Conclusion Le Mendiant

inconnus. • L .8 « ils trouvèrent fort étrange que tant de grands hommes (…) se soumissent à un enfant. ». Leur vision du pouvoir légitime est donc différente de celle des Français : étrange=illogique. • « Hommes pleins (…) et leurs moitiés étant mendiants à leurs portes ». Second aspect jugé étrange : l’injustice qui règne dans la société et qui n’indigne pas grand monde. • Le déséquilibre est net puisque « des moitiés » sont les unes excessivement riches les autres excessivement pauvres. • L.15

dans leurs retranchements -Père Bru → Rôle du mendiant, rejeté par la société qu’on invite par pitié -Mesdames Lerat, Putois et Boche → femmes rapaces, parasites -Gervaise → Naïve, gentille, victime de la société -Goujet → Protecteur de Gervaise, il l’admire * Tout le quartier semble participer au festin ; Zola affiche volontairement le ventre de la société, le peuple étant souvent considéré comme les bas-fonds de la société CONCLUSION Véritable étude sociologique de Zola ; dans l’imaginaire

d'évoluer. Il était tout d'abord évoqué pour parler d'une personne qui se distingue en tous points comme entre Auvergnats et Parisiens ou encore entre catholiques, protestants et juifs mais ce terme se « nationalise » pour laisser place aux vagabonds, mendiants, plus généralement marginaux, sont désignés comme étrangers. Ultérieurement cette haine se transformera en une hostilité entre pays et c'est à ce moment-là que la France aura besoin d'une aide extérieure. L’arrivée massive d’étrangers en France

Vicent va a relatar una anecdota que de manera implicita, evoca los perjuicios que unos tienen para con los mendigos. Le journaliste Manuel Vicent relate une anecdote qui, de manière implicite, évoque les préjudices que nous avons à l’égard des mendiants. Es el reflejo de nuestra sociedad, contado con cierto humor e ironia. C’est le reflet de notre société évoqué avec un certain humour et une certaine ironie. PLAN Introduccion 1- LUGAR Y PERSONAJES A. Lugar B. El mendigo/La senora/El guarda

en plus sophistiqués et fous (exemples) • Une volontaire transgression des conventions : acteurs qui investissent la salle (la rampe est supprimée) ; personnages de la pièce à mi-chemin entre la pièce et le public (le Prologue dans Antigone, Le mendiant, devant le rideau fermé dans Electre…) 3. Des nuances et des limites à la folie 1. Tenir compte du public et respecter l’auteur • Le public vient pour « y croire » (le théâtre = représentation de la vie ; recherche de l’illusion) ( ne pas

n’est pas saine, elle boit des litres de café et prend en même temps des pilules calmantes. Elle cri, elle est autoritaire. Elle impose ses plans. Elle est en même temps très généreuse car elle s’intéresse aux enfants. Elle accueille la fille d’une mendiante gravement malade. Selon une critique littéraire, Margueritte Duras n’a fait que venger sa mère à travers ses livres. La mère est un personnage tragique. 3. Joseph C’est une figure masculine dominante. Il est frustre, sans éducation, grossier

vides, ses membres inférieurs et son bras gauche ne sont fait que de bois. Il y a également un femme en robe rose moulante qui semblerait contrainte à la prostitution. Ainsi que deux bourgeois, surement profiteur de la guerre, un d’eux méprise le mendiant en lui donnant un timbre. Les invalides sont amoindris au même niveau que le chat et le chien (qui montre les crocs). L’agitation de la ville est pressante et nul ne fais attention à eux. En arrière plan on voit une petite fille, peut-être orpheline

puis dans une derniere partie , Nous observerons comment l'auteur en fait une parodie du romantisme . I- Une poésie sociale et satirique De nombreux poètes ont chanté la souffrance des peuples, des pauvres, des ouvriers. Après Hugo dans "Le mendiant" défendant les pauvres, Verlaine par la caricature avec "Monsieur Prudhomme" s'attaque aux bourgeois du second Empire. Caricatural, tel est bien le portrait qu'en dresse Verlaine. Monsieur Prudhomme est le Maire de Paris et l'employeur de notre poète

Madrid où il fonde et dirige une revue artistique. 1901-1904 : période bleue débute avec suicide de son ami: peinture dominée par tonalité bleutée– thèmes mélancoliques de la mort, vieillesse, pauvreté – personnages étirés solitaires (pauvres, mendiants, aveugles) 1905 Installation à Paris – Rencontre 1ère compagne (Fernande Olivier) – Période heureuse marque début période rose : teintes rougées - thèmes de la joie et inquiétude existentielle peinture saltimbanque aux couleurs adoucies 1907 Les

personnages est en général élevé comme le veut la tragédie classique à certaines exceptions près comme le Jardinier ou même le Mendiant. La pièce est-elle écrite en vers et en langue soutenue ? La pièce n'est pas du tout écrite en vers et en langue soutenue, cette condition n'est absolument pas remplie. Le langage employé est le langage courant. En conclusion ? Malgré de nombreuses similitudes, comme la règle de bienséance ou la règle des trois unités on ne peut pas dire qu'Electre