Conclusion Le Pain Francis Ponge

moderne (comme Saint-John Perse, Francis Ponge, …) ; il a appris à la poésie de ne pas être un art, mais une attitude de vie ; il lui a enseigné la révolte contre le monde et l'existence aliénée ; et il a montré qu'il n'y a pas de monde réservé à la poésié, le réel le plus ordinaire pouvant fournir des mythes et du merveilleux (Le Pain de Francis Ponge par exemple). III- Regard sur une œuvre surréaliste : Conclusion : Le surréalisme affirme donc

du corpus, extrait de « Le Pain », Le Parti pris des choses de Francis Ponge se veut de peindre l’aliment de base qu’est le pain. L’auteur, pour présenter à quel point il est important dans notre quotidien, le décrit comme un objet merveilleux à contempler, à respecter. Il le compare à des montagnes afin mettre sous nos yeux ses formes si anodines qu’il possède. L’association, par la suite, du pain et de sa mie à des fleurs, nous éloigne de ce qu’est réellement le pain : un simple amalgame d’ingrédients

quatrain : lumière, mouvement, présences multiples. Ainsi peut également mieux se comprendre l’expression « En tous sens », qui laisse à chacun, mais surtout au poète, la possibilité d’interpréter dans des significations diverses le monde évoqué. CONCLUSION : Ce sonnet retrace donc la composition d’un texte poétique, en montrant la position du poète dans le monde mystérieux, lumineux et mouvant de ce qui n’est pas encore de la poésie mais qui va le devenir grâce à la présence, même pauvre et misérable

acquis. Ex. : multiplication des images dans « Le pain » de Francis Ponge : au lieu de nous détourner de l'objet quotidien, elles nous obligent à voir ce que nous ne voyons plus. Le refus du sens fait sens : refuser le sens, c'est refuser la logique du quotidien, c'est affirmer la primauté de la quête esthétique, de l'art, sur la rentabilité et la productivité. Refuser les codes de la société, c'est réagir contre la société et non l'ignorer. Conclusion Que le poète décrive le monde où

Parcours « Alchimie poétique : la boue et l'or »Ponge, « Ode inachevée à la boue »5101520La boue plaît aux cœurs nobles parce que constamment méprisée.Notre esprit la honnit1, nos pieds et nos roues l'écrasent. Elle rend la marche difficile et elle salit : voilà ce qu'on ne lui pardonne pas.C'est de la boue ! dit-on des gens qu'on abomine, ou d'injures basses et intéressées. Sans souci de la honte qu'on lui inflige, du tort à jamais qu'on lui fait. Cette constante humiliation, qui la mériterait

allemande en prônant la résistance. Les poètes peuvent nous exposer, à travers leurs œuvres, leur propre vision du monde, et ainsi transformer de simples objets de la vie quotidienne. Francis Ponge décrit du pain dans le « Parti pris des choses » et nous donne sa vision. Il utilise des métaphores, le pain représente pour lui le monde avec ses reliefs et ses profondeurs. Rimbaud dans « l’Alchimie du verbe » donne des couleurs aux voyelles et pousse le lecteur à « changer de vision » et à réfléchir

d’étude : « convaincre, persuader, délibérer... » Voltaire, Candide, Chapitre 1 En quoi ce texte est-il un apologue ? ou Par quels moyens Voltaire parvient à mettre en place une satire sociale dans ce chapitre ? Voltaire, Candide, chap.XXX, « conclusion », de « Candide en retournant dans sa métairie » jusqu’à la fin Quels sont les différents éléments qui appuient la satire dans cet extrait ? Voltaire, Candide, chap.VI, « l’auto-da-fé », du début jusqu’à « un fracas épouvantable. » Par quels

: « L’art ne reproduit pas le visible, il le rend visible ». Les poèmes descriptifs d'un Guillevic ou d'un Ponge semblent être ancrés définitivement dans une zone circonscrite de la vie quotidienne. Le Parti pris des choses tente de rendre compte des objets de la manière la plus précise et la plus rigoureuse possible, cherchant en particulier à exprimer leurs qualités caractéristiques. Ponge choisit de construire des "définitions-descriptions" de l'objet et consacre son écriture aux "choses" familières

philosophique. « Le pain » de Ponge en 1942 est un exemple. Il transforme un objet quotidien et banal comme le pain en un paysage majestueux pour prouver sa thèse : il veut montrer qu’un thème pas poétique peut aussi être majestueux grâce à la poésie. Donc avec le dernier vers il rappelle sa thèse et nous ramène à nouveaux dans la réalité : « Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation.» Cette maxime rappelle au lecteur que: le pain est un objet simple

la question de la survie, laisse de côté toute forme de lien, d’unité ou plutôt de solidarité avec autrui. Mais cela pourrait aussi expliquer l’incompréhension à laquelle va être confronté le déporté à la suite de sa libération. De sorte, qu’en conclusion, peut être sommes nous en mesure de dire que l’homme reste toujours seul. Nous pouvons faire une ouverture sur l'aspect animal que révèle se livre, dans la guerre. Texte 17 ORAL Extrait de Lettre à un otage (1943) Chp5 par Antoine de Saint-Exupéry