Conclusion L Aveugle De Maupassant

décès de la jeune femme, victime du jeu des puissants et d’un sentiment de culpabilité excessif. Aussi le lexique utilisé renvoie-t-il aux cris, aux larmes et à toutes manifestations de souffrance en multipliant les hyper‑ boles. On peut citer la conclusion du chapitre 17 où Mlle de Saint-Yves se résout à tromper l’Ingénu pour le sauver : « après une longue résistance, après des san‑ glots, des cris, des larmes, affaiblie du combat, éperdue, languissante, il fallut se rendre » (p. 81). Après une

qu’avait pu se faire Zola (notamment chez les anti-dreyfusards), la thèse de l’assassinat ou de la « malveillance ayant mal tourné[N 26] » n’a jamais été totalement écartée[52]. Après sa mort, une enquête de police est réalisée mais n’aboutit à aucune conclusion probante. Le retentissement de la mort d'Émile Zola est immense. La presse se fait l'écho de l'émotion qui gagne la population entière. La presse nationaliste et antisémite exulte[53]. L'émotion gagne l'étranger où de nombreuses cérémonies ont

morsure IV. La parole, le silence et les regards 1. Le silence 2. La parole 3. Les regards V. Milieux et circonstances 1. Le repaire du Mal a. Le passage du Pont-Neuf b. Chez les Raquin 2. La sexualité libérée a. La morgue b. La campagne VI. Conclusion: Le cercle infernal Bibliographie "J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair." (1) I. Introduction Dans

morsure IV. La parole, le silence et les regards 1. Le silence 2. La parole 3. Les regards V. Milieux et circonstances 1. Le repaire du Mal a. Le passage du Pont-Neuf b. Chez les Raquin 2. La sexualité libérée a. La morgue b. La campagne VI. Conclusion: Le cercle infernal Bibliographie "J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair." (1) I. Introduction

ensuite un court texte qui mette en pratique ce projet. Commentaire : vous commenterez le texte de Un roi sans divertissement de Giono. De « Langlois avait l’air de dire » à « mon petit bagage de loup » (p. 204 à 205). Dissertation : Guy de Maupassant écrit à propos du romancier : « Son but n’est pas de nous raconter une histoire, de nous amuser ou de nous attendrir », mais « c’est sa vision personnelle du monde qu’il cherche à nous communiquer ». Partagez-vous cette opinion ? Vous répondrez

et, même aujourd'hui, ils gardent leur opacité: c'est l'humus de ma mémoire. La bibliothèque ne comprenait guère que les grands classiques de France et d'Allemagne. Il y avait des grammaires, aussi, quelques romans célèbres, les Contes choisis de Maupassant, des ouvrages d'art — un Rubens, un Van Dyck, un Durer, un Rembrandt — que les élèves de mon grand-père lui avaient offerts à l'occasion d'un Nouvel An. Maigre univers. Mais le Grand Larousse me tenait lieu de tout: j'en prenais un tome au hasard

vingtaine d'années déjà Michel De Certeaul, entre ce qui se dit et ce qui est vécu, et que « les manières de faire » sont en réalité extrêmement variées. S'en tenir à une étude de la production sans analyser les usages des produits, c'est rester aveugle à la diversité des pratiques interprétatives, à la créativité et à la résistance du récepteur. Il n'en demeure pas moins que la majorité des écrits consacrés aux rapports entre médias et culture depuis un demi-siècle ont été très critiques : un rappel

lecture des lettres remises spontanément par Valentine, que la jeune fille n’est autre que la fiancée de Frantz de Galais (3e partie, chap. XV, « Le secret (suite) », pp. 371-372) ; on admettra toutefois sans peine que les personnages sont trop aveugles et les coïncidences trop visibles. • Les thèmes sentimentaux symbolisant les expériences juvéniles Les personnages découvrent d’abord l’amitié. C’est le cas, d’une part, d’Augustin et François, d’autre part, d’Augustin et Frantz, dans des

et, même aujourd'hui, ils gardent leur opacité: c'est l'humus de ma mémoire. La bibliothèque ne comprenait guère que les grands classiques de France et d'Allemagne. Il y avait des grammaires, aussi, quelques romans célèbres, les Contes choisis de Maupassant, des ouvrages d'art — un Rubens, un Van Dyck, un Durer, un Rembrandt — que les élèves de mon grand-père lui avaient offerts à l'occasion d'un Nouvel An. Maigre univers. Mais le Grand Larousse me tenait lieu de tout: j'en prenais un tome au hasard

la lecture des lettres remises spontanément par Valentine, que la jeune fille n’est autre que la fiancée de Frantz de Galais (3e partie, chap. XV, « Le secret (suite) », pp. 371-372) ; on admettra toutefois sans peine que les personnages sont trop aveugles et les coïncidences trop visibles. • Les thèmes sentimentaux symbolisant les expériences juvéniles Les personnages découvrent d’abord l’amitié. C’est le cas, d’une part, d’Augustin et François, d’autre part, d’Augustin et Frantz