Conclusion Grand Seigneur Méchant Homme

celles de J.R.R Tolkien. Ce grand universitaire et linguiste Britannique qui a imaginé et écrit sur le monde fabuleux de la terre du milieu. Ses livres, le Silmarillion, Bilbon le Hobbit et Le Seigneur des Anneaux, vont lourdement influencer George Lucas l’inventeur de Star Wars. En effet l’univers épique tiré de la mythologie scandinave très présente chez Tolkien, se retrouve dans les œuvres de George Lucas. Beaucoup de points rapprochent donc Le Hobbit (et le Seigneur des Anneaux) de Star Wars.

qui a l’air noble et doux. Tout au long du texte, Voltaire décrit un contraste frappant entre les subtiles penséesde Zadig et le refus de l’ermite à répondre à ses questions. En réalité, l’ermite illustreune personne apparemment sage détenant une grande science, tandis qu'il n'a qu'un"esprit de secte et des mystères incompréhensibles3".Il se considère comme un ange guidant Zadig vers le bonheur. Celui-ci s'inspire d'un mystérieux personnagecoranique se trouvant dans la sourate la Caverne (V. 60-82)

procédés littéraires, de continuer à transmettre les idées et l’esprit des lumières par le biais d’un conte philosophique, Candide. A la différence d’une œuvre volumineuse et réservée à une élite, ce genre littéraire après Zadig, avait déjà connu un grand succès grâce à son accessibilité, son caractère amusant pour ne pas dire ironique qui permet à ce pamphlétaire de dénoncer les injustices et les superstitions de son temps. Déïste, ce philosophe des lumières fait de l’optimisme sa principale cible

qui avait une porte et des fenêtres - (1.14), est un puissant seigneur, Voltaire souligne la médiocrité de cet idéal et l'aveuglement de ses héros: il donne une leçon de relativité entre la réalité et l'idée que les hommes s'en font. Il en fait une satire de la lourdeur allemande, de l'emphase du nom Thunder-ten-tronckh et du baron (onomastie : science des noms), l'embonpoint de la baronne (150kg) et de sa fille(grasse,1.24). La grande économie de détails sur le décor et les paysages est habituelle

évoquer des choses nobles et sérieuses) qui est présent sans cesse. - On y retrouve le genre satirique, visant les femmes si crédules dès qu’on flatte leur vanité, qu’elles soient simples ou nobles Il s’agit d’une satire du grand seigneur méchant homme, Dom Juan est imbu de sa supériorité et ne respecte personne (père, pairs, femmes). Pour finir on trouve également le registre merveilleux notamment avec le spectre et la statue du commandeur qui bouge. QIII / Dom

avec son château qui avait une porte et des fenêtres - (1.14), est un puissant seigneur, Voltaire souligne la médiocrité de cet idéal et l'aveuglement de ses héros: il donne une leçon de relativité entre la réalité et l'idée que les hommes s'en font. Satire de la lourdeur allemande, également, l'emphase du nom Thunder-ten-tronckh, l'embonpoint de la baronne (1 50 kg) et de sa fille (grasse -, 1. 24). La grande économie de détails sur le décor et les paysages est habituelle dans les romans

des ivrognes. En I, 22 : c'est le cas de la dame anglaise qui boit dans le but de favoriser son entreprise amoureuse avec le page, et de son mari qui boit pour boire : « comme c'est la coutume de ceux qui ont trop bu de vouloir encore boire, cet homme ne fut pas plutôt entré en son appartement qu'il se fit apporter du vin et commanda qu'on me fît venir pour lui tenir compagnie à souper ». Il y a également des personnages qui boivent pour trahir et déployer des ruses : c'est le cas du vieux polonais

plus en plus mégalomane pour qui l’amour est une façon d’affirmer un pouvoir. Du refus et de la révolte, il passe à l’affirmation et à la jubilation. I-Réquisitoire contre la fidélité et éloge de l’inconstance Don Juan se présente comme un homme libre qui n’admet aucun obstacle à sa liberté. C’est pourquoi la fidélité lui paraît le pire ennemi de l’amour : « La belle chose que de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle ». La fidélité est un emprisonnement volontaire qui, en forçant

par la vengeance divine, il espère convaincre les spectateurs et les autorités de la moralité de ses intentions5. Pour expliquer le choix de ce sujet peu dans la manière de Molière et les raisons pour lesquelles il a donné lieu à une comédie à grand spectacle, les historiens du théâtre ont récemment fait observer que si Molière et ses compagnons, qui avaient besoin d'un succès du fait de l'interdiction du Tartuffe, ont songé à donner leur propre version du sujet très populaire du Festin de Pierre

foudroyé par la vengeance divine, il espère convaincre les spectateurs et les autorités de la moralité de ses intentions5. Pour expliquer le choix de ce sujet peu dans la manière de Molière et les raisons pour lesquelles il a donné lieu à une comédie à grand spectacle, les historiens du théâtre ont récemment fait observer que si Molière et ses compagnons, qui avaient besoin d'un succès du fait de l'interdiction du Tartuffe, ont songé à donner leur propre version du sujet très populaire du Festin de Pierre (Convitato