements et ceux pour qui ‘ils travaillaient. Puis, dans l’œuvre, il décrit