Conclusion Le Mendiant

"La mise en place du salariat au XIXeme siècle" Mirabeau dit qu'il ne connait que trois manières d'exister dans la société: être mendiant, voleur ou salarié. Ainsi avant la mise en place du salariat la population dite plus misérable n'existait pas hormis dans le plus critique des cas. Par conséquent, la mise en place du salariat durant le XIXème siècle va permettre a une grande partie des individus d'acquérir une meilleur condition sociale et d'apparaitre comme utile et non invisible. En outre

avan.t d’avoir donné une nouvelle constitution à la France : c’est le serment du Jeu de Paume. Face à ce coup de force, et sur les conseils de Necker, le roi reconnait l’Assemblée Nationale le 27 juin : c’est la révolution juridique. Tirant les conclusions de sa victoire, l’Assemblée se déclare « constituante », le 9 juillet, et commence à discuter d’un plan de Constitution. Beaucoup pensent que la Révolution est terminée. La révolution parisienne vient pourtant renforcer la révolution juridique

qui est au cœur de l’encadrement de l’Eglise et des laïcs. Ensuite vient le clergé régulier, qui vit en retrait. On a au plus haut l’abbé qui est en charge d’un monastère, ensuite le moine qui est l’habitant de ce monastère, et enfin, les ordres mendiants qui eux, vivent au contact des laïcs et vivent grâce aux dons de ces derniers, ils sont souvent enseignants. Et enfin, venons-en au pape. Le pape est le chef de l’Eglise, il revendique son pouvoir suprême face aux plus grands dirigeants et empereur

élèves, frustré de ne pouvoir accomplir son rêve : devenir photographe. Il est curieux et ouvert ce qui l’amènera à rencontrer l’autre personnage principal : maître Samtyang. Maître Samtyang se présente comme un vieux guérisseur modeste aux allures de mendiant, il est réputé pour la sagesse de son enseignement. Deux personnages secondaires, un couple de touriste hollandais, viendront illustrer les idées de l’auteur. Hans est l’exact opposé de Julian, il est calculateur, froid, hermétique et compétiteur

• Une silhouette et un visage d’ascète (à la fin). BILAN Un personnage “ simple ” : è par sa condition de servante è par sa fidélité è par la simplicité d’une vie toujours recommencée è par son humilité, son peu de souci de l'apparence. CONCLUSION u Ce début de récit est en fait le résumé de toute une existence de personnages ordinaires dans un décor petitbourgeois et provincial. Il met en exergue la “ simplicité ” du personnage principal, Félicité, sans que l’on puisse encore être très

piété. • Une silhouette et un visage d’ascète (à la fin). BILAN Un personnage “ simple ” : è par sa condition de servante è par sa fidélité è par la simplicité d’une vie toujours recommencée è par son humilité, son peu de souci de l'apparence. CONCLUSION u Ce début de récit est en fait le résumé de toute une existence de personnages ordinaires dans un décor petitbourgeois et provincial. Il met en exergue la “ simplicité ” du personnage principal, Félicité, sans que l’on puisse encore être très au

symbolisent les différents renoncements qu’il est obligé d’accepter, et les angoisses qui l’empêchent d’avancer. L.247 à 262 : Envahissement progressif de la mort physique (« statue »). FIN : Dernier commentaire de Marguerite :La conclusion morale. EXPLICATION LINEAIRE Les indications scéniques qui ponctuent toute la tirade et qui montrent l’évolution du décor appartiennent au décor et doivent aussi être expliquées. Les dernières paroles du roi concernent une douleur, le bleu

nous désirons ce qui nous manque. Platon a admirablement posé le problème dans le mythe où il raconte la naissance d’Eros, ce demi-dieu qui personnifie l’amour, le désir. Eros serait le fils de Poros, dieu de la richesse et de l’abondance, et de la mendiante Pénia. C’est donc un démon, qui tient le milieu entre les dieux et les mortels. Eros ne peut être de nature purement divine : les dieux ne désirent pas, puisqu’ils sont comblés. Mais le désir ne peut être non plus, comme la pauvre Pénia, pure indigence

omniprésent et que le lecteur ne devrait pas l’ignorer. Avec ce dernier vers, le poète marque une sorte de provocation, mais aussi une sorte de complicité avec le lecteur qui montre qu’il le connaît et peut ainsi se permettre cette familiarité. Conclusion : « Au Lecteur » est le poème linaire du recueil « Les Fleurs du Mal », donc il est placé en tête de toutes les éditions, hors numérotation. Ce poème a une importance majeure : aborde des thèmes qui seront récurrents dans le recueil : la mort,

l’être humain: -« mendiant au seuil du monde glorieux et enduit de merde cyniquement heureux d’être là » Explication de la phrase B/ LA CRITIQUE DE LA GUERRE Relevé: « c’est pas beau 93, cela ne semble obéir à aucun plan d’ensemble mais au hasard, marche ou crève (origine de l’expression) va comme je te pousse, l’homme poursuit sa propre destruction, tout était petit, masquai guerre ravalée à une querelle de voisins, faillite des écoles de guerre. » CONCLUSION/ Ce passage nous relate