Conclusion Le Renard Et Le Bouc

éléments. Il peut y avoir autant d’interprétations d’un symbole qu’il existe de cultures. Le rouge, qui symbolise l’amour ou la violence (et donc la passion) en France, représente le bonheur en Asie. Ces légères différences sont donc à considérer. Conclusion : signification du tableau Quel est le sens de l’œuvre et qu’en retenez-vous ? : Vous résumez ici les informations pertinentes de l’œuvre en quelques lignes, en rappelant les enjeux politiques du tableau, autant au moment de sa réalisation qu’aujourd’hui

informer ou bien pensez-vous que l’explication vise à nous faire réagir ? Il ne sert pas seulement à nous informer, il vise à nous faire réagir sur ce genre de manipulation qui peut être dangereuse pour l’humanité à l’avenir. Ce qui le prouve la conclusion sous forme d’interrogation ouverte à la discussion pour aborder un autre thème qu’est : les dangers probables des manipulations génériques. C- Analyse des textes: OBJECTIF : - Identification des étapes de la démarche inductive (observation, hypothèse

le groupe (Comeron, 1990). b) Dynamique inter-groupe Comme l'a montré Shérif, la situation de compétition n'est pas neutre. La compétition entre groupes favorise la cohésion, la solidarité et la coopération des individus à l'intérieur Dans leur conclusion, les auteurs soulignent que le contexte culturel intervient dans le processus de V«aggro». Malgré le fait que l'agression humaine peut avoir des bases biologiques, les situations dans lesquelles elle se produit, les objectifs vers lesquels elle

évolue aussi au fil du temps. Le cours suivra plus ou moins ce plan : 1. Qu’est-ce que la bd selon les spécialistes ? 2. Quels sont les éléments identiques selon les différentes définitions ? 3. Une définition canonique Jean Bruno Renard a écrit un livre « clé pour la bande dessinée » parle de la bd comme un récit dessiné et imprimé. Annie Baron Carvais est l’auteur du « Que sais-je ». Pour elle, la bd est une succession de dessins juxtaposés destiné à traduire un récit, une pensée

sentiments deviennent de véritables personnes : allégorie « Espoir v18, Angoisse v19 » = personnages pièce de théâtre (de sa vie ?)· dernier vers : chute, conquête de la folie sur son esprit (CL esprit tout au long du poème : tout se passe dans sa tête)Conclusion :· Baudelaire transforme la boue (=dépression) en or poétique en théâtralisant son état d’âme. Le poème représente le chemin du poète vers la folie.· Ouverture : LXXV – Spleen, décrit le monde qui l’entoure, vision altérée par ses émotions (dépression)II

Titre : « Les salles de sport tentent désormais de fidéliser leurs clients » Date : 26 Juin 2002 Auteur : Frank Niedercorn Source : Les Echos Titre : «  Fitness: Le marché Français comble son retard » Date : 6 mai 2010 Auteur : Valérie Le bouc Source : www.saphir.news.com Titre : Salles de fitness: Honneurs aux dames  Date : mercredi 11 Mars 2009 Auteur : Siham Bounaim Source : http://www.inh.fr/enseignements/idp/acteurs/modes_management.html Titre : « Les 4 modes de

siècle et du début du XXe siècle. Il est bien connu des milieux artistiques et littéraires. Emile Gallé lui dédia un chat en faïence[1], Alfred Jarry lui dédia son Ubu roi. Il est reconnu entre autres écrivains par Stéphane Mallarmé, Paul Valéry, Jules Renard, Paul Claudel, Edmond de Goncourt, Tristan Bernard, Anatole France... Pour sa part, Schwob leur rend hommage en dédiant à un grand nombre d'entre eux les textes de son recueil du Roi au masque d'or[2] ; l'œuvre de Cœur Double[3] est dédiée à Robert

chaque être vivant. Toutefois, si le désir et la crainte sont similaires du point de vue structurel (ils poussent à l’action, au changement), ils ne sont pas vécus (ressentis) de la même manière : la peur n’est pas le même sentiment que l’avidité. Le renard ne ressent pas la même chose que le lapin. Fuir les coups de bâton et poursuivre la carotte sont deux choses qui font avancer, mais qui sont éprouvées bien différemment. Certains philosophes minimisent cette différence : en soulignant que tout désir

chaque être vivant. Toutefois, si le désir et la crainte sont similaires du point de vue structurel (ils poussent à l’action, au changement), ils ne sont pas vécus (ressentis) de la même manière : la peur n’est pas le même sentiment que l’avidité. Le renard ne ressent pas la même chose que le lapin. Fuir les coups de bâton et poursuivre la carotte sont deux choses qui font avancer, mais qui sont éprouvées bien différemment. Certains philosophes minimisent cette différence : en soulignant que tout désir

puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza) 10 B. Le désir triangulaire (René Girard) 11 C. Le désir du désir de l’autre (Hegel) 12 III. Le désir est-il manque ou excès ? 13 A. Le désir comme manque