Conclusion Grand Seigneur Méchant Homme

Nous avons un entretient entre Sganarelle le valet de DJ et Gusman l’écuyer d’Elvire. Elvire a été enlevée d’un couvent par DJ puis épousée et abandonnée. Sg ôte à Gusman tout espoir que DJ revienne. A cette occasion il dresse le portrait d’un grand seigneur impie ( = qui ne croit pas ) et débauché. Cette tirade appartenant à la scène d’exposition nous renseigne sur l’intrigue ainsi que sur les relations spécifiques entre maitre et valet. Scène d’exposition : Scène(s) du début qui apporte au spectateur

dictent la conduite (philosophes, historiens, …) rejoignent tous les humanistes italiens d’autrefois pour condamner le Moyen Age comme étant une période née sur les ruines de la Rome antique, de son empire, de sa civilisation. Pour cela ils oublient un grand pan de leur passé qui devient incertain et créent un mythe pour glorifier les héros de leur temps, auxquels ils s’identifient ; un mythe qui aujourd’hui encore à la vie dure. La Renaissance se serait manifestée par la redécouverte de l’antiquité

référence a l’Anti-Machiavel de Fréderic. On ne peut lire le Prince sans savoir un minimum de choses sur son auteur et sur la période que traverse l’Italie et plus particulièrement la ville d’origine de Machiavel, Florence. Machiavel est le fils d’un homme de loi et né le 3 Mai 1469. De 1434 à 1494, les Médicis, puissante famille florentine, soumettent à leur volonté les institutions de la République de Florence. L’arrivée des Français en 1494 vint troubler la vie de la péninsule et notamment celle de

personnages interprétés par les acteurs , si on prend divertir dans le sens de s’amuser, « La commedia dell’arte » répond parfaitement au sujet  . Le jeu des acteurs basée sur l’improvisation est forcément divertissant et comment ne pas rire d’un seigneur s’époumonant sur un valet faisant le pitre a coté de lui ou d’un vieillard courant après une jeune pucelle ? Tout le sens de la commedia dell’arte repose sur le rire du spectateur , Molière va s’en inspiré énormément pour ses pièces et donnera ses

DOM JUAN ACTE I, SCENE 1 Tirade de Sganarelle, portrait de son maître Don Juan : De « Je n’ai pas grand peine à la comprendre…………… » jusqu’à la fin de la scène. Introduction Cette tirade de Sganarelle est placée à la fin de la scène d’exposition de la pièce Dom Juan, pièce écrite en 1665 par Molière, comédien, auteur de théâtre et organisateur des fêtes du roi Louis XIV. Sganarelle expose à Gusman, valet de Done Elvire, le portrait de son maître qui est l’époux de Done Elvire, enlevée

Dimanche. Le rythme rapide de la scène est indispensable pour empêcher M. Dimanche de réfléchir. Pour cela les questions fusent (l.30, 34, 38, 40, 46, 54 et 60) et les quelques gestes seront nerveux (la didascalie de la ligne 1 indique "faisant de grandes civilités" et Sganarelle ôte ainsi prestement les sièges l.58-59). b) le jeu sur les paroles Dom Juan ne cesse de parler et prend des nouvelles de tous ceux qui sont chers à M. Dimanche et même du chien (chacun prononce autant de réplique que

le titre de : La vie de Lazarille de Tormès, ses fortunes et adversités, est, après le Don Quichotte, l’œuvre la plus populaire et la plus répandue de la littérature espagnole. C’est que ce roman est l’Espagne même, l’Espagne du XVIe siècle, de la grande époque des découvertes transatlantiques, des guerres européennes, de la concentration de toutes les forces nationales sous le sceptre du puissant empereur qui aspire à la domination universelle ; j’ajoute l’Espagne peinte dans ce qu’elle a de plus

Dans cette tirade, Dom Louis fait un rappel des actions faites par son fils. Nous voyons que ce père n'accepte pas les actes commis par Dom Juan. Les deux expressions suivantes : « amas d'actions indignes » (l.1-2) et « suite continuelle de méchantes affaires » (l.3) montrent que ce que fait Dom Juan déplait à son père. « Quelle bassesse est la vôtre ! » (l.5) ; cette phrase prouve que Dom Juan n'a pas des attitudes telles qu'il faut en avoir quand on a une élévation morale et de noblesse comme

est appelé « CHEOL » : séjour des morts ou « HADES » lieu où les vers ne meurent point, un trou sans fond. C’est un lieu de tourments éternels, un lieu où personne ne peut changer sa condition. Luc 16 V 26 :D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire. L’histoire du riche et de Lazare nous montre bien un lieu où règnent la souffrance et le tourment. Luc 16 v 24 à 28 : Il s’écria : Père Abraham, aie

REGLE DES FRANCISCAINS INTRODUCTION On devrait réserver l'appellation de "première" à la règle que saint François, en 1209, rédigea "en peu de mots bien simples, et le seigneur pape me l'approuva" (Test 15). Nous n'en possédons pas le texte. Pendant douze ans, l'expérience de la vie en fraternité amena les frères à préciser leur idéal, leurs structures, leurs activités. Les chapitres généraux étaient l'occasion annuelle d'affiner et d'enrichir le texte simple des débuts. Ce nouveau texte