Conclusion Grand Seigneur Méchant Homme

d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non-seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d’en donner à droit et à gauche, partout où l' on se trouve ? On n'attend pas même qu' on en demande, et l' on court au-devant

me ravit » « Un beau visage me le demande » -Contrait : « La nature nous oblige » Faible : « Je ne puis refuser mon cœur » -Il retourne la situation => mauvaise foie. b) Séducteur enchanteur : -Veut convaincre S qu’il n’est pas un grand seigneur méchant homme : se disculpe. -Douceur : « douce violence » « douceur extrême » « larme et soupirs ». -Mauvaise foie, fait comme si il avait des sentiments, masques de l’amoureux transit. -Rhétorique judiciaire => art du discourt. « Injustice » « on

n’en connurent les conséquences: le hasard fit l’office de la raison et de la politique, et sauva l’empire d’un péril plus grand que celui qu’il aurait pu courir de la perte de trois batailles et de la prise de deux villes. En proscrivant les Arméniens, on pensa* détruire en un seul jour tous les négociants, et presque tous les artisans du royaume. Je suis sûr que le grand Cha-Abas* aurait mieux aimé se faire couper les deux bras que de signer un ordre pareil, et qu’en envoyant au Mogol* et aux

question les dogmes religieux. Il aime les défis, jusqu'au défi final : le repas avec la Statue du Commandeur qui l'emportera dans l'au-delà. l'exposition de cinq facettes de Dom Juan : l'infidèle (acte I), le séducteur (acte II), le libertin grand seigneur (acte III), l'inhumain (acte IV) et l'hypocrite (acte V). Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4, 5 et 6). L'ambigüité du dénouement pose beaucoup de questions aux lecteurs. On sait que Dom Juan est emporté dans les

quelques heures par jour, commence à lire l'Écriture sainte, d'abord en grec le Nouveau Testament et les Épîtres des Apôtres, puis en hébreu l'Ancien Testament. En somme, que je voie en toi un abîme de science : car maintenant que tu es un homme et te fais grand, il te faudra sortir de la tranquillité et du repos de l'étude et apprendre la chevalerie et les armes pour défendre ma maison et secourir nos amis dans toutes leurs affaires contre les assauts des malfaisants. Et je veux que rapidement tu

histoire bien connue du public du XVII ème siècle : celle d’un personnage espagnol baroque et excessif, libre penseur, dont il se fait le porte parole de critiques de la compagnie du Saint-Sacrement, en cette période classique, règne de « l’honnête Homme ». L’extrait soumis à notre attention s’inscrit dans la scène d’exposition qui présente action et personnages : les deux valets se nomment l’un l’autre, le nom des personnages suffit à nommer une contrée espagnole, la Sicile. Enfin nous prenons connaissance

et son gout pour la résistance. On peut aussi voir en ce gout de la conquete un narcissisme : Don Juan veut s'assurer qu'il plait, qu'il existe. L'amour est vu comme une conquete Don Juan utilise un lexique guerrier, et se compare a Alexandre le Grand. II L'autoportrait Don Juan incarne le libertin, et Moliere s'inspire et transfigure a travers Don Juan le Prince de Conti, qui a été elevé dans le meme college que lui. Beaucoup de démocrates pensaient que la religion amenaient la guerre et il

tout a la description de DJ, en effet la phrase n’a une dimension ironique que si le comédien choisit pour le rôle est a l’opposé du portrait, c’est une didascalie interne. DJ répète sans cesse M. Dimanche, or, au 17e sa ne se fait pas, c’est une grande marque de mépris. Aussi, il parle avec une attitude paternaliste, comme un père qui parle a un enfant qui ne comprend rien. D) formules creuses :

cheveux blancs ne l'empêchent de bafouer cruellement celui-ci. "C'est une terrible chose qu'un grand seigneur méchant homme" s'exclame Sganarelle (I, 1) : en transgressant brutalement toutes les valeurs de la noblesse, Dom Juan met à nu la brutalité des rapports sociaux. Les paysans : L'acte qui oppose Dom Juan aux paysans est éminemment comique : face à Mathurine et Charlotte, Dom Juan, homme du réflexe, obéit mécaniquement à sa nature, au risque de se mettre en difficulté ; mais il profite

une version très expurgée. Il existe cependant une édition originale tardive et interdite publiée à Amsterdam en 168316. L’œuvre de Molière est redécouverte au XIXe siècle mais ne suscite pas un grand enthousiasme: Musset trouve Dom Juan insuffisamment sombre et romantique, Stendhal le voit comme un homme de cour futile, Gustave Planche souligne l'incohérence des personnages secondaires, Sainte-Beuve n'éprouve aucune sympathie pour ce personnage impie, sensuel, orgueilleux et cruel. Elle n'est jouée