Conclusion Hip Hop

Le hip-hop québécois est mutuellement influencé par le rap français et américain. Dans un premier temps (milieu-fin 1980), les rappeurs québécois rappaient en anglais en suivant un style américain (Andrew Carr, Butcher T et Mike Williams). Cependant, l'éclosion du français avec des groupes comme IAM et NTM fit réaliser aux mc québécois que l'on pouvait rapper en français. Il faut attendre "Mouvement rap francophone" en 1990 de Kool Rock pour voir des premiers succès en français. Vient par la suite

électro sur le Hip Hop Trip hop, dérivé de plusieurs styles musicaux, il est difficile de définir le genre exact de cette musique, car sa définition change selon les pays. D’après nos sources, nous pensons que ce genre musicale serait originaire de la ville de Bristol au Royaume Uni dans le début des années 90 avec des artistes précurseurs comme « Massive Attack », « Portishead », « Archives », ou encore « Björk » . Comme son nom l’indique, elle a pour base un rythme de Hip Hop et dans cela vienne

et de la misère dans les ghettos, du racisme, des problèmes de société et des conflits avec d'autres rappeurs. Il a milité tout au long de sa carrière pour l'égalitarisme racial[4]. Shakur fut d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground[5],[6],[7]. Il a ensuite fait partie des groupes Outlawz, Digital Underground et Thug Life. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow »

violence et de la misère dans les ghettos, du racisme, des problèmes de société et des conflits avec d'autres rappeurs. Il a milité tout au long de sa carrière pour l'égalitarisme racial6. Shakur fut d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground7,8,9. Il a ensuite fait partie des groupes Outlawz, Digital Underground et Thug Life. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses

violence et de la misère dans les ghettos, du racisme, des problèmes de société et des conflits avec d'autres rappeurs. Il a milité tout au long de sa carrière pour l'égalitarisme racial4. Shakur fut d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground5,6,7. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures

entertainment comme Run-DMC. Dans la lignée du Do it yourself des punks new-yorkais (le hip-hop fut d'abord surnommé le « punk noir »), les rappeurs rappaient sur des rythmes synthétiques et brutaux, issus de boîte rythmes bon marché. Il s'agit d'une véritable musique populaire de rue qui développait ses propres thèmes : d'une part sous l'influence de la zulu nation d'afrika bambaataa qui voyait dans le hip-hop le moyen d'éloigner les jeunes de la drogue et des gangs et d'émuler leur créativité,

Take a breath, I pull myself together. Just another step until I reach the door. You'll never know the way it tears me up inside to see you.. I wish that I could tell you something to take it all away. [Chorus] Sometimes I wish I could save you, And there's so many things that I want you to know. I won't give up 'til it's over. If it takes you forever, I want you to know.. When I hear your voice, It's drowning in the whispers. It's just skin and bones, There's nothing left

............ 9 I. CONTEXTES GEOGRAPHIQUE ET ARTISTIQUE ................................................. 9 1. Le contexte artistique ................................................................................................ 9 a) La culture Hip Hop ....................................................................................... 9 b) Les cultures urbaines .................................................................................. 11 2. Le Nord-Pas de Calais et sa capitale régionale

au monde du hip hop américain de différentes époques. Il danse le hip hop et la pub finit avec le jeune homme portant un nombre incalculable de bijoux dit « bling-bling » encore associé au hip hop. Il reste cependant important de noter que le stéréotype est ici reconnu dans la publicité parce que le jeune homme agit comme s’il pensait qu’il avait beaucoup trop de bijoux. Malgré ce dernier élément, je suis assez étonnée que le jeune danseur n’ait été montré QU’en rapport avec le hip hop ! Pourquoi

représentations sociales, Paris, Armand Colin, 2005 Musiques populaires underground et représentations du politique, ouvrage sous la direction de SECA édité à Cortil-Wodon chez: InterCommunications/EME., 2007 Bibliographie thématique Culture hip-hop, jeunes des cités et politiques publiques, Sylvie FAURE et Marie-Carmen GARCIA, Editions La Dispute, 2005, 187 pages Des jeunes et des musiques : rock, rap, techno, Anne-Marie GREEN, Editions L’Harmattan, mars 1998, 320 pages Rites, code et